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La religion du Président
L'UE refuse d'aider les chrétiens d'Irak

Après les allocations familiales, l'allocation de rentrée scolaire?

La menace pèse à nouveau sur l'aide de l'Etat aux familles. C'est au tour de l'allocation de rentrée scolaire :

"Une autre mauvaise nouvelle pourrait attendre les familles, juste après les vacances [NDL : comme par hasard!] : la réduction de l'allocation de rentrée scolaire, inscrite dans la loi de finances de la sécurité sociale et actuellement en discussion : " Elle pourrait être diminuée de manière importante pour les enfants du primaire et pas totalement compensée par des montants plus élevés pour ceux du collège ou du lycée".

Une information à diffuser! La famille est la cellule de base de la société et l'Etat doit mettre en œuvre une politique permettant aux parents de remplir leur devoir d'éducation.

Lahire

Commentaires

GT

L'offensive est bien réelle. Sous prétextes d'économies de bout de chandelles, nous assistons au dé tricotage de la politique familiale, en ayant soin de faire passer la pilule en la transformant en politique sociale !

michel

En fait, que voudrait le Gouvernement (et les députés qui ont voté la loi de finances, comme les sénateurs) ?
Dénaturer l'esprit des allocations familiales ?

Intéressant.
http://www.ash.tm.fr/front/quiestqui_asso.php?Id=23

Le contrôle de l'Etat ne doit pas signifier décision (à la place du conseil d'administration de la CNAF).

J'espère que les budgets "prestations familiales" et "fonds d'action sanitaire et sociale" sont étanches...

Barbara

C'est même étonnant qu'ils n'aient pas eu l'idée d'un impôt de rentrée. Un tel impôt pourrait facilement être justifié : les familles avec enfants sont les responsables de la nécessité pour l'Etat d'embaucher des enseignants. Pas d'enfants : pas de maternités, pas d'allocations familiales, pas de crêches, pas d'établissements scolaires. Une très grosse économie pour le budget. Après, il ne restera qu'à euthanasier les malades et les vieux, qui de toute façon ne pourraient être soignés en l'absence de générations plus jeunes pour s'occuper d'eux.

Amarie

Là, si je ne me trompe, il s'agit plus de politique sociale que de politique familiale puisque cette allocation est attribuée en fonction des revenus. Ce n'est pas le même problème que les allocations familiales. Je dis cela car je connais pas mal de familles qui, pour avoir accès aux aides de ce type ont fait des choix très discutables : travailler à temps partiel (20h) pour celui qui travaille dans la famille, ne pas déclarer tous ses revenus, travailler juste ce qu'il faut pour pouvoir être remboursé de sa taxe professionnelle etc, sachant que les familles dont je parle possèdent pour la plupart des biens immobiliers considérables...Sachant que certains, comme mon mari, travaillent 70 heures/semaine pour financer ces prestations, j'avoue que je ne suis pas mécontente qu'elles soient remises en question !

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