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Essor du "hors-contrat" en 2007
Laïcité : Impayable Bayrou

La famille détruite par la pilule

Une fois n'est pas coutume, le Monde met en ligne deux articles intéressants :

  • Le premier sur les circonvolutions qui ont précédé le vote à l'Assemblée de la loi Neuwirth en citant notamment cette phrase du député de la Moselle qui explicite la destitution du père, du mari et de l'homme dans la mise en place de la contraception :

"Les maris ont-ils songé que désormais c'est la femme qui détiendra le pouvoir absolu d'avoir ou de ne pas avoir d'enfants en absorbant la pilule, même à leur insu ? Les hommes perdront alors la fière conscience de leur virilité féconde et les femmes ne seront plus qu'un objet de volupté stérile".

  • Le second dépeint la famille moderne (les parents et deux enfants espacés de 3 ans) où l'argent (salaire, emploi, ascension sociale, "facilité" de vie, etc) et l'orgueil des parents ont remplacé l'amour (mot totalement absent de cet article). La contraception permet évidemment cette auto-satisfaction :

"Aujourd'hui, l'état normal, c'est au contraire celui où l'on n'est pas exposé à une grossesse, puisque la plupart des femmes ont une méthode contraceptive continue dès leurs premiers rapports sexuels. Avoir un enfant, cela suppose donc, dans la plupart des cas, de réfléchir, de prendre une décision et d'arrêter sa contraception".

Lahire

Commentaires

senex

Il y a eu des milliers de femmes cobayes martyrs de la "pilule"de Pincus.
Les premiers essais ont été faits dans le tiers-monde,à la Jamaïque en particulier, a des doses très élevées et pathogènes.Et ça continue avec les substances abortives..
Il faut reconnaître le courage de S.S Paul VI d'avoir écrit "Humanae vitae" en 1968, alors que bien des évèques étaient acquis à l'idée de la nécessité de ces moyens artificiels.

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