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Da Vinci : Mgr Di Falco dédramatise
Ségolène Royal, syndicaliste

Commentaires

jean-françois

Un vide juridique ? A mon avis, c'est surtout la vacuité de la culture des juges français.

Gavés à l'idéologie de la grosse presse, ils sont incapables de comprendre les vrais enjeux de leurs décisions. Gonflés de suffisance par l'ENM, suffisance inversement proportionnelle à leur culture philosophique et logique, ils sont incapables de juger de façon satisfaisante.

Et voilà comment on condamne des médecins, pour avoir donné naissance à des êtres humains, indemnisant le préjudice d'être né. Ce qui serait burlesque, si ce n'était tragique.

Il est vrai que les instances européennes ne leur facilitent pas la tâche, puisqu'elle les obligent à décider qu'un homme est une femme.

Dans ces conditions il est très difficile d'être juge et, dans certains cas, des juges français sauvent l'honneur de leur profession...

En attendant : après le préjudice d'être né, voilà maintenant le non-événement de la mort provoquée.

Si seulement, les juges mettaient en pratique le principe d'égalité devant la loi, nous n'en serions pas là. (Si je subis un préjudice d'être né, pourquoi pas tout le monde, puisque "tout le monde porte sa croix" et donc souffre, si ma mort provoquée par un chauffard est un non-événement, pourquoi la mort d'un autre provoquera-t-elle un procès d'assises ?)

Donc, il n'y a pas de vide juridique, il y a des juges mal formés, dont le critère de jugement est l'émotion qu'il ressentent (E. Zémour la "Culture de l'Emotion") et le vertige de leurs puissances.

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