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L'UE menace la Turquie
Libé renouerait avec son passé sulfureux

Le premier des droits de l'enfant

est celui de vivre. Les autres en découlent. En cette journée des droits de l'enfant, n'oublions pas qu'en France, on en tue 220 000 par an avant même qu'ils aient pu respirer. Comment, si on accepte et justifie ces crimes, peut-on voir le reste de la vie d'un enfant avec amour et justice?
Comme le rappelle Jeanne Smits sur son blog, Benoît XVI disait le 16 septembre dernier :

"On ne peut penser qu’une société puisse combattre efficacement le crime quand elle le légalise elle-même dans le cadre de la vie naissante".

Lahire

Commentaires

Martin Lefranc

Il est vrai que l'avortement relativise le parjure, la concussion, le vol, l'escroquerie, le faux, le trafic d'influences etc.

"Si Dieu n'existe pas tout est permis" ; si l'on peut tuer subventionné par les impôts, plus rien n'est condamnable.

Et c'est pourquoi on voit les magistrats diffamateurs, faussaires, voleurs, impudiques.

On en voit aussi de menacés, de tués et tout cela est impuni.

Car les délinquants peuvent dire "pourquoi moi ? J'ai fait bien moins que de faire éclater la tête d'un gosse après l'avoir démembré et pourtant je ne suis pas payé, mais poursuivi par votre société homicide."

Tout le monde le sait dans le fond, tout le monde le vit. Combien un voleur, un faussaire pourrait le dire justement à ses juges : "j'ai fait beaucoup moins, que ceux qui vous paient pour me poursuivre ! Bien moins que ceux que vous êtes payés pour protéger !"

C'est pourquoi les magistrats doivent avoir recours à la violence verbale et sont constamment menacés, voire sont totalement déboussolés comme les juges d'Outreau et d'ailleurs...

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