Des limites de l'ouverture, manoeuvre politicarde
28 février 2009
Billet de Paul-Henri du Limbert dans le Figaro :
"À écouter le chef de l'État, l'ouverture est une idée de génie. Son but
était simple : déstabiliser le Parti socialiste. À ce stade, c'est
réussi (...) Mais tout n'a qu'un temps. Alors que s'approche la mi-quinquennat, il
n'est pas certain que la glorification, voire l'amplification, de la
politique d'ouverture présente autant d'avantages qu'en mai 2007. Si
Nicolas Sarkozy a pu séduire au début une partie des électeurs de
gauche, ce n'est plus le cas désormais (...)
Demander à un socialiste germanopratin d'aller dialoguer au nom de la France avec un marxiste caribéen, était-ce indispensable ?"
Demander à un socialiste germanopratin d'aller dialoguer au nom de la France avec un marxiste caribéen, était-ce indispensable ?"
C'est bien : il a déstabilisé le PS... Il a aussi trahi la droite naïve qui a cru en une politique de droite. Que reste-t-il ? Nous voilà bien contents !
Rédigé par : VD | 28 février 2009 à 17:13
Il y a deux categories de politiciens: ceux qui savent se faire elire et ceux qui savent gouverner; M. Sarkozy appartient manifestement à la premiere categorie.
Rédigé par : Papon | 28 février 2009 à 17:23
A ce stade ce n'est plus de l'ouverture c'est de la conversion!
Rédigé par : jeffmoveone | 28 février 2009 à 23:45