La dérive de Human Rights Watch
31 octobre 2006
Cette organisation de défense des Droits de l'Homme avait plutôt bien commencé : elle est l'héritière de comités créés en 1978 pour faire pression sur l'Union Soviétique après la signature des Accords d'Helsinki - d'où leur nom jusqu'en 1988, Helsinki Watch.
Et aujourd'hui ? Elle mène le pire des combats.
Une pierre dans le jardin de tous ceux (y compris, hélas ! chez les cathos), qui veulent christianiser "les droits de l'homme", principe intrinsèquement mauvais, et qui finit toujours par porter de mauvais fruits.
Rédigé par : oxbridge | 31 octobre 2006 à 22:13
Ce qui est condamnable, ce ne sont pas les "droits de l'homme", mais la liberté de conscience qui pose en principe que l'homme n'a pas à chercher la vérité.
Ainsi les tenants de la liberté de conscience pensent que l'on peut prétendre que l'embryon n'est pas un être humain. Ce qui est faux. Dans leur perspective erronnée, cette opinion au sujet de l'embryon, fonde le droit à tuer l'embryon.
Rédigé par : jean-françois | 01 novembre 2006 à 10:14
Mais il n'y a pas de droits de l'homme sans liberté de conscience ! Le principe même des DDH, c'est que l'homme lui-même est seul juge de ce qui est bon pour lui, et ce qui est bon pour lui, c'est ce qui bon pour lui en tant qu'individu autocentré, détaché de toute transcendance horizontale ou verticale... Les fameux Droits de l'homme sans Dieu de Madiran ne sont qu'un vulgaire pléonasme.
Rédigé par : oxbridge | 01 novembre 2006 à 14:13