En Italie, les points non négociables ont payé
02 avril 2010
A peine élu, le nouveau gouverneur du Piémont, Roberto Cota, membre de la Ligue du nord, a annoncé son intention de rendre encore plus compliquée la distribution de la pilule abortive RU 486, dite "pilule du lendemain", dans le Piémont. Il avait battu la gauche de 10 000 voix.
Une semaine avant le vote, le cardinal Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes et président de la conférence épiscopale italienne (CEI), avait invité les électeurs italiens à choisir les futurs gouverneurs en fonction de leur position vis-à-vis des "valeurs non négociables". A savoir : le respect de la vie de la conception à la mort naturelle, la liberté religieuse et éducative, la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme. Ce discours était un désaveu pour Mme Bresso, favorable à une distribution moins encadrée de la pilule abortive, disponible seulement dans des conditions d'hospitalisation. La mise en garde du cardinal Bagnasco visait également la candidate du centre gauche de la région du Latium, l'ancienne commissaire européenne, Emma Bonino, battue elle aussi de quelques dizaines de milliers de voix.
Monseigneur Fisichella, président de l'académie pontificale pour la vie, a félicité le nouveau gouverneur du Piémont pour ses "actes concrets qui parlent d'eux-mêmes". La proposition de M. Cota a aussitôt été reprise à son compte par Luca Zaia, nouveau gouverneur Ligue du Nord de la Vénétie.
L'Italie nous montre la voie à suivre...
Rédigé par : Kueny | 02 avril 2010 à 16:58
Mais nous on a Mgr Vingt-trois et 92% de journalistes de gauche
Rédigé par : SD - Vintage | 03 avril 2010 à 11:03
Un ami me répond cela , suite à mon envoi .
Amitiès .
R C
Vous m'avez envoyé le message de Michel Janva reproduit ci-dessous.
Il contient une erreur, plus précisément une confusion: entre d'une part le RU 486, nécessairement abortif (et qui tend à remplacer de plus en plus l'avortement chirurgical), et d'autre part la pilule dite du lendemain qui, au contraire, est théoriquement destinée à l"éviter.
Peut-être faudrait-il le signaler à Michel Janva, qui a signé le texte.
Merci.
J.B.Grenouilleau
"02 avril 2010
En Italie, les points non négociables ont payé
A peine élu, le nouveau gouverneur du Piémont, Roberto Cota, membre de la Ligue du nord, a annoncé son intention de rendre encore plus compliquée la distribution de la pilule abortive RU 486, dite "pilule du lendemain", dans le Piémont. Il avait battu la gauche de 10 000 voix.
Une semaine avant le vote, le cardinal Angelo Bagnasco, archevêque de Gênes et président de la conférence épiscopale italienne (CEI), avait invité les électeurs italiens à choisir les futurs gouverneurs en fonction de leur position vis-à-vis des "valeurs non négociables". A savoir : le respect de la vie de la conception à la mort naturelle, la liberté religieuse et éducative, la famille fondée sur le mariage entre un homme et une femme. Ce discours était un désaveu pour Mme Bresso, favorable à une distribution moins encadrée de la pilule abortive, disponible seulement dans des conditions d'hospitalisation. La mise en garde du cardinal Bagnasco visait également la candidate du centre gauche de la région du Latium, l'ancienne commissaire européenne, Emma Bonino, battue elle aussi de quelques dizaines de milliers de voix.
Monseigneur Fisichella, président de l'académie pontificale pour la vie, a félicité le nouveau gouverneur du Piémont pour ses "actes concrets qui parlent d'eux-mêmes". La proposition de M. Cota a aussitôt été reprise à son compte par Luca Zaia, nouveau gouverneur Ligue du Nord de la Vénétie."
Michel Janva
Posté le 2 avril 2010 à 16h02 | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le message a �t� v�rifi� par ESET Smart Security.
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Rédigé par : Croche R | 03 avril 2010 à 15:10