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Mafias, immigration, corruption, vente de femmes, mise en esclavage, prostitution, etc... telle est l'oeuvre de la Turquie à Chypre.
Le Figaro, sous la plume de François Hauter, lance une bombe sur la réalité de la Turquie et la violation perpétuelle des droits les plus élementaires de la personne humaine, qui semble être la règle d'Etat de ce prétendant à l'UE.

Les clandestins, plus de 11000 par an arrivent à Chypre et se voient offrir des visas gratuits par la Turquie, ce qui leur permet de rejoindre l'UE en passant par l'autre moitié de l'île: "La Turquie est ainsi devenue la complice de l'un des réseaux d'immigration illégale les plus efficaces vers l'UE".
Les femmes sont achetées et revendues pour alimenter les nombreux bordels dans lesquels se vautrent les 37 000 soldats turcs qui occupent illégalement ce pays et autres dignitaires occidentaux ou israéliens : "Elle travaillera 78 heures par semaine, et 18 heures par jour chaque vendredi, samedi et dimanche" dit le contrat d'une de ces nouvelles esclaves.
L'esclavage est de rigueur pour les nouveaux venus : "Beaucoup de ces immigrants s'arrêtent dans la partie grecque de l'île, au sud. Là, sans permis de travail, ils sont traités comme des esclaves".
La corruption et la mafia trouvent leur compte dans ce nouvel eldorado de la drogue et de l'infamie comme le confie un policier européen :"Cet endroit est le repère des mafias israéliennes, turques et albanaises. Une dizaine de caïds britanniques et israéliens y sont réfugiés et ne peuvent pas quitter ce territoire. Ils y prospèrent, car la route de la drogue venue d'Afghanistan passe par la Turquie, et l'argent est blanchi ici".
L'invasion est effective : 100 000 chypriotes d'origines auxquels on rajoute 30 000 travailleurs illégaux, 16 000 colons turcs, 19 000 étudiants turcs, 35 000 soldats turcs, des millions de dollars investis par la Turquie, les capitaux aux mains des mafias, 320 mosquées contruites en 30 ans et refus catégorique d'Ankara de restaurer les 20 églises orthodoxes...

Voilà la Turquie, nouvelle amie de l'Europe, pays présenté comme une chance pour le vieux continent. Faut-il être dupe? Ce pays barbare, responsable d'un génocide, vit aujourd'hui dans un scandale public à la face du monde et il faudrait fermer les yeux au nom d'une idéologie appelée "Europe" ou "mondialisme", d'un totalitarisme appelé "économie", d'une fausse liberté appelée "démocratie" pour l'intégrer dans une Europe inhumaine et strictement matérialiste.

On comprend alors mieux cette phrase du journaliste : "Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne sont les plus ardents défenseurs de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne (UE). Ankara ne peut rien refuser aux Américains."

Lahire