Une église rurale sur 5 sera détruite en France, soit 2800
18 mai 2007
2800 clochers abattus...
Les églises se vident, elles sont trop grandes pour le nombre de fidèles.
Leur entretien coûte trop cher.
Les mairies sont contraintes de les raser...
Et tout le monde s'incline devant ces décisions, clercs et politiques.
Terrible abandon et affreuse désertion.
Pour se débarrasser d'un bâtiment,
il suffit de le laisser pourrir 20 ans, de l'entourer ensuite de bandes
rouges pour signifier son danger puis de faire établir un arrêté de
péril. La démolition n'est alors plus une honte. Elle est même conseillée.
L'optimisme est-il possible, malgré le sondage actif du Figaro qui indique pour l'instant que 85% des internautes sont choqués par la destruction de nos églises. Ce n'est pas là que se fait la politique... et les choqués d'internet ne sont pas forcément les plus actifs sur le terrain...
Pour tenter l'ultime chance d'en sauver quelques-unes, il faut agir et se battre : agir dans les mairies, tenter des rachats (mécenat, etc), se mobiliser par le biais d'associations (du genre "clochers de France", "40 000 clochers", ...), etc... Interpeller fermement et efficacement le prochain ministre en charge du patrimoine?
Mais qui bougera réellement pour sauver nos clochers et permettre à nos enfants d'entendre, comme nos pères et nous-mêmes, sonner l'Angélus dans nos campagnes?
Pendant ce temps, des municipalités subventionnent illégalement la construction de mosquées (Marseille, Montreuil, Roubaix...).
J'ai 50 ans, catholique romain fidèle au rite tridentin (dit de Saint pie V). Depuis 35 ans j'assiste à la messe dans des hangars. Mes enfants ont reçu les premiers sacrements, Baptême et Eucharistie, dans des garages aménagés.
Quand des catholiques attachés à l'ancienne liturgie veulent faire l'acquisition, le plus légalement du monde, d'une église ou d'une chapelle vouée à la destruction, il leur faut utiliser des subterfuges que les français, catholiques ou non, ne soupçonnent pas. Les prêtres sont parfois obligés de se déguiser, oui, oui. Mais nos évêques préfèrent, que ces églises destinées à devenir boîte de nuit ou pizzeria le restent, et s'opposent par tous les moyens à ce que ces églises ou chapelles soient rendues au culte catholique. Les exemples sont nombreux, très nombreux, ….. trop nombreux … (liste disponible sur demande)
Alors Messeigneurs, quand vous voyez une église tomber sous le coup des bulldozers, si vous ne pleurez pas c'est que vous êtes vraiment tombés très très bas.
Rédigé par : leclair | 18 mai 2007 à 09:53
Excellent Post. Les réactions des ecclésiastiques sont à examiner de près.
L'une de mes églises n'avait pas subi la moindre petite réparation depuis 100 ans, la politique des maires successeurs s'étant résumée par 'à bas la calotte', typique de coin anticlérical enragé depuis 150 ans. Un maire protestant est élu ... qui fait remettre toute l'église en l'état, du sommet du toit aux drains des fondations ! les statues ont été refaites par son successeur, côté paroisse on a remis à neuf autel (XVII°) rétable et emmarchements à nos frais. La population même qui n'y met pas les pieds est contente, les gens me regardent moins de travers.
J'ai fait visiter un soir l'église à mon evêque avec le maire, de passage, pour lui proposer une petite rencontre festive avec élus et population. il a admiré, chaleureusement remercié le maire puis dans l'auto il m'a dit : "dommage. c'est de l'argent foutu en l'air. Il fallait laisser tomber car dans nos campagnes il n'y a plus de pratiquants. un jour il faudra tout regrouper dans lieux centraux et désaffecter le reste. Voilà l'avenir" Cela se passait il y 8 ou 9 ans. Et de fait, cette 'ligne' est fidèlement suivie par ma hiérarchie.
Rédigé par : Abbé Charles Tinotti | 18 mai 2007 à 10:26
Cela fait mal.
Rédigé par : pmc | 18 mai 2007 à 11:35
"La Cité sainte est désertée .Sion est dans la désolation ,La Demeure de Ta Gloire, où nos pères Te louaient...(Prophète Jérémie" Exurge Domine.
Rédigé par : senex | 18 mai 2007 à 11:48
Quitte à faire un doublon, je tiens à contester l'affirmation selon laquelle nous serions contraint à démolir les églises.
Une église, comme tout autre bâtiment appartenant à la collectivité, peut être vendue.
Cette fausse affirmation masque une volonté délibérée d’empêcher l’Église de racheter ce qui lui appartenait et que la loi de 1905 lui avait dépossédé. Il vaut mieux la ruine que le retour de ces édifices dans le giron de l’Église.
Étrangement, l’état constatant la dégradation de biens privés peut exproprier afin de palier l’entretient, mais l’inverse n’est pas possible. L’état a des obligations ! La décentralisation a comme objectif parmi d’autres de se décharger de ses obligations.
La prochaine étape, qui a déjà commencée, consiste pour les monuments classés à les mettre à disposition de grandes entreprises via le mécénat ou encore de les vendre à des associations ou groupes privées (sauf à des particuliers !) avec des baux emphytéotiques. (Voir pour le mécénat : Versailles, la Chapelle ou la Galerie des Glaces, Christine Albanel une proche de Chirac nommée à la tête de l’Établissement Public de Versailles et aujourd’hui ministre de la Culture…)
Ailleurs en Europe et dans le monde les bâtiments religieux chrétiens sont des biens privés de l’Église.
La volonté d’abattre nos clochers est aussi symbolique : il faut casser l’identité française.
Rédigé par : | 18 mai 2007 à 12:20
Mais je ne comprends pas pourquoi les maires ne vendent pas ces eglises a des particuliers. Sur le nombre, il devrait y avoir des gens interesses, tout de meme. Il y a des gens disposes a payer de grosses sommes pour une belle architecture. Apres tout, autant transformer une eglise en domicile, plutot que la raser: A terme, ca permet quand meme de la racheter.
Rédigé par : Visiteur | 18 mai 2007 à 12:50
Bravo monsieur l'abbé. c'est évidemment cette ligne qu'il faut défendre, celle de votre paroisse et de votre commune. Quand bien même les gens, l'essentiel de la population, 'déserterait' les églises, ce qui reste à voir, ils n'en restent pas moins demandeurs voir friands d'églises et de clocher. Près de chez eux, à proximité, 'agissantes dans leur envirronnement'. Oh pas uniquement pour 'le paysage', mais pour les 'bonnes vibrations' qu'elles dégagent... Sans vouloir vous choquer avec cette religiosité de pacotille, j'insiste sur le fait que les gens sont demandeurs, entre leurs jeans bide-à-l'air leur peircing et leurs SMS vrombissant, ils apprécient, réellement, leur présence réelle, du clocher, des cloches, de l'église. Je suis sûr même, qu'un combat pour plus de cloches (plus souvent), serait très porteur, très bien vécu. Suivi.
Les gens gardent leur conditionnement cathophobe, mais ne peuvent s'empêcher d'en ressentir le besoin. Leurs fleurs brodées sur le pantalon jetable ne suffisent plus. C'est une pseudo pratique de l'église plus 'boudhique' en quelque sorte, 'gymnastique' (génuflexion?), environnementale, sonore... qu'ils appellent, mais c'est un besoin consistant, une demande sourde, lourde, française large.
C'est le but de mon commentaire : bien nier cette logique qui voudrait que désaffection des églises = disparition des églises.
C'est tout faux, c'est le contraire qu'il faut voir : à partir du même prémisse, la désaffection, en déduire que 'l'acceptation sociale du clocher est donc autour', que la 'pratique' est changée.
Certes ce n'est pas une vraie pratique, mais c'est un vrai besoin.
Encore bravo au Salon Beige. Voici un combat qui émerge et qui va être très important, dans les temps qui viennent et ici même... Le reflux de la culture de mort commence, et il commence par ce refus de l'ambiance de mort, celle sans clocher, sans cloche, sans angélus.
Rédigé par : l'Omnivore Sobriquet | 18 mai 2007 à 13:03
Et pourquoi ne les vendrait-on pas ?
Plutot que de les détruire des associations de patrimoine, des mécènes, des collectionneurs passionnés d'histoire pourraient bien mieux s'en occuper !
Rédigé par : MAZEUIL | 18 mai 2007 à 13:14
les églises sont détruites
les mosquées
construites
Rédigé par : xango | 18 mai 2007 à 13:23
Pourquoi les hommes d'églises ne demandent-ils pas aux croyants, pratiquants ou non, de retrousser leurs manches pour entretenir les églises et forcer ainsi les maires à reculer; même si ces derniers ont la responsabilité de l'entretien des édifices religieux ?
En appeler aux bonnes volontés permettra de sauver des églises. Seul le premier pas coûte.
Rédigé par : Jean Barbe | 18 mai 2007 à 13:27
@ Jean Barbe
cf mon post ci-dessus Rédigé par: | 18 mai 07 12:20:50
+ Pour vous répondre plus précisément :
La raison est idéologique. Comme beaucoup de choses qui se dégradent, l’état ne veut pas vendre à des particuliers. La « privatisation » est intolérable idéologiquement. Elle est contraire à la tendance générale qui tend vers l’étatisation.
Les églises en sont un exemple, mais d’autres cas existent.
Un canal de Bretagne (je ne sais plus lequel) vient d’être mis en vente faut de budget pour l’entretenir. Après un premier transfert de compétence état - région, le conseil régional ne pouvant pas supporter le coût de l’entretien (idem les routes nationales) se trouve à son tour obliger de le vendre. Le conseil général est alors obligé d’en faire l’acquisition, car de l’aveu même des politiques, il est hors de question que les berges puissent devenir privées !
Ce mécanisme est non seulement révélateur de l’état de nos finances et de l’idéologie, mais il nous laisse préfigurer de l’avenir.
En reprenant l’exemple des églises, l’état, le conseil régional, le conseil général, ne prennent pas la décision de raser les églises. Ils transfèrent progressivement les compétences (sans les budget) vers ceux qui n’ont pas les moyens d’assurer l’entretien (les mairies au final). La décision de raser reviendra donc subtilement aux administrés eux-mêmes mis devant le fait accompli.
Les politiques et les administratifs étant les fameux « responsables mais non coupables »
On s’en lave les mains et tout va bien ! Ceux qui feront l’effort de conserver leur églises seront donc grevé d’une nouvelle contribution (impôt) ni vu ni connu !
Vive les tours de passe-passe et vive la décentralisation.
Concernant les bonnes volontés : Juridiquement l’Église n’est que locataire des murs depuis 1905, il ne lui appartient pas de faire les gros travaux. Elle ne peut donc demander à ses ouailles de mettre la main au portefeuille ou d’agir directement. Toute initiative côté privé est bloquée.
J’ajoute encore pour finir, les restaurations sur le mobilier ou les petites restaurations sont d’un autre ordre juridique et comparable aux travaux que doit faire un locataire dans une maison. Les Objets et Mobiliers, c’est encore autre chose, ils dépendent d’un autre service.
Rédigé par : roland | 18 mai 2007 à 16:50
Il semble évident que le problème en amont, ce n'est pas la vétusté ou la ruine des bâtiments, mais tout simplement la désertion des fidèles.
Dans l'Oise, j'ai coutume d'assister à des messes : force est de constater que je suis, dans mon âge (la trentaine) pratiquement isolé. Mes voisins et le curé (qui célébre dans plusieurs villages, en "tournant") ont largement -largement- la cinquantaine. Pour ces fidèles, ultra majoritaires en nombre dans cette assemblée, on pourrait même parler de 3e âge, et je ne suis pas irrespectueux !
Donc, la relève n'a pas été assurée. Pas de jeunes (ils dorment, ils sortent, ils s'en fichent).
Comment espérer dans ces conditions le maintien des édifices ? Un curé pour au moins quatre clochers, des fidèles d'un autre âge, une messe une fois par mois dans certaines églises (puisque ça "tourne") ?
Quand les fidèles reviendraient, les églises auraient de nouveau leur légitimité -fût-ce dans la bourgade la plus réculée- et seraient même défendues, mais, faute de fidèles, quel maire accepterait d'entretenir un lieu déserté ?
Nota : à Visiteur, sans acrimonie, vendre une église comme il se fait aux Pays-bas à des particuliers me semble sacrilège. Une fois l'église transformée en maison d'habitation, je me demande comment il serait possible de la retransformer en lieu de culte...
Rédigé par : cathosympa | 18 mai 2007 à 17:14
La Bête, conformément à sa manière, n'a pas eu besoin de rugir, seulement d'instiller le doute, le questionnement faussé, l'égarement : le danger en soi n'est pas qu'on détruise quelques églises qui menaceraient réellement ruine, mais que les esprits, du fait de ces précédents, finissent par admettre la généralisation des destructions comme inéluctables, nécessaires, et faisant partie de l'évolution.
Euthanasie de la mémoire et de la culture commise au nom du principe de précaution.
Si chacun ne réagit pas aujourd'hui, au niveau de sa paroisse, il sera bientôt trop tard.
Je suis cependant étonné des dernières explications postées ici : nos provinces regorgent d'églises et chapelles séculaires, désaffectées depuis longtemps, pour la restauration desquelles on a pourtant trouvé l'argent nécessaire...
Rédigé par : Ambrose | 18 mai 2007 à 20:55
@ cathosympa
Il n'y a plus de Roi et nous entretenons bien les châteaux.
Nous entretenons bien nos citadelles sans qu’elles soient encore en usage?
Nous entretenons nos lavoirs sans que j'y vois encore une mère Denis...
Le manque de fidèles n'est pas un argument recevable. C'est un autre problème.
Leclair l'a écrit dans le 1er post, certains fidèles sont réduit a dire la messe dans des garages et dans des granges, alors, un église qui serait devenue une boîte de nuit ou une maison et qui redeviendrait un lieu consacré n'a aucune importance.
L'important c'est la consécration et la présence du Christ, pas le lieu intrinsèque. Durant la Révolution dois-je vous rappeler où sont allé se cacher les autels? dans des commodes et des armoires à double fond... Heureusement nous n'en somme pas là encore.
Rédigé par : roland | 18 mai 2007 à 21:25
Cher Roland, merci d'abonder finalement dans mon sens !
En effet, ceux qui adorent doivent adorer en esprit et en vérité et l'Ecriture dit bien : le ciel est son trône, et la terre son marchepied, quelle demeure pourrions-nous lui bâtir ?
Si donc il est possible de célébrer la sainte messe dans un hangar ou dans une grange, en quoi serait-il impérieux de sauver toutes les églises rurales, puisque le lieu de la célébration est indifférent pour la validité du sacrement ?
Ce que je voulais dire, et je le maintiens, c'est que l'effritement, au propre comme au figuré, des églises rurales est indissociable du manque de ferveur des fidèles et de la réelle apostasie qui règne actuellement, partout dans le monde (l'apostasie subreptice dont parlait un Cardinal récemment).
Je ne vois pas comment sauver les églises rurales si le feu ne revient pas dans le coeur des fidèles locaux, les premiers à pouvoir "agir"...
Rédigé par : cathosympa | 19 mai 2007 à 10:42
@ cathosympa
Les églises menacées pourraient être sauvées indépendamment du nombre de fidèles si l'état acceptait de les vendre (quitte même à ce qu'elles ne soient plus des églises).
Mais nous parlons ici de RASER des églises.
Le scandale vient de cette opposition dogmatique d'un étatisme qui refuse TOUTE privatisation!
Si encore cette affirmation de ce principe était respectée, cela pourrait passer ou être admissible. Mais n'oublions pas que ce même temps, l’État vend d'autres biens comme des entreprises, des autoroutes etc...
Il y a donc manifestement un parti pris démagogique qui ne sert que des intérêts particuliers.
Je rappelle qu’il y a deux problèmes distincts dans cette affaire.
Relisez mes autres posts dans ce fil.
Merci.
Rédigé par : roland | 19 mai 2007 à 14:01
"à Visiteur, sans acrimonie, vendre une église ... à des particuliers me semble sacrilège."
Certes, mais entre les vendre et les détruire, on peut espérer que parmi tous les acheteurs, la FSSPX pourront en acheter quelques unes, certains catholiques y feront dire la Messe... Si vous ou moi achetons une église, même si nous y habitions, on y fera bien dire la Messe une ou deux fois par an, en invitant un prêtre.
Le sacrilège est avant tout dans l'intention, et si un fidèle se loge dans une église en ayant l'intention de la sauver et de la sanctifier par des actes concrets de sa vie quotidienne, je pense qu'on se trouve fort loin de la profanation pure et simple, de la destruction ou de la transformation en cinéma.
Rédigé par : Visiteur | 19 mai 2007 à 19:45
J'écrivais plus haut
« ... En reprenant l’exemple des églises, l’état, le conseil régional, le conseil général, ne prennent pas la décision de raser les églises. Ils transfèrent progressivement les compétences (sans les budgets) vers ceux qui n’ont pas les moyens d’assurer l’entretien (les mairies au final). La décision de raser reviendra donc subtilement aux administrés eux-mêmes, mis devant le fait accompli.
Les politiques et les administratifs étant les fameux « responsables mais non coupables »
On s’en lave les mains et tout va bien ! Ceux qui feront l’effort de conserver leurs églises seront donc grevés d’une nouvelle contribution (impôt) ni vu ni connu !
Vive les tours de passe-passe et Vive la décentralisation. »
EN VOICI UN EXEMPLE
Voir le lien ici : l'église d'Arc sur Tille
http://www.uepa.fr/pourquoi/index.htm
Rédigé par : roland | 20 mai 2007 à 11:20
L'aménagement du territoir comlétement débile que nous subissons depuis 1945, donne des effets pervers. Il faut savoir que 15 % de la population française, soit 10 millions d'âmes, vit dans une des régions les plus petites de notre pays, à savoir l'Ile de France. C'est pas beau ça ? Donc plus de villages, plus de postes, plus de boulangerie et bien sûr plus d'églises. Mais a propos qui a dirigé ce pays depuis l'après-guerre ? Des technocrates madame, des technocrates. C'est quoi ça ? Des super fonctioinnaires ou autres capables de couper des cheveux en 4, mais de ne jamais résoudre des problèmes simples avec le bons paysan.
Rédigé par : GRAFF | 20 mai 2007 à 13:31
unissons-nous dans la prière pour que de telles atrocités n'arrivent pas.
"Je vous salue Marie...
Rédigé par : une âme | 20 mai 2007 à 20:45
Curé de 21 clochers pendant 9 ans il y a peu,je puis témoigner que la litugie bien célébrée dans chacune des églises (certes chacune à son tour) remplit à nouveau les églises de fidèles... et stimule les mairies pour restaurer les églises de leur village... dans ce cas, je pense que l'émulation a joué son plein!
Parmi ces 21 églises, 3 étaient à notre charge... avec l'aide du diocèse et beaucoup de générosité et sacrifices des fidèles nous avons pu refaire toitues et clochers...
Rédigé par : PB | 20 mai 2007 à 21:34
je suis a la recherche d une petite eglise ou chapelle pour y faire une habitation si vous pouvez m aider mon reve deviendrait realite......
Rédigé par : capron | 27 juin 2007 à 11:41
Pouvez-vous, pour un ami me fournir la liste des églises à vendre en France
Rédigé par : Deprelle | 19 septembre 2007 à 13:01
Il y a quelques semaines , j'ai publié ceci :
http://castero.free.fr/spip.php?article40
Cela m'a valu quelques inconvénients...
Rédigé par : castero | 21 novembre 2007 à 14:08
si dans chaque département des familles se mobilisent pour acheter les églises, on pourrait éviter se raz de marée.
Les familles doivent se regrouper en association pour dans le but de se préparer à acheter l'église la plus proche à vendre. l'association peut servir de futur conseil de fabrique comme autrefois. Il faut diviser le travail de rachat de églises et non le concentrer. l'association culturelle auri pour but de racheter et restituer à une église digne de ce nom
Allons courage. nous avons déjà réussis à le faire pourquoi pas vous .
Henri 0611771163
Rédigé par : Dubroeucq | 28 juillet 2008 à 23:38