Blocage des facs : coup de poing à Toulouse
16 mars 2006
D'après la police, les 200 étudiants grévistes qui occupaient la faculté de droit depuis la veille ont été délogés par une dizaine d'étudiants qui ont forcé les portes afin de libérer l'université. Des bagarres se sont déroulées dans les couloirs pendant plusieurs minutes.
Les militants de l'UNI (proche UMP) ont affirmé avoir "libéré la fac". Une assemblée générale doit se tenir à 12h30 pour décider de la suite à donner au blocus de la faculté.
C'est ce qui est à craindre: nous commençons à nous lasser de ce bloquage organisé par un groupe d'anarchiste d'extrème gauche.
Il reste que la violence ne règle rien
Rédigé par : Ad jesum per mariam | 16 mars 2006 à 12:03
Violence ou légitime défense ? Il convient de distinguer ces termes (de même que celui de force, qui est une vertu) quand vous affirmez que cela "ne règle rien".
Rédigé par : Michel Janva | 16 mars 2006 à 12:09
Et bien il était temps que tout ce monde beau parleur agisse !!!
En revanche ce qui m'énerve c'est que forcément les médias disent soit que l'uni est minoritaire soit que ce sont des gens de l'extrême droite.
Rédigé par : | 16 mars 2006 à 12:36
http://etudiantsbaillonnes.blogspot.com
Rédigé par : michel | 16 mars 2006 à 12:51
L'UNI ne pouvait pas rester bras croisés alors que des étudiants frontistes et des identitaires ont participé à la manif mardi soir, CONTRE des franges etudiantes proches de l'extrême gauche. Sous le nom de «fédération des étudiants contre le travail perturbé» créée par le FNJ, ces étudiants nationalistes ont dénoncer « une atteinte inacceptable aux libertés fondamentales d’aller et venir, d’enseigner et d’étudier ». Et le message est bien passé puisque les affrontements entre "gauchistes" et "droite nationale" ont durée plus d'une heure...
Rédigé par : grif | 16 mars 2006 à 13:38
c'est pas l'uni, qui n'existe pas à la fac, mais à l'instigation de l'UTIL (union des étudiants toulousains indépendants et libres, association créée en septembre dernier) qu'a eu lieu la libération de la fac. en termes de violence, nous avons cassé une vitre pour rentrer, mais c'est tout ! les gazages ont eu lieu des deux cotés, mais nous nous sommes fait asperger de liquide d'exctincteur pendant 15 minutes avant de pouvoir rentrer pour libérer la fac. nous dénombrons de notre coté deux blessés passés à l'hopital, mais chez eux rien ! alors, la violence...
Rédigé par : Cyrille | 16 mars 2006 à 13:51
Je voudrait vous demandez :
10 étudiants ont vraiment libérer l'université des 200 (!!!!!!) grévistes.
10 contre 200 !!!!
Si c'est vrai, alors chapeau bas.
Rédigé par : Nouhèl | 16 mars 2006 à 14:35
Il est vraiment temps que cette mascarade cesse car il semble que ces satanés gauchistes sont bien installées, et qu'effectivement en état de légitime défense il faut agir
Rédigé par : Ad jesum per mariam | 16 mars 2006 à 18:37
nous n'étions pas 10 mais 300, et cela n'a rien d'étonnant : ce n'étaient que des étudiants, prévenus la veille que leur fac serait bloquée, qui veulent travailler ! ca existe encore à Toulouse, et il suffit de voir le film montrant la grille se soulevant pour constater le nombre des "libérateurs" et leur tenue vestimentaire qui n'a rien d'un uniforme caricatural... les grévistes n'étaient pas 200 à l'intérieur, une centaine seulement
Rédigé par : cyrille | 17 mars 2006 à 10:21