Carton et plâtre: en pleine nature, avec le climat français (où il pleut de temps à autres, ce devrait être un "déjeuner de soleil".
Les conditions pour rendre l'œuvre pérenne (l'abriter des intempéries) sont-elles prévues? Sans doute non, pour éviter de cacher l'œuvre.
Compte-t-on sur le réchauffement climatique pour tarir l'eau du ciel?
C'est déjà très laid. Sans aucun sens artistique. Et cela doit coûter un prix... Quand on nous dit que les caisses sont vides ! Pendant que les snobs abscons s'amusent, il y a des gens qui meurent de froid, d'autres qui ne mangent pas à leur faim.
C'est là qu'est le vrai scandale, cette dilapidation des deniers publics au profit de telles stupidités.
Car ce genre d'édifice peut toujours être démoli, mais les sommes consacrées à cette misère n'auront pas permis de soulager de vrais misères. Elles auront enrichi le pseudo artiste, et peut-être pas seulement lui ...
@ Petitminus
Oui, la signature de cet Audiard là, en forme de raptus agressif est éloquente, mais son "paléo-visage" est aussi évocateur d'une grande "délicatesse".
@AML
Pourquoi pas dans l'Élysée? Mais parce que l'effet de contraste-déconstruction ne serait pas assez fort, l'Élysée ne signifie aucune sacralité, au dessus d'une vénérable abbaye, c'est bien mieux!
Quant l'Art contemporain veut montrer toute sa décadence, il choisit un cadre de dignité pour mieux outrager... que ce soit une abbaye ou Versailles. En bref, on ne tague bien noir que sur un édifice bien blanc.
C'est construit en carton : il suffit d'un fumeur maladroit...
Rédigé par : PK | 02 décembre 2010 à 15:57
Il serait bon d'analyser la signature de Michel Audiard à la fin de la vidéo postée sur Cité et culture pour comprendre le pourquoi du comment :)
Rédigé par : Petiminus | 02 décembre 2010 à 16:43
Mais pourquoi n'installe-t-il pas cette horreur dans les jardins de l'Elysée !
Rédigé par : AML | 02 décembre 2010 à 16:50
Carton et plâtre: en pleine nature, avec le climat français (où il pleut de temps à autres, ce devrait être un "déjeuner de soleil".
Les conditions pour rendre l'œuvre pérenne (l'abriter des intempéries) sont-elles prévues? Sans doute non, pour éviter de cacher l'œuvre.
Compte-t-on sur le réchauffement climatique pour tarir l'eau du ciel?
Rédigé par : C.B. | 02 décembre 2010 à 19:05
C'est déjà très laid. Sans aucun sens artistique. Et cela doit coûter un prix... Quand on nous dit que les caisses sont vides ! Pendant que les snobs abscons s'amusent, il y a des gens qui meurent de froid, d'autres qui ne mangent pas à leur faim.
C'est là qu'est le vrai scandale, cette dilapidation des deniers publics au profit de telles stupidités.
Car ce genre d'édifice peut toujours être démoli, mais les sommes consacrées à cette misère n'auront pas permis de soulager de vrais misères. Elles auront enrichi le pseudo artiste, et peut-être pas seulement lui ...
Rédigé par : Michel Louis COURCELLES | 02 décembre 2010 à 19:08
Ecrivons tous au maire !
Rédigé par : Painaud | 02 décembre 2010 à 19:14
@ Petitminus
Oui, la signature de cet Audiard là, en forme de raptus agressif est éloquente, mais son "paléo-visage" est aussi évocateur d'une grande "délicatesse".
@AML
Pourquoi pas dans l'Élysée? Mais parce que l'effet de contraste-déconstruction ne serait pas assez fort, l'Élysée ne signifie aucune sacralité, au dessus d'une vénérable abbaye, c'est bien mieux!
Quant l'Art contemporain veut montrer toute sa décadence, il choisit un cadre de dignité pour mieux outrager... que ce soit une abbaye ou Versailles. En bref, on ne tague bien noir que sur un édifice bien blanc.
Rédigé par : Exupéry | 02 décembre 2010 à 19:51
l'évêque "n'est pas trop d'accord"...J'espère que le pseudo-artiste a minimisé en fait le violente indignation du prélat face à un tel projet...
Rédigé par : Lusso | 03 décembre 2010 à 10:06