Les États ont tort d'élargir les droits du mariage au concubinage, au pacte civil et aux homosexuels
01 septembre 2010
Poursuivant son entretien sur la théorie du genre, Mgr Tony Anatrella déclare :
"le Saint-Père rappelle que le mariage ne concerne que l'alliance engagée seulement entre un homme et une femme et qu'il serait déraisonnable et injuste d'en attribuer les caractéristiques à des situations relationnelles qui sont d'une autre nature. Le Pape souligne avec raison que «les États sont appelés à mettre en œuvre des politiques qui promeuvent le caractère central et l'intégrité de la famille, fondée sur le mariage entre un homme et une femme, cellule première et vitale de la société, prenant en compte ses problèmes économiques et fiscaux, dans le respect de sa nature relationnelle» (n. 44).
Autrement dit, les États ont tort d'élargir les droits inhérents au mariage à des situations comme le concubinage, le pacte civil et des duos homosexuels qui ne présentent pas les mêmes propriétés et les mêmes vertus. C'est ainsi que l'on fracture l'anthropologie au lieu d'en avoir une vision unitive.
Commentaires