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Le Parlement européen appuie les revendications des lobbies "gays"
Légalisation de l'euthanasie dans l'Oregon

Carla del Ponte fortement contestée chez elle

Le bilan du procureur du Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie est remis en cause par André Liebich, professeur à l'institut universitaire de hautes études internationales de Genève.
Voilà en effet plus de 6 ans que Carla Del Ponte cherche à mettre la main sur deux chefs serbes accusés de crimes de guerre, Mladic et Karadzic. Et rien n'aboutit...

Mettant en doute les compétences de Del Ponte en précisant qu'"elle a déjà été une fois démise de ses fonctions [elle était aussi procureur du TPI pour le Rwanda", Liebich la fustige en précisant qu'"elle n’a de toute évidence pas un grand pouvoir de persuasion, sinon elle n’aurait pas fait appel à l’opinion publique de la manière dont elle l’a fait" et qu"elle en appelle à l’opinion publique pour contraindre et, même quelques fois, pour humilier les leaders politiques."

Nous avions déjà relevé ses abus lorsqu'elle n'hésita pas à mentir en inventant une fausse affaire Gotovina dans laquelle elle incriminait le Vatican. C'était sans doute une manière de faciliter l'ouverture des négociations avec la Turquie, mais ses calomnies cachaient aussi son inaptitude à régler les affaires du TPIY.
Elle est aussi réputée pour ses déclarations à l'emporte-pièce et le peu de cas qu'elle accorde à la presse et aux journalistes.

Aujourd'hui encore, elle accuse le premier ministre serbe de ne pas collaborer en ayant laissé Mladic s'enfuir en Russie. Mais elle a surtout besoin de détourner l'attention le jour où ressort le scandale de l'affaire Blaskic, du nom de ce général croate qui fut condamné à 45 ans de prison et qui sera libéré 7 ans plus tard grâce à de vraies preuves, contrant le témoin anonyme protégé par Carla Del Ponte dont les faux témoignages avaient valu la première condamnation.

Déjà que l'existence même des tribunaux pénaux internationaux est mise en cause puisque aucun article de la charte de l'ONU n'autorise explicitement leur création, la justice internationale est décidemment mal en point avec un procureur comme Carla Del Ponte.

Lahire

Commentaires

Pourquoi les gens commen elle ne pas mis en examen ?

florent

Ce qui prouve bien que les juridictions internationnales sont en soi une aberration, que Bush avait encore une fois raison et que Del Ponte n'est qu'une minable collabo des mahométans. Bref, rien mais rien de neuf.

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