Le sida est une maladie du siècle
30 novembre 2010
Sed Contra, qui fête son 100e numéro, publie un dossier sur le Sida. Extraits :
"Le virus du sida n’oublie jamais que 99% de ses succès internationaux, c’est à l’état des mœurs qu’il les doit. Et s’il lorgne avec plaisir du côté des “sexshops” et des bars échangistes, les références plus “nobles” ne risquent pas de lui manquer… Le sida est bien une maladie du siècle. Comme le communisme l’a fait pendant plus de soixante-dix ans, et comme l’islam commence aussi de le faire avec appétit, il occupe en Occident l’espace que nous lui ouvrons.
Le sida se transmet par voie de rapport sexuel (et principalement homosexuel), par procréation d’une mère infectée, ou par contamination du sang. Voilà ce que l’on sait. [...] L’individu non transfusé, que son métier ou quelque circonstance accidentelle ne met pas en contamination possible avec le sang d’autrui, qui ne se drogue pas par injection intraveineuse en utilisant la seringue souillée du copain, qui ne se livre point à la prostitution et qui ne pratique pas non plus de tourisme sexuel “nature” ou “contre-nature” dans les organes du prochain, – cet individu n’a aucune chance raisonnable de devenir séropositif et de mourir du sida. La même assurance s’applique bien sûr au couple, marié ou non, dont les deux membres s’abstiennent solidairement de tout contact avec le sexe ou le sang des autres, comme il était jadis d’usage dans les milieux civilisés.
Il faut insister sur cette certitude scientifique des voies de contamination. Une propagande sournoise, relayée par des moyens puissants, voudrait en effet nous faire croire que l’épidémie a changé de visage en se propageant : sortie des groupes “à risques”, principalement homosexuels, bisexuels et toxicomanes, l’infection menacerait aujourd’hui toute la population, indépendamment des mœurs et des règles de vie ! Les médias nous expliquent avec force détails comment nous fabriquons nos cancers avec l’alcool, le tabac ou les désordres de l’alimentation. Mais ils ne veulent pas admettre, ou plutôtne veulent pas dire, que le facteur principal de risque d’infection par le virus du sida pour le citoyen ordinaire réside lui aussi dans un certain nombre d’actes et de comportements. [...]"
"Le gouvernement français souhaite étendre le dépistage du VIH, le virus responsable du sida, à l'ensemble de la population, a déclaré mardi le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, Xavier Bertrand".
Sidérant, ahurissant, on lance une nouvelle peur, après la grippe de l'année dernière.
Questions:
Et qui va payer? (la sécu donc nous) et qui va ramasser de l'argent en contrepartie du financement de partis moribonds qui croient encore à une victoire en 2012 (les laboratoires).
Enfin tout ce système vit ces derniers instants. Étonnant qu'il y en ait encore qui y croit?
Rédigé par : m | 30 novembre 2010 à 15:39
6700 personnes ont découvert leur seropositivité en 2009. L'augmentation des découvertes de seropositivité n'est observée que chez les hommes contaminés par relation homosexuelle. Les deux populations les plus touchés par le VIH sont toujours les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes et les personnes d'Afrique subsaharienne.
Repartition des 6700 cas :
-- 2500 homosexuels hommes (On estime par ailleurs à 3000 le nombre de contaminations dans ce groupe en 2009, ce qui représente un taux d'incidence de 1%, soit 1% des homosexuels qui se contaminent chaque année, ce qui est 200 fois supérieur au taux observé chez les français heterosexuels)
-- 4000 contaminations heterosexuelles
- 1277 personnes nés en Françe
- 2120 personnes nés en Afrique subsaharienne (et une incidence de contamination 30 à 70 fois plus forte que chez les français)
-444 nés ailleurs
-- 85 usagers de drogues injectables
-- 99 autres
Source officielle, le Bulletin Eepidémiologique Hebdomadaire du 30/11/2010 consultable ici :
http://www.invs.sante.fr/display/?doc=presse/2010/le_point_sur/vih_sida/index.html
Rédigé par : JCM | 30 novembre 2010 à 17:25
Cet article est l'occasion de remercier le ou les animateur(s) de ce site qui constitue une véritable bouffée d'oxygène dans une information presque partout formatée et d'un conformisme désolant. Je me souviens de l'Abbé Pierre conspué pour avoir rappelé que la fidélité dans le couple était encore le meilleur moyen de se préserver.
Quelle horreur n'avait-t-il pas proférée!
Merci à Michel Janva et à qui de droit.
Rédigé par : Hugain | 30 novembre 2010 à 22:44