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Analyse de l'homophobie

Suite à la résolution tyrannique votée par le Parlement européen appuyant le lobby gay, une (re)lecture s'impose de l'interview donné par Tony Anatrella au mensuel La Nef, en février 2005, dans laquelle il analysait les véritables enjeux des lois pour lutter contre l'homophobie. Cet article est disponible sur le site Famille et Liberté, rubrique Homosexualité (cliquez sur homophobie - les vrais enjeux). Voici la conclusion (mais tout est à lire) :

"Certains considèrent l’homosexualité comme une sexualité alternative de même qualité que la relation entre un homme et une femme, ce qui n’est pas le cas. Mais quoi qu’il en soit de la problématique psychique, la question qui se pose et sur laquelle le législateur a dérapé est de savoir si une tendance subjective peut être source de loi ? La société s’organise à partir des réalités objectives et universelles comme la relation fondée entre un homme et une femme. De ce fait, pourquoi vouloir faire une normalité d’un type de sexualité qui ne participe pas à la définition du couple, de la famille et ne peut pas représenter la symbolique conjugale et familiale à laquelle un enfant a besoin de s’identifier ? La police des idées qui risque de s’installer, et la finalité d’une loi réprimant le langage, sont une façon de chercher à valider le «modèle» sexuel de l’homoérotisme comme étant une référence parmi d’autres. Une façon d’ignorer une fois de plus les problèmes psychiques et moraux qui ne manqueront pas de resurgir dans un fulgurant retour du refoulé. Le marxisme qui a trompé les intellectuels et les politiques durant des années devrait servir de leçon face à un mouvement qui veut subvertir les normes «hétérosexistes» de la société comme en témoigne la littérature homosexuelle. La main sur le cœur, les hommes politiques ne voient pas qu’après avoir dénoncé les erreurs du passé avec le fameux «plus jamais ça», ils renouent avec de nouvelles aliénations qui font le malheur des peuples."

Michel Janva

Commentaires

Athée de passage

En tant que matérialiste primaire, quand je lis qu'une "relation" peut être une "réalité", je hausse les épaules.

Autant lorque vous voulez fonder votre combat contre l'homosexualité sur une prétendue révélation divine, on ne peut rien y redire (après tout si vous y croyez), autant lorsque vous adulez un pseudo-jargon psychanalytique, vous vous discréditez.

Pourquoi ne pas faire appel aussi à un expert dianéticien après l'expert psychanalyste tant qu'on y est ?

florent

En quoi se discrédite-t-on en citant un psychanalyste je vous prie? C'est comme faire appel à un historien pour un sujet d'histoire, soit un spécialiste du domaine.
Evidemment, tous les bien-pensants bboisés vont trouver un truc pour nous dire que s'il n'est pas politiquement correct, le spécialiste en question n'est pas crédible, sans y apporter de preuve. Nouvelle année mais même réflexe.

Michel Janva

L'Athée de passage n'aurait donc aucun argument ? Au fond, on le comprend : rien ne peut vraiment justifier les lois contre l'homophobie, car l'homosexualité est un mensonge à l'Amour.

Voici d'autres ressources toutes aussi pertinentes :

http://www.inxl6.org/article1633.php
http://www.inxl6.org/article1667.php
http://www.inxl6.org/article1730.php
http://www.inxl6.org/article1661.php
http://www.inxl6.org/article1611.php

Scarole

Et l'intolérance un mensonge à l'intelligence...

MJ

"La tolérance, qui admet Dieu comme une opinion privée mais qui l'exclut du domaine public, de la réalité du monde et de notre vie, n'est pas de la tolérance mais de l'hypocrisie."

Benoît XVI

Et comme Dieu est Amour (cf St Jean), vous pouvez remplacer Dieu par Amour dans cette citation...

Tintoun

Savez-vous vous ce que vous dites, Scarole?

La tolérance, qui est un mot bien à la mode, est une vertu de l'autorité qui use de son droit à l'indulgence.

Le mot de bienveillance paraît en l'occurrence bien plus approprié.

Dites-moi, ça vous arrive de préférer analyser les situations vous même plutôt que nous ressortir la bonne parole selon vos maîtres à penser ?

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