Sarkozy supprime la fête de la nation
21 décembre 2007
Sarkozy avait transformé la fête nationale de 2007 en un grand rassemblement européen. Le 14 juillet 2008 sera consacré à une rencontre entre tous les dirigeants des pays membres de l'UE et tous les représentants des pays riverains de la Méditerranée. Ces derniers seront présents depuis la veille pour un sommet sur "l'Union méditerranéenne" lancée officiellement depuis hier par "l'appel de Rome" de Nicolas Sarkozy, de Romano Prodi et de José Luis Zapatero.
Sarkozy fait carton plein : les deux premiers "14 juillet" de sa présidence n'auront pas été des fêtes nationales de la France, mais la mise en évidence de l'immersion de la France dans un magma qui aura comme conséquence de l'amoindrir, si ce n'est de la faire disparaître. Choisir la fête nationale pour de telles démonstrations aura de quoi choquer beaucoup de Français. D'autres y verront une continuité logique de la déliquescence annoncée de la France depuis la Révolution commémorée jusqu'à son engloutissement final dans l'UE.
"Mais cette fête nationale, qu'est-ce que c'est? Vous le comprenez, vous?" aurait pu dire un grand Français qui savait très bien que la France célèbre sa vraie fête en ce seul jour du 15 août, fête de l'Assomption de sa Reine.
La Nation déifiée, comme la fête de la Nation sont des idées révolutionnaires, qui placent la nation souveraine au dessus du respect du à Dieu, à l'opposé de ce qu'avait demandé le Sacré Coeur par le fait de placer son emblème sur les drapeaux royaux. Et comme l'Eglise le fête par la fête du Christ Roi.
Quant au 14 Juillet, c'est la commémoration d'assassinats d'innocents. La symbolique étant devenue caduque, Sarkozy la remplace par du médiatique. Triste, mais logique. Après tout, la France a existé durant des siècles sans Fête Nat. : quand les Français respectaient la Patrie et ses traditions religieuses et morales.
Rédigé par : Pascal G. | 22 décembre 2007 à 01:30
que va-t-il faire dans l'avenir du 15 août et du 25 décembre ?
On peut se poser la question
Rédigé par : paul | 22 décembre 2007 à 08:25
C'est bien parce que le 14 juillet est un non-sens qu'il tourne là où le vent l'emmène.
Peu importe ! Au moins les chsoes sont claires : c'est le Christ-Roi et sa Sainte Mère contre le mondialisme.
Nous fêterons l'Assomption !
Rédigé par : Lecteur | 22 décembre 2007 à 18:48
Tant mieux! Le 14 juillet aurait dû être une journée nationale de deuil, comme le 21 janvier d'ailleurs!
Rédigé par : Hadrien N | 22 décembre 2007 à 20:20
Même si la 14 juillet est une fête révolutionnaire, il était jusqu'alors surtout la fête nationale, celle où les défenseurs de la Nation étaient mis à l'honneur, à savoir nous-mêmes, les Français combattant au péril de leur vie pour que vive la France.
En transformant en 2007 la fête patriotique par excellence en fête européiste, Sarkocu avait trahi une première fois; il avait malheureusement bafoué par le même temps le sacrifice de ceux qui sont morts les armes à la mains pour la défense de la Patrie.
En y ajoutant en 2008 les pays du Maghreb (et du pourtour méditerranéen, y compris Israël, on se demande trop bien pourquoi), Sarkocu ajoute une vilenie de plus: la braderie de tout esprit national à létranger et plus encore à l'immigration-invasion, qui tônera en maître ce 14 juillet 2008.
Sarkocu montre ce qu'il est: un mondialiste, affairiste (prêt à toutes les pires courbettes pour des contrats avec Khadafi), immigrationniste. Un parvenu du show-biz, inculte, illétré, plus proche des rappeurs afficahnt rolex et belles pépées dans leurs clips que d'un Président de la France.
On ne pleurera pas sur le 14 juillet révolutionnaire, chacun l'aura compris, mais bien sur la fête des Patriotes défenseurs de la Patrie, désormais ignorés et ridiculisés.
On préfèrera donc, bien sûr, la fête de la Sainte Vierge, mais aussi celle de la seconde Patrone de la France, Ste Jeanne d'Arc.
Rédigé par : Olivier | 23 décembre 2007 à 14:22