Les conséquences psychologiques de l'avortement : un tabou officiel
11 juillet 2010
Lu sur le blog de Daoudal :
"Le député UMP Etienne Pinte a constaté que dans son récent rapport sur l’avortement, l’IGAS déplore qu’il n’y ait pas d’études sur « retentissement psychologique de l’IVG ». Il a donc demandé au gouvernement ce qu’il comptait faire pour combler cette lacune. Réponse du gouvernement : on ne fera rien, car mener une enquête auprès des femmes qui ont avorté mettrait en cause « la confidentialité de leur démarche »."
quelle confidentialité de la démarche??
dans ce cas plus d'étude sur aucun sujet!!
une belle bande d'hypocrite...
Rédigé par : loupiot | 11 juillet 2010 à 15:59
Toutes celles qui défilent, d'accord elles ont l'air de foldingues, mais parfaitement contentes !
Rédigé par : Jean Theis | 11 juillet 2010 à 17:52
"mener une enquête auprès des femmes qui ont avorté mettrait en cause « la confidentialité de leur démarche »"
1) Qui demande de "mener une enquête"? Il y a certainement déjà suffisamment d'études sur le sujet pour qu'on puisse réaliser une méta-étude, pratique courante dans le domaine scientifique. Confusion entre "étude" et enquête"? Ce n'est pourtant pas synonyme...
2) Et comment ont-ils pu mettre en avant les "retentissements psychologiques" au préjudice des homosexuels, sinon par des enquêtes, qui ne respectent vraisemblablement pas la "confidentialité" des pratiques sexuelles et des tendances sentimentales?
3) Le "testing" devra-t-il être interdit? Comment s'assurera-t-on à l'avenir qu'il respecte la "confidentialité" requise?
Rédigé par : C.B. | 12 juillet 2010 à 08:44