Copenhague : avant tout, la tenue morale et le respect du droit à la Vie, don de Dieu
29 novembre 2009
Copenhague et malthusianisme : à lire sur e-deo. Alors que les esprits s'échauffent sur le prochain sommet de Copenhague et que nous sommes abreuvés de discours, déclarations et dossiers en tout genre, il convient de revenir au calme et de se tourner une fois encore vers le seul enseignement qui tienne, celui de l'Église.
En effet, il n'apparaît pas dans ces documents émanant souvent de catholiques, une pensée suffisamment profonde permettant une action publique ou politique conforme au passage clé de caritas in veritate cité ci-dessous. Souvent, ces papiers manquent de prudence qui guide pourtant les déclarations de Benoît XVI sur cette question du climat : on ne lit rien de bien consistant en provenance de la CEF par exemple, on parcourt des sites trop superficiels, on évite ceux des donneurs de leçons et des maîtres à penser qui ne reconnaissent que leurs idées, on découvre ailleurs des recettes toutes faites appuyées sur des articles de Libération ou encore là-bas on ne s'émeut pas de la proposition de partager le "coming out" de catholiques fraîchement convertis à l'écologisme, etc. On regrette de n'avoir rien trouvé d'innovant consécutivement à caritas in veritate sur l'écologie humaine et le respect de la vie qui doivent être antérieurs à toute autre écologie, comme le martelle le Saint-Père.
Alors sans détour et sans interprétation, on peut se replier sur la dernière encyclique, affirmer que l'essentiel et l'urgent s'y trouvent et y chercher des axes d'actions concrètes et réalisables sur son point déterminant, la "tenue morale de la société dans son ensemble" :
"L’Église a une responsabilité envers la création et doit la faire valoir publiquement aussi. Ce faisant, elle doit préserver non seulement la terre, l’eau et l’air comme dons de la création appartenant à tous, elle doit surtout protéger l’homme de sa propre destruction. Une sorte d’écologie de l’homme, comprise de manière juste, est nécessaire. La dégradation de l’environnement est en effet étroitement liée à la culture qui façonne la communauté humaine: quand l’« écologie humaine » [124] est respectée dans la société, l’écologie proprement dite en tire aussi avantage. De même que les vertus humaines sont connexes, si bien que l’affaiblissement de l’une met en danger les autres, ainsi le système écologique s’appuie sur le respect d’un projet qui concerne aussi bien la saine coexistence dans la société que le bon rapport avec la nature.
Pour préserver la nature, il n’est pas suffisant d’intervenir au moyen d’incitations ou de mesures économiques dissuasives, une éducation appropriée n’y suffit pas non plus. Ce sont là des outils importants, mais le point déterminant est la tenue morale de la société dans son ensemble. Si le droit à la vie et à la mort naturelle n’est pas respecté, si la conception, la gestation et la naissance de l’homme sont rendues artificielles, si des embryons humains sont sacrifiés pour la recherche, la conscience commune finit par perdre le concept d’écologie humaine et, avec lui, celui d’écologie environnementale. Exiger des nouvelles générations le respect du milieu naturel devient une contradiction, quand l’éducation et les lois ne les aident pas à se respecter elles-mêmes.Le livre de la nature est unique et indivisible, qu’il s’agisse de l’environnement comme de la vie, de la sexualité, du mariage, de la famille, des relations sociales, en un mot du développement humain intégral. Les devoirs que nous avons vis-à-vis de l’environnement sont liés aux devoirs que nous avons envers la personne considérée en elle-même et dans sa relation avec les autres. On ne peut exiger les uns et piétiner les autres. C’est là une grave antinomie de la mentalité et de la praxis actuelle qui avilit la personne, bouleverse l’environnement et détériore la société".
Plus le mensonge est gros, plus il passe
A quelques jours du Sommet des Nations Unies sur le climat de Copenhague qui ressemblera de nombreux chefs d'état et de gouvernement afin des solutions face au soi disant réchauffement climatique. La campagne de désinformation s’accélère.
Il y a quelque jour un rapport sur le changement climatique de l'Institut de recherche sur les impacts du climat de Potsdam, en Allemagne affirme que le réchauffement climatique est pire que prévu par le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) et pourrait atteindre 7 degrés en 2100. Etrange révélation à quelques jours du sommet de Copenhague. L’idée est de faire monter la pression sur les décideurs politiques afin qui cède aux sirènes du néo-malthusianisme, il faut stop l’activité humaine !
Ce matin pour enfoncer le clou ! c’est le Ouest France qui affiche en première page, une photo d’une ville sous les eaux et titrant « Le climat change, l’exode les menace ».
Les média de masse on choisi la stratégie de la tension afin de faire accepter à la population un gros mensonge afin de faire accepter des politiques d’austérité, des politique anti–humaine.
Face à un tel scandale, face à cette tyrannie verte, nous ne pouvons pas nous taire.
Climategate : un scandale édifiant !
Les révélations des pirates informatiques qui se sont introduits, en début de semaine dernière, dans les serveurs de l'unité de recherche climatique (CRU) de l'université d'East Anglia (Royaume-Uni) ont discrédité la profession et mis en lumières que les scientifiques ne travaillaient pas vraiment pour la découverte de la vérité scientifique. Bien au contraire les nombreux mails dévoilés exposent au grand jour que les scientifiques travaillent pour le lobby anti humain dans le but de réduire la population mondiale.
Effondrement du systéme financier!
Les Nations Unies serait bien inspiré de mettre sur son agenda une conférence afin de faire face à la crise financière qui détruit l'économie physique de tout les pays! C'est le plus grand danger qui guette l'humanité!
David C.
david.cabas.over-blog.fr
Rédigé par : David C. | 29 novembre 2009 à 15:13
Avis de tempête chez les écolo-maniaques.
Vous l'avez sans doute appris ces jours derniers : il pourrait bientôt y avoir du changement sur le front du "climatiquement correct"... Un astucieux gang de pirates du Net a réussi ces derniers jours à détourner et à stocker des quantités de courriers électroniques provenant d'un très réputé laboratoire de recherche sur le climat, basé en Grande-Bretagne. Ce laboratoire alimente depuis des années les rapports alarmistes publiés par le GIEC sur l'avenir de la planète...
Le GIEC : vous avez certainement aussi entendu parler de cette fameuses organisation composée des "plus grands experts climatologues" du monde, qui prétend démontrer la réalité du réchauffement climatique en pointant du doigt la responsabilité de l'activité humaine dans le supposé réchauffement.
C'est par l'entremise de ce même GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) que s'organisent régulièrement les divers conférences internationales et autres coûteux "sommets" sur le climat, censés dicter aux Etats les plus industrialisés une conduite écologiquement repentante et économiquement exemplaire (notamment par le paiement d'indemnités gigantesques au profit les pays du Tiers-Monde). Ces Etats sont consentants, bien entendu.
Les visées profondes de cette organisation sont largement motivées, on le sait, par une philosophie infestée du panthéisme le plus nocif et du darwinisme le plus borné, dont le but n'est évidemment rien d'autre qu'une remise en question de l'ensemble les gardes-fous moraux régissant encore peu ou prou les sociétés humaines.
Avec à la clé le souhait de voir émerger un peu partout de nouveaux comportements politiques, fanatiquement dévoués aux principes de Malthus, aux doctrines eugénistes qui en découlent, et orientés vers l'unique souci qui compte : "préserver la planète de l'Homme"...
L'affaire du vol des courriers dont il est question ces jours-ci commence donc à faire un certain bruit outre-Atlantique, où de grands quotidiens détaillent les faits de ce honteux larcin... (http://e-deo.typepad.fr/mon_weblog/2009/11/les-médias-anglophones-relayent-très-largement-le-scandale-du-giec.html). En France, les journaux commencent timidement à relayer l'information.
L'avantage considérable que revêt cette nouvelle est de révéler au grand jour non seulement l'amateurisme total des rouages techniques de cette institution, à la merci de n'importe quel pirate informatique, mais aussi et surtout combien ces experts, au mépris de toute déontologie, camouflent, déforment, tordent leurs propres chiffres et leurs modèles théoriques, pour tenter de prouver à tout prix l'imminence de désastres météorologiques, sociaux et humains, prétendument induits par le "réchauffement climatique".
Dans les lettres échangées entre eux par les partisans dudit réchauffement au cours de ces derniers mois et années, on assiste à une entreprise quasi-mafieuse d'élimination des arguments qui posent des difficultés à la thèse officielle ; de pressions systématiques à l'encontre des experts dissidents au sein du GIEC lui-même ; d'éviction de postes des plus récalcitrants d'entre eux. Certaines phrases, extraites de ces lettres, sont plus qu'éloquentes à ce sujet (voir le détail de l'affaire dans le lien http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/explosion-d-une-bombe-dans-le-65413)
Ainsi donc, et même si c'est sans grande surprise que nous l'apprenons, cet organisme ne s'avère être qu'une vaste pétaudière où chacun règle ses comptes avec son voisin à coups de graphiques truqués et de droites courbes, et où des experts, censés nous dévoiler à tous les coups le carré de l'hypothénuse climatique et notre culpabilité, à nous les humains, dans la fonte des banquises polaires ou dans la raréfaction des phoques à poils durs, nous donnent aujourd'hui, à notre grande joie, l'indémodable spectacle de l'arroseur arrosé.
Certains commentateurs "aux ordres" ne sont pas d'humeur si joyeuse et disent voir dans ce scandale naissant un possible "Climategate", pouvant, à moyen terme, ruiner la crédibilité de cette institution, et par effet de ricochet, la thèse officielle elle-même et les chefs d'Etats qui en sont aujourd'hui les zélés promoteurs. Ainsi, et comme il fallait s'y attendre, l'habituel triumvirat politique/média/communauté scientifique n'a pas tardé à se mettre en branle. Il s'emploie actuellement à ridiculiser la portée de la nouvelle, et pour cause : dans un peu moins de deux semaines se tient la Conférence de Copenhague (7 au 18 décembre prochain).
C'est en effet dans la capitale du Danemark que chaque année, sous couvert d'humanisme vibrant, un gratin mondial d'experts et de représentants des Nations-Unies, fonctionnant en réalité en véritable cartel s'échangeant projections théoriques du réchauffement climatique contre juteux contrats au bénéfice des gros mastodontes de l'industrie et de "l'économie verte", a pris l'habitude de se réunir à nos frais pour déblatérer, durant dix jours, de sombres prophéties pour notre bonne vieille terre... En l'espèce, le site officiel dudit Sommet de Copenhague s'est surpassé, et propose , dans une courte vidéo actuellement en ligne, une de ces mises en scène sur le mode incantatoire dont seuls nos écolo-tartuffes possèdent le secret. De vrais morceaux de gâtisme mental à déguster sans retenue (http://www.copenhague-2009.com/).
"Gare aux faux-prophètes !" avertissait, en substance, l'Evangile de dimanche dernier...
Il semblerait aujourd'hui qu'une partie non négligeable de cette pullulante engeance ait été prise la main dans le pot à confiture.
La Providence lui réserve peut-être prochainement quelques surprises de taille. Et à nous aussi par la même occasion.
Gardez un oeil ouvert, sait-on jamais...
Rédigé par : isabelle | 29 novembre 2009 à 19:39
Pour illustrer votre remarque sur l'inconsistance des textes de la CEF, celle-ci vient de publier un texte co-signé par le cardinal Vingt-Trois sur le sujet.
La comparaison est éloquente. Lit-il seulement les encyclique papales avant de s'exprimer?
http://www.eglise.catholique.fr/foi-et-vie-chretienne/le-coeur-de-la-foi/lunite-des-chretiens/declarations-du-cecef/lettre-ouverte-du-conseil-deglises-chretiennes-en-france-au-president-de-la-republique-francaise-en-vue-du-sommet-de-copenhague-5544.html
Rédigé par : jpa | 04 décembre 2009 à 17:53