Pas de communion à celui qui soutient publiquement l'avortement
26 novembre 2010
Le cardinal Raymond Burke, préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique, a parlé de l'importance de promouvoir les enseignements moraux de l'Eglise, revenant sur la question de savoir si une personne qui se dit d'accord de manière publique et persistante avec le droit d'une femme à choisir d'avorter est digne de recevoir la communion.
"En 2000 ans de tradition, l'Eglise a toujours soutenu fermement qu'une personne qui est publiquement et obstinément en situation de péché grave, ne devrait pas prendre la communion, et que si elle le fait, la communion devrait lui être refusée. Il est décourageant que les membres de l'Église affirment ne pas comprendre cela ou trouvent une quelconque justification pour dire que celui ou celle qui est publiquement et obstinément en état de péché grave peut recevoir la communion".
Certains hommes (ou femmes) politiques français, dits catholiques, que l'on voit communier, aux messes commémoratives ou enterrements, devraient se sentir mal à l'aise.
Rédigé par : mm | 27 novembre 2010 à 11:16
Je pense que la traduction est approximative. Comment peut on dire "prendre la communion"?
Par définition, nous recevons le Christ lorsque nous communions.
Rédigé par : Arwenn | 28 novembre 2010 à 13:48