Bruno Gollnisch dénonce la propagande gay à l'école
30 mars 2010
Le vice-président du FN réclame aussi des aides publiques pour l'école libre, hors contrat.
Le vice-président du FN réclame aussi des aides publiques pour l'école libre, hors contrat.
Les élections régionales partielles de dimanche et lundi en Italie ont vu le parti de Silvio Berlusconi moins pénalisé que prévu grâce à l'apport crucial de voix de son allié la Ligue du nord. Un exemple à méditer pour l'UMP ?
Selon des projections encore incomplètes, la droite a conservé deux de ses fiefs du nord, la Lombardie et la Vénétie, apparemment largement remportée par le candidat de la Ligue du Nord Luca Zaïa, et aurait repris à la gauche deux régions du sud, la Campanie et la Calabre. La situation paraissait très incertaine dans le Piémont et le Latium. Dans le Piémont, le candidat de la Ligue du nord paraissait en mesure de ravir son fauteuil à la gauche sortante.
La gauche aurait réussi à garder les 7 autres régions.
La droite dirigeait 2 des 13 régions en jeu, sur les 20 que compte l'Italie.
Addendum 30/03 : Le Piémont et le Latium passent à droite, qui gagne donc 4 régions tout en conservant les 2 qu'elle avait déjà. Difficile de dire que les électeurs profitent de ces élections à mi-mandat pour sanctionner le gouvernement...
C'est le prix d'un petit aller-retour à la Martinique : 116.500 euros.
Alain Joyandet, secrétaire d'Etat à la coopération, a effectué un déplacement en jet privé le 22 mars, afin de se rendre à une conférence internationale pour la reconstruction d'Haïti. De l'argent qui aurait sans doute mieux servi à la reconstruction de l'île.
Pour la première fois, ce portail mis en ligne par le Conseil pontifical pour les communications sociales, transmet en simultanée ces évènements, accompagnés de commentaires en cinq langues : italien, anglais, français, espagnol et allemand.
Le pape Benoît XVI a célébré ce soir, en la basilique Saint-Pierre, une messe en mémoire de Jean-Paul II, mort le 2 avril 2005. Il a souligné l'intensité de sa charité lorsque ses forces l'ont abandonné :
"Qui a eu la joie de le connaître et de le fréquenter a pu toucher du doigt combien était vivante en lui la certitude de « contempler la bonté du Seigneur sur la terre des vivants » (...). Une certitude qui l'a accompagné au cours de son existence, et qui, de façon particulière, s'est manifestée durant la dernière période de son pèlerinage sur cette terre : la faiblesse physique progressive, en effet n'a jamais entamé sa foi comme un roc, son espérance lumineuse, sa charité ardente. Il s'est laissé consumer par le Christ, pour l'Eglise, pour le monde entier : sa souffrance a été vécue jusqu'au bout par amour et avec amour".
... partout en France.
Addendum 30/03 : en commentaire, Marine Le Pen précise son propos.
L'hebdomadaire satirique va fermer, faute d'argent et malgré les appels aux dons.
La Fondation Nicolas Hulot (du nom du grand écolo qui se balade en hélicoptère) a "claqué la porte" du Grenelle de l'Environnement.
Lu ici :
"Deux femmes se sont fait exploser dans deux stations du métro, lundi matin, à l'heure de pointe, dans le centre-ville de Moscou. Le dernier bilan est de 37 morts et des dizaines de blessés. Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier de ce type depuis 2004. Les combattants annonçaient le jihad en Russie depuis fin décembre", explique Alexeï Malachenko, de la Fondation Carnegie. Deux de leurs chefs ont été récemment tués et ils voulaient "venger ces morts". "Une nouvelle génération de combattants a poussé dans le Caucase où deux nouvelles écoles de kamikazes ont été récemment ouvertes". Pour le centre américain d'analyse IntelCenter, "la version la plus probable est que le groupe derrière le double attentat suicide dans le métro de Moscou est l'Emirat du Caucase dirigé par Dokou Oumarov". Oumarov, un ex-président indépendantiste tchétchène s'est proclamé Emir et chef de tous les mouvements rebelles actifs dans le Caucase russe."
Pour ceux qui n'avaient pas suivi la genèse de cette histoire, c'est ici. La FNAC a adressé cette réponse :
"J'ai bien pris note de votre message relatif à la parution dans le quotidien Métro du 19 mars dernier, d'un article sur le Marathon photo de la Fnac Nice. Si la photo retenue dans cet article vous a choqué, vous m'en voyez sincèrement désolé, car ce n'était nullement l'intention du jury de cet évènement. Afin de dissiper tout malentendu, je souhaite vous apporter des précisions à propos de l'organisation de cette manifestation. Le marathon Photo de la Fnac Nice s'est tenu le samedi 6 mars et les participants devaient illustrer trois thèmes:
Le jury s'est rassemblé jeudi 18 mars pour délibérer et élire les 3 lauréats du Marathon Photo, un par thème, ainsi que 22 photos dites "coup de coeur". La photo, diffusée par le quotidien Métro, est issue de la thématique "Politiquement incorrect". Le jury a remarqué cette photographie pour sa traduction impactante du thème, sans aucune intention de manquer de respect au drapeau français.. Cependant la Fnac, sensible à votre témoignage, a décidé en accord avec l’auteur de la photographie de retirer la photo de la liste des lauréats du Marathon photo de la Fnac de Nice. Et à ce titre, nous nous engageons à ne pas en assurer la diffusion."
L'ancien maire PS d'Hénin-Beaumont, Gérard Dalongeville, mis en examen dans une affaire de fausses factures présumées, a été recruté par le rectorat de Nancy pour donner des cours d'économie avant d'être suspendu. M. Dalongeville, dont la gestion municipale a pris une tournure judiciaire en 2009 avec sa mise en examen pour des malversations présumées et sa révocation, a assuré en mars des vacations en économie et gestion dans un lycée de Bains-les-Bains (Vosges). Titulaire d'une maîtrise en économie, selon son avocat, M. Dalongeville a néanmoins été suspendu depuis. Le rectorat explique :
"La nature même de l'enseignement confié depuis le 9 mars à M. Dalongeville, rapportée aux attendus de sa révocation le relevant de sa fonction de maire, était susceptible de porter atteinte à l'image de l'Education nationale".
Gérard Dalongeville avait été mis en examen début avril 2009 pour détournement de fonds publics, faux en écriture et favoritisme présumés. Suspendu puis révoqué de son poste de maire, le tribunal administratif de Lille a annulé l'arrêté de suspension et l'avocat de l'élu a déposé un recours devant le conseil d'Etat pour faire annuler le décret de révocation. Ecroué, puis remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjourner dans le Pas-de-Calais, Gérard Dalongeville s'est installé dans les Vosges.
Olivier Figueras rend compte de la marche pour la vie en Belgique, hier :
"Quelque 2 000 personnes ont manifesté dimanche à Bruxelles, de la place Royale au palais de justice, à l’appel d’un groupe d’étudiants chrétiens, pour dénoncer la loi Lallemand-Michielsen dépénalisant partiellement l’avortement à l’occasion de son 20e anniversaire en Belgique. De nombreux prêtres, religieux et religieuses étaient présents, appartenant notamment à l’Opus Dei, à la Communauté de l’Emmanuel, aux Petites Sœurs des pauvres, à la Fraternité Saint-Pierre et au clergé diocésain. A commencer par le nouveau primat de Belgique et archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André Léonard.
Au départ, le prélat déclare aux manifestants qu’il a reçu un message de la Secrétairerie d’Etat du Saint-Siège selon lequel «le Saint-Père a été informé de la marche et prie pour tous ceux qui se mobilisent en faveur de la culture de la vie». Il ajoutera pour sa part devant la télévision qu’il ne faut pas considérer «des lois en Belgique comme si elles avaient été votées pour l’éternité».
Un soutien qui permet, comme le souligne un des organisateurs de la manifestation, Michel De Keukelaere, de «briser le silence» autour de l’avortement, et de plaider pour l’adoption comme solution de substitution. Anthony Buckaert, porte-parole du collectif qui organise la marche, précise :
«Actuellement, nous sommes dans une politique de promotion de l’avortement, on est passé de près de 10 000 au début des années 1990 à 18 000. On pense à allonger le délai, et finalement on laisse les femmes confrontées à l’avortement seules dans leur détresse plutôt que de les aider.»"
Mgr Christophe Dufour a été nommé archevêque d'Aix et Arles (Bouches-du-Rhône), succédant à Mgr Claude Feidt qui a présenté sa démission pour raison de santé.
Mgr Dufour, 62 ans, était évêque coadjuteur de l'archidiocèse depuis mai 2008.
300 objecteurs de conscience traînent l'Espagne devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), pour la décision du gouvernement concernant l'éducation. Ils ont déclaré qu'un cours obligatoire sur l'éducation pour le peuple introduit par le gouvernement espagnol en 2007 viole les droits fondamentaux des parents et de leurs enfants en obligeant les élèves à suivre un cours qui promeut une vision malsaine de la sexualité et de l'avortement et qui dénigre le Christianisme.
La plainte a été déposée ce mois-ci par des avocats de l' "Alliance Defence Fund" et des "Professionals for Ethics". Elle fait suite à la plainte de 54 000 parents contre le gouvernement à propos de ces leçons, obligatoires pour les enfants de 10 à 16 ans.
Ce cours enseigne par exemple l'homosexualité comme étant quelque chose de normal. Un manuel de CE2 utilisé en Andalousie et à Cordoue dit notamment que la nature nous a donné un sexe que nous pouvons utiliser avec une autre fille, un autre garçon ou un animal...
Le P. Paul Marx, fondateur de Human Life International, est décédé il y a quelques jours. Il venait de faire parvenir au Population Research Institute, une réflexion intitulée « Les prophéties d’Humanæ Vitæ ». Traduction :
"Le 25 juillet 1968, l’encyclique Humanæ Vitæ de Paul VI réaffirmait l’enseignement catholique sur la vie, l’amour et la sexualité humaine. Dans ce texte, il dressait la liste des conséquences d’une existence vécue en dehors de l’enseignement catholique. Il prédisait que :
En d’autres mots, le pape Paul VI prédisait que la contraception évoluerait d’un “choix de mode de vie” à une arme de destruction massive. Comme sa prophétie a été affreusement justifiée par les programmes de contrôle démographique et de stérilisation imposée, par la réduction des taux de fécondité et la promotion de l’avortement pratiquement partout dans le monde. La destruction par la contraception de l’intégrité de l’acte marital – unitif et procréatif – a de terribles conséquences pour la société et pour nos âmes. La contraception, pour le dire autrement, est le rejet de la manière dont Dieu voit la réalité. C’est un coin enfoncé dans dans la sphère de communion la plus intime que l’homme puisse connaître en dehors du Saint Sacrement de la Messe. C’est un poison dégradant qui flétrit la vie et l’amour, dans le mariage comme dans la société. En brisant le lien ordonné, naturel et divin, entre le sexe et la procréation, les hommes et les femmes – mais plus particulièrement les hommes – se concentreront sur les possibilités hédonistes qu’offre le sexe. Les gens cesseront de considérer le sexe comme quelque chose qui était intrinsèquement lié à une nouvelle vie et au sacrement du mariage. Quelqu’un peut-il douter que c’est là où nous en sommes aujourd’hui ?"
Mgr Léonard, annonçant à la foule le soutien de Benoît XVI à cette manifestation pro-vie :
Et la foule :
Lu ici:
Le préfet de la région Centre et du Loiret, Bernard Fragneau, désavoué par le président de la République dans l'affaire de la lycéenne marocaine sans papiers, Najlae Lhimer, a écrit au ministère de l'Intérieur pour demander à « être relevé au plus tôt de ses fonctions », estimant qu'« il ne peut plus exercer ses fonctions dans le Loiret ». Une information révélée par le « Journal du dimanche ». Préfet depuis 1996, ce haut fonctionnaire de cinquante-huit ans est en fonction à Orléans depuis novembre 2008 et avait soutenu la position de ses services qui avaient demandé l'expulsion de la jeune femme qui s'était rendue à la gendarmerie de Château-Renard fin février pour porter plainte pour maltraitance contre son frère. Elle avait été reconduite à la frontière. Devant le tollé des associations de défense des sans-papiers, Nicolas Sarkozy l'avait autorisée à revenir en France.
Le pape Benoît XVI a mené dimanche la procession des Rameaux jusqu'à
la basilique Saint-Pierre, devant des dizaines de milliers de personnes,
à bord de sa "papamobile". Son porte-parole, le père Federico Lombardi, a expliqué à
la presse que cette décision avait été prise pour "le rendre plus
visible" à l'immense foule de pèlerins Place Saint-Pierre. Benoît XVI, qui aura 83 ans le 16 avril, semblait en bonne forme. Le pape a évoqué
dans son homélie
"Jésus (...) qui conduit vers ce qui est grand et pur (...) vers la vie selon la vérité, vers le courage qui ne se laisse pas intimider par les jacasseries des opinions dominantes"."
Il nous conduit vers la disponibilité à offrir son aide et vers la bonté qui ne se laisse pas désarmer même par l'ingratitude".
Les photos ne le montrent pas, mais Mgr Léonard, archevêque de Bruxelles, marchait aussi pour la vie avec les 2000 manifestants.
Lu dans l'Homme Nouveau :
"Pour la famille X (qui nous a demandé de taire son nom pour des raisons de sécurité), implantée depuis deux siècles maintenant à Bethléem, le drame a commencé il y a près de vingt ans. Le paterfamilias avait alors investi dans un grand terrain près de Rachel’s Tomb, quartier qui longe le mur, y construisant un vaste immeuble, aujourd’hui encore inachevé, et y aménageant un grand restaurant au rez-de-chaussée. Pendant quelques années, le commerce avait connu le succès espéré, mais aujourd’hui, la vaste salle de réception est vide, désespérément vide et les couverts attendent des clients qui ne viendront pas. «Les gens ne peuvent plus se rendre ici, c’est une place pour les soldats», se désole le père.
De fait, l’armée israélienne a investi les lieux, établissant ses quartiers dans la majeure partie du bâtiment, laissant à la famille la seule jouissance du rez-de-chaussée et du premier étage, installant des caméras, contrôlant les accès et profitant, sans plus de scrupules, depuis deux décennies, de l’eau et de l’électricité de leurs hôtes, contraignant ces derniers à s’acquitter de factures de plusieurs milliers de shekels (la monnaie locale). Mais comment débourser de telles sommes lorsqu’il est déjà difficile de nourrir toute la maisonnée ? Les autorités israéliennes locales menacent aujourd’hui de couper l’eau et l’électricité. «Ni les Israéliens ni les musulmans n’ont d’intérêt à ce que nous soyons ici, confie le fils aîné, pourquoi quelqu’un nous aiderait-il ?». [...]
Quant aux musulmans, ils comptent bien s’étendre autant que possible pour que les chrétiens partent. Ils veulent récupérer l’immeuble sans avoir à payer la famille. Peu à peu, ils rachètent tous les commerces d’objets religieux qui abondent aux abords de la basilique de la Nativité, investissant ainsi progressivement les lieux. La grand-mère se souvient : «Lorsque j’étais petite, dans les années cinquante, il n’y avait qu’une seule mosquée à Bethléem. Aujourd’hui, elles sont bien plus nombreuses, implantées, à dessein bien sûr, à côté des lieux de culte chrétien.»
Il a osé écrire sur le blog de Monde & Vie :
"les Français blancs sont plus souvent impliqués que les autres dans la délinquance en col blanc."
L'idéologie est une fois encore de plus en plus flagrante : l'État s'octroie la prérogative d'accorder le droit d'avoir des enfants. L'euthanasie et l'eugénisme d'État mis en œuvre par le national-socialisme d'Hitler, va encore sévir aujourd'hui : sous la dictature nazie, c'était les Juifs et les handicapés, aujourd'hui ce sont les pauvres qui ne pourront plus avoir d'enfants dans une Égypte. de plus en plus mercantile et utilitariste. Chaque idéologie sans Dieu, sa forme de dictature. Le crime et l'atteinte à la dignité de la femme en seront encore les armes : soit les enfants seront tués in utero, soit les femmes pauvres seront stérilisées :
"Concernant les familles ne disposant pas de revenus suffisant à l’entretien et l’éducation de leurs enfants, le ministère des affaires sociales publiera un rapport sur la situation financière de la femme ou de la famille, aux termes duquel il sera décidé si l'avortement ou la stérilisation doit avoir lieu".
Rappelons l'enseignement de l'Église au sujet de l'entrisme de l'État dans les familles :
"Aucune loi humaine ne saurait enlever d'aucune façon le droit naturel et primordial de tout homme au mariage, ni écarter la fin principale pour laquelle il a été établi par Dieu dès l'origine : "Croissez et multipliez-vous" (6) Voilà donc constituée la famille, c'est-à-dire la société domestique, société très petite sans doute, mais réelle et antérieure à toute société civile à laquelle, dès lors, il faudra de toute nécessité attribuer certains droits et certains devoirs absolument indépendants de l'Etat (...)
Aussi bien que la société civile, la famille, comme Nous l'avons dit plus haut, est une société proprement dite, avec son autorité propre qui est l'autorité paternelle. C'est pourquoi, toujours sans doute dans la sphère que lui détermine sa fin immédiate, elle jouit, pour le choix et l'usage de tout ce qu'exigent sa conservation et l'exercice d'une juste indépendance, de droits au moins égaux à ceux de la société civile. Au moins égaux, disons-Nous, car la société domestique a sur la société civile une priorité logique et une priorité réelle, auxquelles participent nécessairement ses droits et ses devoirs.
Si les citoyens, si les familles entrant dans la société humaine y trouvaient, au lieu d'un soutien, un obstacle, au lieu d'une protection, une diminution de leurs droits, la société serait plutôt à rejeter qu'à rechercher.
C'est une erreur grave et funeste de vouloir que le pouvoir civil pénètre à sa guise jusque dans le sanctuaire de la famille. Assurément, s'il arrive qu'une famille se trouve dans une situation matérielle critique et que, privée de ressources, elle ne puisse d'aucune manière en sortir par elle-même, il est juste que, dans de telles extrémités, le pouvoir public vienne à son secours, car chaque famille est un membre de la société. De même, si un foyer domestique est quelque part le théâtre de graves violations des droits mutuels, il faut que le pouvoir public y rétablisse le droit de chacun. Ce n'est point là empiéter sur les droits des citoyens, mais leur assurer une défense et une protection réclamées par la justice.
Là toutefois doivent s'arrêter ceux qui détiennent les pouvoirs publics' la nature leur interdit de dépasser ces limites. L'autorité paternelle ne saurait être abolie ni absorbée par l'Etat, car elle a sa source là où la vie humaine prend la sienne" (Léon XIII - Rerum Novarum).
Et il n'y a aucune concession possible face à des propos aussi clairs qui obligent. En effet, on se laisse bien souvent endormir sous de fausses belles raisons en particulier chez nous en France :
"qu'on n'en appelle pas à la providence de l'État, car l'État est postérieur à l'homme. Avant qu'il pût se former, l'homme déjà avait reçu de la nature le droit de vivre et de protéger son existence" (id).
Lu ici :
"Après la pire des sanctions disciplinaires, la radiation des cadres, que vient de se voir infliger le Commandant de gendarmerie Jean-Hugues Matelly, l’obligation de loyauté est projetée au cœur du métier militaire : désormais un gendarme ne pourra plus penser différemment de sa hiérarchie et de l’autorité politique et surtout le faire savoir jusqu’à s’exposer au risque d’être exclu du système. Par extension, tous les fonctionnaires sont d'ailleurs concernés. Est-ce la fin de toute liberté d’expression au sein de la société militaire ou bien la hiérarchie a-t-elle voulu simplement en finir avec le droit à la désobéissance qui s’installait au sein même des systèmes de défense et de sécurité ?
Il a été reproché à cet officier supérieur, âgé de 44 ans, contrôleur de gestion pour la région Picardie, ancien rapporteur à la Commission des recours des militaires, commandant de la compagnie de Blois en 1998, excellemment bien noté par sa hiérarchie, sorti major de sa promotion, de formation universitaire, juriste, docteur et chercheur associé en Sciences Politiques et auteur de nombreux articles, romans et ouvrages (notamment un dernier livre intitulé Police. Des chiffres et des doutes qui aborde la question du traitement et de l’usage des statistiques en matière de délinquance), d’avoir publié le 30 décembre 2008 un article sur Rue89 intitulé La gendarmerie enterrée, à tort, dans l'indifférence générale et de s’être exprimé le lendemain sur Europe 1 en critiquant le rapprochement Police/Gendarmerie et, comme le relève la DGGN, «se dispensant ainsi de l'exigence de loyauté et de neutralité liée à son statut militaire»."
"Vous imaginez ce que peut être la réaction de ce peuple qui « ne sent pas bon », que l’on invite à débattre de la nature de son identité, mais à qui on explique que s’il exprime à sa façon, avec ses mots, ses angoisses, ses doutes, ses contradictions et ses ambiguïtés, aussitôt, clic-clac, on coupera la retransmission ; on débranchera le micro. Et qui, presque chaque jour, entend exiger, par le tribunal autoproclamé de la bien pensance de gauche, la démission, la radiation, l’excommunication, la relégation, l’ostracisation, la purification, la mise en quarantaine, la mise en examen, l’exorcisme, voire l’incarcération de personnes « vues à la télé » dont le crime consista à déclarer, par étourderie, ce que, en son sein, au café du coin, au cours du déjeuner dominical ou du dîner annuel des Amis du club de rugby, entre Marcel, Dédé, Rachid et Mamadou, on dégoise communément sans y voir à mal. Alors oui, l’impression est, non pas exprimée, mais intériorisée, non seulement que les gars d’en bas sont écrasés sous les exclusions fulminées par les types d’en haut, mais, qu’en outre, le haut dispose, pour exclure ce bas, d’une véritable Gestapo de la parole, sinon de la pensée. On ne l’a pas assez souligné : à Gandrange, en Lorraine, en pleine zone sidérurgique martyrisée, fief de la CGT, là où Sarkozy était venu rouler les salariés dans la farine, les abstentions et les votes FN ont été records."
Comme en témoigne cette dépêche AFP :
"A l'inverse [de Jean-Paul II], le pontificat de Benoît XVI, entamé le 19 avril 2005, a déjà été marqué de violentes controverses: son passé dans les jeunesses hitlériennes, ses déclarations sur les relations entre islam et violence ou sur préservatif et sida. La levée de l'excommunication de quatre évêques intégristes, dont le négationniste Richard Williamson avait suscité un tollé en janvier 2009. Enfin la décision de relancer le processus de béatification de Pie XII, accusé d'avoir gardé le silence pendant la Shoah, est loin d'avoir contribué à accroître sa popularité."
De fait, c'est à un véritable chemin de Croix que l'on soumet au Pape :
Le colonel Philippe Schmitt, père d'Anne-Lorraine, communique :
"A l’été 2008, nous avons accepté de nous associer au combat mené par l’institut pour la justice récemment créé pour promouvoir une justice plus équitable et lutter contre ses dysfonctionnements. Grace à votre soutien, nous avons contribué à mobiliser plus de 160 000 sympathisants et à faire de cette association un acteur incontournable dans le débat sur la Justice dans notre pays.
Cependant, dès le début nous avons émis des réserves fondamentales sur le fonctionnement de cette association. Nous avons fait des propositions concrètes. Nous n’avons pas été écoutés. Par conséquent, en notre âme et conscience, nous avons décidé après une longue réflexion de cesser toute collaboration avec cette association.
Nous avons tenu à en informer tous ceux qui nous soutiennent."
Le père Gallez refuse de distinguer le Coran "modéré" du Coran "islamique" et termine :
"C’est donc en vain que des musulmans, des chrétiens ou d’autres cherchent (depuis des siècles) à sortir de l’impasse en mettant en exergue telle sourate ou tel verset « gentil », c’est-à-dire en opposant le Coran au Coran. Une autre démarche est nécessaire. Celle qui part de la question : où est née l’idée que Dieu aurait chargé certains « croyants » d’éradiquer le mal du monde ?"
Comme pour lui répondre, Charles-Henri d'Andigné évoque l'ouvrage Le Prix à payer, récit terrifiant de la conversion d'un Irakien au christianisme. :
« Tuez-le et jetez-le dans le Basel ! » C'est la mère de Mohamed qui hurle ainsi. Ivre de fureur, elle vient d'apprendre que son fils aîné s'est converti au christianisme. Elle enjoint ses fils de jeter leur frère dans un canal souterrain qui draine l’eau salée, de façon qu'il disparaisse à jamais, sans laisser de traces. Serions-nous au Moyen Âge? Non. Cette scène se passe en Irak, en 1997.[...] « Le prix à payer » est un livre terrible. On songe en le lisant à la fameuse apostrophe de sainte Thérèse d'Avila : « Seigneur, pas étonnant que vous ayez si peu d'amis, vue la façon dont vous les traitez ! » C'est un témoignage de première main sur l'intolérance qui règne dans les pays d'islam à l’égard des chrétiens, sur l'ignorance abyssale où sont tenus les musulmans sur le christianisme (les chrétiens se réunissent le dimanche dans les églises pour se livrer à des orgies, disait le père de Mohamed à ses enfants), sur la terreur qui permet de maintenir une religion basée sur la soumission, la peur et le respect des règles."
Lu sur Liberté Politique :
"Le ministre de l’Éducation nationale Luc Châtel veut « encourager l'école du mercredi matin » (Le Monde, 20 mars). Militant du travail du dimanche, l’ancien élève des bons pères participe sans états d’âme au détricotage insidieux du christianisme en France en s’attaquant à la plage du catéchisme des enfants le mercredi matin. La menace n’est pas nouvelle. Dans l’émission Dieu Merci de la chaîne Direct8 le 2 octobre 2009, Mgr Nicolas Brouwet, évêque auxiliaire de Nanterre, s'était demandé « si les 25% des enfants de France qui sont catéchisés du CE2 au CM2 et qui vont dans leur paroisse chaque semaine pour recevoir l’instruction religieuse » pourront continuer de le faire. [...] Pour Mgr Bouwet, les enfants n’ont pas classe le mercredi, non pas d’abord pour qu’ils se reposent mais parce qu’une loi de mars 1882 prévoit que les écoles ferment pendant une journée pour que les enfants puissent aller au catéchisme".
L'humeur de Pasquin dans L'Homme nouveau :
"«Le plus grand scandale d’infanticide depuis trente ans», nous lâche le présentateur de France Info. Étonné, surpris, on se dit qu’il va être question des victimes de l’avortement, on monte le son et… juste la simple histoire d’une femme qui fait disparaître six enfants à la naissance en les étouffant, en les étranglant, en les mettant pour finir dans un sac plastique, le tout à la cave. «J’avais peur des réactions de ma famille devant ces grossesses» et je ne savais pas «si mes compagnons voulaient de ces enfants». «C’était pas un bébé, c’était rien, c’est horrible à dire,mais c’était rien. Je ne le sentais pas comme j’ai senti William» (son fils de 13 ans).
Le plus étonnant, ce sont les réactions sur le site de France info, les commentaires des auditeurs et internautes : «Quelle horreur, c’est la prison à perpétuité qu’il faut !», «cette femme est malade, faut la soigner», répond cette autre femme. Entre monstre ou déséquilibrée mentale, entre répulsion et compassion, les Français attendaient son procès. Mais qu’a-t-elle fait d’autre que des avortements tardifs ? Qu’a-t-elle dit d’autre que ce que dit le planning familial : «C’est le projet d’enfant qui fait l’enfant» ? Faut-il jeter cette femme en prison juste pour une question de délais, juste parce qu’elle a fait ça toute seule, sans utiliser les services de bons docteurs obstétriciens ? Mort légale pour plus de six millions d’enfants et atrocité pour six ? Droit des femmes à six semaines, atrocité à 36 ? Interruption volontaire de grossesse dans un cas, meurtre dans l’autre ? Le plus grand scandale d’infanticide depuis trente ans ? Non ! Juste six avortements tardifs ! Domine ad adjuvendum me festina."
Lu ici :
"Les démocrates rejettent un amendement qui voulait interdire le Viagra pour les criminels sexuels.
Les Démocrates ont tué un amendement déposé par le sénateur républicain Tom Coburn destiné à éviter que les nouvelles compensations financières d’assurance n’aboutissent à utiliser de l’argent (issu du budget) fédéral pour fournir violeurs, pédophiles et autres criminels sexuels en Viagra et en d’autres médicaments destinées à traiter les dysfonctions érectiles."
Extraits d'une analyse de Sandro Magister :
"Dans sa lettre du 19 mars, Benoît XVI a ordonné aux catholiques d'Irlande ce qu’aucun pape de l’époque moderne n’a jamais ordonné à toute l’Église d’un pays. Il leur a enjoint non seulement de déférer les coupables devant les tribunaux canoniques et civils mais aussi de se mettre collectivement en état de pénitence et de purification. Et cela non pas dans le secret de leurs consciences mais de manière publique, sous les yeux de tous, y compris leurs adversaires les plus implacables et les plus moqueurs. Jeûne, prière, lecture de la Bible et activités caritatives tous les vendredis à partir de maintenant jusqu’à Pâques de l’année prochaine. Confession sacramentelle fréquente. Adoration continuelle de Jésus – lui-même "victime de l’injustice et du péché" – devant la sainte hostie exposée sur les autels des églises. Et pour tous les évêques, prêtres et religieux, sans exception, une période spéciale de "mission", un long et rude parcours d’exercices spirituels pour une révision de vie radicale. [...]
Dimanche 21 mars, tandis que l’on donnait lecture de sa lettre dans les églises d'Irlande, Benoît XVI a commenté, pour les fidèles réunis sur la place Saint-Pierre au moment de l'Angélus, le pardon de Jésus à la femme adultère : "Il sait ce qu’il y a dans le cœur de chaque être humain, il veut condamner le péché, mais sauver le pécheur et démasquer l'hypocrisie". L'hypocrisie de ceux qui voulaient lapider la femme, bien qu’étant eux-mêmes les premiers à pécher. [...] ceux qui se tiennent au premier rang des accusateurs, ceux qui sont les plus armés de pierres contre l’Église, aucun d’entre eux n’est sans péché. Pour ceux qui exaltent la sexualité comme pur instinct, libre de toute entrave, il est difficile de condamner ensuite tout abus qui en est fait."
Mgr Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes et président de la conférence des évêques d’Italie, écrit :
"nous devons tous nous interroger, en rejetant désormais tout faux-fuyant, à propos d’une culture qui, de nos jours, règne incontestée et favorisée, et qui tend progressivement à effilocher le tissu conjonctif de toute la société, en se moquant, le cas échéant, de ceux qui résistent et tentent de s’opposer : c’est l’attitude de ceux qui cultivent une autonomie absolue vis-à-vis des critères du jugement moral et qui propagent comme bons et séduisants des comportements inspirés de désirs individuels et d’instincts parfois effrénés. Mais l’exacerbation de la sexualité détachée de son sens anthropologique, l’hédonisme à tout va et le relativisme qui n’admet ni barrières ni sursauts font beaucoup de mal parce qu’ils sont spécieux et parfois, sans que l’on s’en rende compte, omniprésents."
Et le cardinal est Camillo Ruini, prédécesseur de Mgr Bagnasco à la présidence de la CEI :
"je voudrais demander à ceux qui lancent les scandales de la pédophilie principalement contre l’Église catholique, en mettant éventuellement sur le tapis le célibat des prêtres, s’il ne serait pas plus honnête et plus réaliste de reconnaître que ces déviations, et d’autres, liées à la sexualité accompagnent certainement toute l’histoire du genre humain mais aussi qu’à notre époque, ces déviations sont encore plus stimulées par la ‘libération sexuelle’ si vantée".
"Lorsque l’exaltation de la sexualité envahit tout l’espace de la vie et que l’autonomie de l’instinct sexuel par rapport à tout critère moral est revendiquée, il devient difficile de faire comprendre que certains abus déterminés doivent absolument être condamnés."
Hier soir, Place St. Pierre 70.000 jeunes ont pris part à une rencontre de prière et de méditation, de fête et de dialogue avec le Pape, à l'occasion des 25 ans des Journées mondiales de la jeunesse. A la question que dois-je faire pour être heureux dans la vie ?, le Saint-Père a répondu:
"En premier lieu ne pas mépriser la vie, et la vivre en profondeur, ne pas vivre pour soi même. Dieu veut ma vie pour l'éternité, l'aimer est nécessaire. Dieu a un projet pour moi au coeur de l'histoire. Il faut donc commencer par connaître Dieu... Et puis l'essentiel est l'amour... Les dix commandements ne sont que l'expression de l'amour, ses règles... Avec pour points essentiels la famille, base de la société, la vie à respecter comme don de Dieu, la juste sexualité entre un homme et une femme, l'ordre social et la vérité... La perfection est de décider d'être bon, de vivre la foi et l'amour...de trouver la vocation et de la vivre sous une forme ou une autre".
Jean-Marie Le Pen a présidé ce matin la séance au Conseil régional en tant que doyen, devant 95 conseillers régionaux (sur 123 élus). Reconnaissant une "campagne correcte" dans son ensemble, il a précisé :
"A l'exception d'un candidat socialiste qui s'est dérobé au débat, refusant de parler à des fascistes et fascisants. Le FN n'est ni fasciste, ni fascisant, M.Mariani non plus. Qu'il me soit permis de lui rappeler que le fondateur du fascisme fut un député socialiste italien, Benito Mussolini, que les deux principaux chefs de la collaboration avec l'Allemagne nazie furent Marcel Déat, ancien secrétaire du parti socialiste SFIO, et Jacques Doriot, ancien secrétaire du parti communiste. Et que ce n'est pas Jean-Marie Le Pen qui a été décoré à Vichy de la Francisque, mais le président de la république François Mitterrand, dont Michel Vauzelle a été ministre, et qui plus est ministre de la Justice".
Le tribunal administratif de Versailles a annulé, aujourd'hui, l'élection du maire de Corbeil-Essonnes, Jean-Pierre Bechter (UMP), bras droit de l'ancien maire Serge Dassault.
Réunis à Lourdes pour l'Assemblée de la Conférence épiscopale, les évêques de France ont écrit une lettre au Saint-Père, dans laquelle ils écrivent :
"Nous constatons aussi que ces faits inadmissibles sont utilisés dans une campagne pour s'attaquer à votre personne et à votre mission au service du corps ecclésial. Nous souffrons tous de ces procédés indignes et nous tenons à vous dire que nous portons avec vous la peine que provoquent les calomnies qui vous visent et nous vous renouvelons l'expression de notre communion et de notre soutien."
La communauté orthodoxe est devenue la deuxième communauté religieuse en Italie. Elle a dépassé la communauté musulmane et compte environ 1,3 million de fidèles.
D'après Mgr Silouane, chaque année dans les paroisses roumaines en Italie sont célébrés en moyenne 8 000 baptêmes et 1200 mariages. On compte 117 paroisses orthodoxes roumaines, 115 n'ont pas leurs propres locaux, mais utilisent des lieux de culte appartenant à l'Église catholique (prêt gratuit ou avec un petit supplément pour les frais). Les prêtres orthodoxes roumains qui travaillent en Italie sont 145.
Le Grand Maître de la Grande loge nationale française (GLNF), François Stifani, a décidé de faire auditer les comptes de l'obédience. Cette décision est la conséquence de l'opposition manifestée au cours de l'assemblée générale de l'obédience, jeudi à Paris, qui s'est traduite par un vote de rejet du rapport d'activité et des comptes.
"plus de 1.800 membres étaient présents et une courte majorité d'entre eux, sous réserve d'un décompte définitif des voix, s'est déclarée opposée à l'approbation des comptes 2009 en l'état. Le Grand Maître de la Grande loge nationale française, François Stifani, a pris la mesure de ce vote et a décidé, par conséquent, de lancer un audit des comptes 2008-2009 en faisant appel à un grand cabinet d'audit de renommée internationale".
"Lorsque les résultats de cet audit seront connus, le Grand Maître convoquera une nouvelle assemblée générale afin d'étudier les conclusions de cet audit et d'en tirer les conséquences quant à l'approbation des comptes 2009 de l'association".
Sur 1.847 "frères" présents, 954 ont voté contre le rapport d'activité et 980 contre le budget (17,2 millions d'euros).
Mgr Rembert Weakland, archevêque de Milwaukee à l'époque des "faits", a, en 1996, prétendant avoir eu tout récemment connaissance des affaires de pédophilie dans son diocèse, écrit à la CDF "pour lui demander des éclaircissements sur la façon de procéder". La lettre ne serait jamais parvenue sur le bureau du préfet.
En 1995, avec 11 autres évêques des Etats-Unis, il a signé un document accusant frontalement le cardinal Ratzinger d'être un réactionnaire.
Mgr Rembert Weakland, ancien supérieur mondial des Bénédictins et leader de l'aile libérale de l'épiscopat américain, a dirigé le diocèse de Milwaukee jusqu'à ce qu'en 2002, il ait dû démissionner pour avoir été accusé publiquement par l'étudiant en théologie Paul Marcoux de tentative d'agression sexuelle sur lui en 1979 à la Marquette University. Mgr Weakland a conclu un accord formel avec Marcoux, en lui donnant un demi-million de dollars en échange de son silence. Très proche du cardinal Martini, il a vécu à Rome pendant quelques années, avec des position très critiques envers le Vatican, sur l'œcuménisme, la liturgie et les pouvoirs des évêques.
De là à ce que ce soit lui qui ait alimenté le New York Times...
Le matraquage médiatique est reparti. Les lecteurs peuvent toujours se reporter à nos posts passés sur le sujet :