Pas étonnant quand on sait qui dirige l'Espagne aujourd'hui: un quarteron de francs-maçons et d'invertis. Quel mystère d'iniquité quand on se souvient du régime providentiel et chrétien des années 1936 à 1975 !
Oui, cette pitoyable histoire montre bien que ce gouvernement socialiste est bel et bien l'héritier des "rouges" des années 30, et il veut prendre une revanche historique. Le déterrement des religieux est pour bientôt...
Non, le régime de Franco n'a pas été un "régime providentiel et chrétien".
Chrétien, il l'a certes été. Mais Franco, par goût du pouvoir, a refusé de rendre à l'Espagne son autorité légitime.
S'appuyant certes sur la légitimité théologique mais sur le règne d'un homme fort et pas du monarque légitime, le franquisme a connu le sort des dictatures même chrétiennes (Cf Garcia Moreno): tout s'écroule à la mort de l'homme fort, et ce sont les fidèles d'entre les fidèles qui ouvrent les portes à la démocratie libérale: le premier ministre Suarez, vingt ans de Mouvement national, a autorisé le PC en 1977 et mené la "transition démocratique"...
Ceci pour dire que le bien commun ne perdure jamais si l'autorité politique n'a pas la double légitimité:
Pas étonnant quand on sait qui dirige l'Espagne aujourd'hui: un quarteron de francs-maçons et d'invertis. Quel mystère d'iniquité quand on se souvient du régime providentiel et chrétien des années 1936 à 1975 !
Rédigé par : marc | 01 septembre 2009 à 22:05
A Marc,
Oui, cette pitoyable histoire montre bien que ce gouvernement socialiste est bel et bien l'héritier des "rouges" des années 30, et il veut prendre une revanche historique. Le déterrement des religieux est pour bientôt...
Non, le régime de Franco n'a pas été un "régime providentiel et chrétien".
Chrétien, il l'a certes été. Mais Franco, par goût du pouvoir, a refusé de rendre à l'Espagne son autorité légitime.
S'appuyant certes sur la légitimité théologique mais sur le règne d'un homme fort et pas du monarque légitime, le franquisme a connu le sort des dictatures même chrétiennes (Cf Garcia Moreno): tout s'écroule à la mort de l'homme fort, et ce sont les fidèles d'entre les fidèles qui ouvrent les portes à la démocratie libérale: le premier ministre Suarez, vingt ans de Mouvement national, a autorisé le PC en 1977 et mené la "transition démocratique"...
Ceci pour dire que le bien commun ne perdure jamais si l'autorité politique n'a pas la double légitimité:
http://www.viveleroy.fr/article8.html
La grâce ne va pas contre la nature!
Rédigé par : lulo | 01 septembre 2009 à 22:51
@ Lulo,
Vive le roi d'au dela des mers, qui est aussi roi d'Espagne.
Rédigé par : Pol | 02 septembre 2009 à 08:56
Le bon vieux Caudillo qui a voulu (re)creer une Espagne catholique doit maintenant se retourner dans sa tombe en voyant l'etat de ce pays!
Rédigé par : Romain Dyli | 02 septembre 2009 à 15:51