Traité de Lisbonne : "Décidément, on se fout de nous"
04 février 2008
Etienne Chouard qui eut un rôle si important dans la campagne du non en 2005, pique une ire :
"Ce viol est rendu possible sans déclencher de révolte grâce à la complicité active des soi-disant "sentinelles du peuple": les journalistes, censés surveiller et dénoncer les abus de pouvoir, ne remplissent pas leur mission, pourtant vitale pour la démocratie, et dissimulent un coup d’Etat sous la chape de plomb d’un silence coupable" (suite).
La V° republique a commencé avec une forfaiture, elle se terminera de même.
Rédigé par : Papon | 05 février 2008 à 09:37
Non à ce coup d'Etat !
A part prier pour Ste Jeanne d'Arc, je me pose qd meme une question :
que peut-on faire pour libérer la France ?
Si vous avez des idées concrètes ça m'intéresse...
Rédigé par : cosaque | 05 février 2008 à 14:53
Pas seulement la complicité des médias : surtout la passivité des Français, leur esprit mouton, on pense au mot de De Gaulle sur les veaux !
Rédigé par : Pois Chiche | 06 février 2008 à 14:14