Chronique de la gabegie de l'UE
26 février 2010
"Les députés européens ont voté hier, par 430 voix contre 117 et 58 abstentions, l'embauche de 150 personnes supplémentaires pour les commissions et les groupes du Parlement européen, ce qui est rendu nécessaire, disent-ils, en raison du surcroît de travail dû au traité de Lisbonne (coût : 13,4 millions d'euros). Par le même texte, les indemnités pour les secrétariats des députés européens augmentent de 1.500 € par mois. Tout cela doit être approuvé par la Commission européenne et les Etats membres en avril prochain."
Mais quelle crise ? !
Rédigé par : YannH | 26 février 2010 à 18:31
Pourquoi une approbation de la commission ,
seule celle des états membres à une valeur !!
La commission doit être placée de façon définitive sous l'autorité des Etats membres car ce ne sont que des fonctionnaires non élus
Qui ne devraient avoir qu'un pouvoir de proposition et d'exécution mais jamais de décision ..............
Allez Barosso et consorts à votre place !
Rédigé par : Serge | 26 février 2010 à 19:27
Justement, la Commission est la clé de voute du système.
Dans Rome I, même dans l'ex-Rome II (le projet Giscard) comme dans Lisbonne, l'initiative reste à cette seule institution.
Si elle appartenait aussi au Conseil, c'en serait fini du principe (con)fédéral. En effet, on se retrouverait dans la normalité des négociations intergouvernementales, en d'autres termes, au bon plaisir des Etats souverains - qu'ils sont bêtes ceux-là! (ironique). La Commission serait réduite à un simple secrétariat sans pouvoir.
L'esprit de "l'Europe" supporte assez mal l'expression plus ou moins directe des peuples. L'Union apparait donc comme un gouvernement continental, embryon du nouvel ordre mondial.
Rédigé par : PEB | 27 février 2010 à 10:55
pendant ce temps-là la France manque de maison de retraite, "faute de moyens"
Rédigé par : SD - Vintage | 27 février 2010 à 14:25