Visitant des chantiers dans l'Hérault la semaine dernière, quelle fut ma surprise de voir également une église à vendre dans le petit village d'Herepian (34600) ! http://membres.lycos.fr/tnt34/669.HTM
Il faudrait saisir l'occasion. Pourquoi des nantais ne montraient pas une association avec souscription nationale pour la donner à une communauté? Je serais le premier à donner l'occasion est trop belle.
" Clin d'oeil au passé des lieux, une croix lumineuse et des luminaires de la marque italienne Lucifero ont été disposés ici et là."
Extrait de l'article paru dans dans 20Minutes
Vraiment pas cher !trente deniers...De quoi se payer le champ du potier pour ensevelir les derniers catholiques...!Souhaitons un bon sommeil à cet avocat.Je serais lui, je me méfierai des revenants...
"Le diocèse refuse de vendre ses églises aux dissidents
Créé le 19.03.09 à 06h53 | Mis à jour le 19.03.09 à 06h53 |
Rue d'Allonville, les sédévacantistes louent un ancien hangar à bois. Au prieuré intégriste de la rue François-Bruneau, c'est une ancienne usine de bobines électriques qui fait office de chapelle. Les catholiques dissidents aimeraient pourtant bien jouir de lieux de culte dignes de ce nom. Mais « à chaque fois qu'une église est en vente, l'évêque impose à l'acheteur une clause de non-retour au culte », affirme l'abbé Patrick de la Rocque, responsable du prieuré Saint-Louis.
Dernier exemple en date : la chapelle d'une congrégation religieuse, actuellement en vente à côté du Jardin des plantes, a ainsi échappé aux deux courants. « Un scandale », fulmine l'abbé sédévacantiste Philippe Guépin, qui a meublé sa chapelle, située non loin de là, avec des bancs d'église et des statues rachetés à des brocanteurs. L'ecclésiastique mise sur « la charité des fidèles » pour lui léguer des sanctuaires, parfois en ruines, comme celui de Notre-Dame-des-Dons, à Treillières. Cédé « pour 10 francs » en 1980, celui-ci a été reconstruit en huit ans par ses ouailles. Au prieuré Saint-Louis, on s'est également fait une raison. Une église, actuellement au stade de plans, va sortir de terre sous trois ans en lieu et place de l'ancien hangar à bois. Du côté du diocèse de Nantes, on ne nie pas l'existence de cette clause de non-retour au culte. Seulement, « elle ne s'applique pas de façon systématique », précise le vicaire général, Denis Moutel, guère enclin à parler de ce « sujet complexe » "
La clause de non-retour au culte exigée par l'Evêque est bien évidemment abjecte.
Cependant, si l'Eglise Catholique cédait ses lieux de culte aux Sédévacantistes (dont l'unique préoccupation est de vomir leur haine du Pape qu'ils qualifient d'hérétique, de schismatique, d'apostat, de relaps, d'irénique ou que sais-je encore), elle se déshonorerait. Le jour où les Sédévacantistes feront preuve d'un peu plus de charité envers le Pape (rien que le Pape !), je pourrai revoir mon jugement à l'égard de ces fanatiques.
Néanmoins, tirer lucre de la vente d'un lieu de culte est une démarche qui frôle la simonie. Bref, rien de bien catholique !
elles ne valent rien, mais à quel point de vue?
Juridique ou moral?
Cela me paraît tout de même bizarre.
Enfin je suis d'accord avec vous Jacques, il faut s'organiser et utiliser tous les moyens disponibles légalement! J'ai notamment un ami qui a constitué une association pour la sauvegarde d'une église menacée de destruction. Et je crois bien qu'il n'est pas le seul.
Je ne parle de rien, je me contente de citer un article du journal de propagande et d'endoctrinement de masse 20 minutes (car distribué gratuitement et massivement, d'un conformisme béat; bien qu'ayant parlé de la dernière commémoration du 21janvier à Nantes). Il y est en effet question du Prieuré Saint Louis, de la FSSPX, que les journalistes préfèrent qualifier d' intégriste.
encore !
http://www.20minutes.fr/article/263374/Nantes-A-Nantes-l-ex-eglise-a-reussi-sa-conversion.php
Rédigé par : david | 18 mai 2009 à 15:45
Visitant des chantiers dans l'Hérault la semaine dernière, quelle fut ma surprise de voir également une église à vendre dans le petit village d'Herepian (34600) !
http://membres.lycos.fr/tnt34/669.HTM
En voici une autre trouvée par hasard :
http://www.paperblog.fr/1458935/eglise-a-vendre/
Rédigé par : VdR | 18 mai 2009 à 16:09
Il faudrait saisir l'occasion. Pourquoi des nantais ne montraient pas une association avec souscription nationale pour la donner à une communauté? Je serais le premier à donner l'occasion est trop belle.
Rédigé par : Jacques | 18 mai 2009 à 16:23
Ca vous étonne si je vous dis que l'actuelle mosquée de Nantes est une ancienne église ?
Rédigé par : Clotilde | 18 mai 2009 à 16:29
" Clin d'oeil au passé des lieux, une croix lumineuse et des luminaires de la marque italienne Lucifero ont été disposés ici et là."
Extrait de l'article paru dans dans 20Minutes
Rédigé par : P G. | 18 mai 2009 à 16:50
Vraiment pas cher !trente deniers...De quoi se payer le champ du potier pour ensevelir les derniers catholiques...!Souhaitons un bon sommeil à cet avocat.Je serais lui, je me méfierai des revenants...
Rédigé par : senex | 18 mai 2009 à 16:53
@ Jacques
"Le diocèse refuse de vendre ses églises aux dissidents
Créé le 19.03.09 à 06h53 | Mis à jour le 19.03.09 à 06h53 |
Rue d'Allonville, les sédévacantistes louent un ancien hangar à bois. Au prieuré intégriste de la rue François-Bruneau, c'est une ancienne usine de bobines électriques qui fait office de chapelle. Les catholiques dissidents aimeraient pourtant bien jouir de lieux de culte dignes de ce nom. Mais « à chaque fois qu'une église est en vente, l'évêque impose à l'acheteur une clause de non-retour au culte », affirme l'abbé Patrick de la Rocque, responsable du prieuré Saint-Louis.
Dernier exemple en date : la chapelle d'une congrégation religieuse, actuellement en vente à côté du Jardin des plantes, a ainsi échappé aux deux courants. « Un scandale », fulmine l'abbé sédévacantiste Philippe Guépin, qui a meublé sa chapelle, située non loin de là, avec des bancs d'église et des statues rachetés à des brocanteurs. L'ecclésiastique mise sur « la charité des fidèles » pour lui léguer des sanctuaires, parfois en ruines, comme celui de Notre-Dame-des-Dons, à Treillières. Cédé « pour 10 francs » en 1980, celui-ci a été reconstruit en huit ans par ses ouailles. Au prieuré Saint-Louis, on s'est également fait une raison. Une église, actuellement au stade de plans, va sortir de terre sous trois ans en lieu et place de l'ancien hangar à bois. Du côté du diocèse de Nantes, on ne nie pas l'existence de cette clause de non-retour au culte. Seulement, « elle ne s'applique pas de façon systématique », précise le vicaire général, Denis Moutel, guère enclin à parler de ce « sujet complexe » "
Source: http://www.20minutes.fr/article/312513/Nantes-Le-diocese-refuse-de-vendre-ses-eglises-aux-dissidents.php
Sans commentaires...
Rédigé par : Camillo | 18 mai 2009 à 17:27
@Camillo
d'où l'intérêt de constituer des associations.
Et puis les clauses de non retour au culte ne valent rien.
Rédigé par : Jacques | 18 mai 2009 à 18:05
Non retour à quel culte ?
C'est primordial à savoir.
Rédigé par : Jean Theis | 18 mai 2009 à 18:05
à Camillo,
Quand vous parlez du prieuré de la rue François -Bruneau, je pense que vous voulez parler du prieuré " traditionaliste".
Rédigé par : Le Papayou | 18 mai 2009 à 18:42
...des luminaires "Lucifero"...
Ca ne s'invente pas !
C'est bien le signe de celui qui fait tout pour chasser la chrétienté !
Rédigé par : JO | 18 mai 2009 à 19:31
La clause de non-retour au culte exigée par l'Evêque est bien évidemment abjecte.
Cependant, si l'Eglise Catholique cédait ses lieux de culte aux Sédévacantistes (dont l'unique préoccupation est de vomir leur haine du Pape qu'ils qualifient d'hérétique, de schismatique, d'apostat, de relaps, d'irénique ou que sais-je encore), elle se déshonorerait. Le jour où les Sédévacantistes feront preuve d'un peu plus de charité envers le Pape (rien que le Pape !), je pourrai revoir mon jugement à l'égard de ces fanatiques.
Néanmoins, tirer lucre de la vente d'un lieu de culte est une démarche qui frôle la simonie. Bref, rien de bien catholique !
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi Vous abandonne-t-on ?
Rédigé par : Xtophe | 18 mai 2009 à 19:51
faut faire un quete pour l'acheter !
Rédigé par : salson | 18 mai 2009 à 20:15
elles ne valent rien, mais à quel point de vue?
Juridique ou moral?
Cela me paraît tout de même bizarre.
Enfin je suis d'accord avec vous Jacques, il faut s'organiser et utiliser tous les moyens disponibles légalement! J'ai notamment un ami qui a constitué une association pour la sauvegarde d'une église menacée de destruction. Et je crois bien qu'il n'est pas le seul.
Sinon, dans un autre registre, la Fraternité de la Transfiguration, avait réussi, par je ne sais quel procédé, à racheter une partie de l'archevêché de Poitiers, au nez et à la barbe de l'Evêque...
http://www.poitiers.maville.com/actu/actudet_-Des-integristes-dans-l’ancien-eveche-_loc-836540_actu.Htm
Rédigé par : Camillo | 18 mai 2009 à 20:37
Abandon et chute de Béatrice.
Tout cela ressemble à Dien Bien Phu.
Des combats héroïques d'arrière garde dans l'indifférence générale.
Rédigé par : piero | 18 mai 2009 à 20:55
Il me semble que la FSPX cherche à acheter des églises, non?
Rédigé par : Caton | 18 mai 2009 à 21:15
@ Le Papayou
Je ne parle de rien, je me contente de citer un article du journal de propagande et d'endoctrinement de masse 20 minutes (car distribué gratuitement et massivement, d'un conformisme béat; bien qu'ayant parlé de la dernière commémoration du 21janvier à Nantes). Il y est en effet question du Prieuré Saint Louis, de la FSSPX, que les journalistes préfèrent qualifier d' intégriste.
Rédigé par : Camillo | 18 mai 2009 à 22:22
@ camillo
Et Mgr Rouet l'a en travers de la gorge...
Rédigé par : Jacques | 19 mai 2009 à 11:59