Même avec (peut-être) les intentions les meilleures, on (M. Delarue) glisse vite fait sur ce "terrifiant" silence social, silence familial dont parle Marjorie autour de 12:15 (très très vite : moins de 3 secondes pour dire "çà on en parle pas on va pas en parler on va pas en parler" ...)
mais c'était peut-être la condition du passage à l'antenne de cette émission
La psycho :il n'y a pas de fautifs vous avez pris la décision à 2.Horreur ! voilà où nous en sommes arrivés.Moi je souffre de voir cette souffrance.Le Dr Maurice Caillet,responsable d'avortements, a trouvé la source qui guérit.Puissent ces femmes la rencontrer.Prions pour toutes.
Même avec (peut-être) les intentions les meilleures, on (M. Delarue) glisse vite fait sur ce "terrifiant" silence social, silence familial dont parle Marjorie autour de 12:15 (très très vite : moins de 3 secondes pour dire "çà on en parle pas on va pas en parler on va pas en parler" ...)
mais c'était peut-être la condition du passage à l'antenne de cette émission
Rédigé par : perchè no | 04 janvier 2011 à 10:22
Elle date de quand cette vidéo?
Rédigé par : Cyrano | 04 janvier 2011 à 11:04
La psycho :il n'y a pas de fautifs vous avez pris la décision à 2.Horreur ! voilà où nous en sommes arrivés.Moi je souffre de voir cette souffrance.Le Dr Maurice Caillet,responsable d'avortements, a trouvé la source qui guérit.Puissent ces femmes la rencontrer.Prions pour toutes.
Rédigé par : Anard | 04 janvier 2011 à 11:12
la psychologue " il n'y a pas de fautif "
lavage de cerveau de rigueur
comme ça tout baigne tout va très bien faire une letrre d'adieu pour un enfant qu'on a tué
quelle différence entre l'infanticide avant ou après la naissance
on devrait montrer la réalité des faits avant
Rédigé par : Bertrand | 04 janvier 2011 à 18:01
Le mot qui revient trop souvent : " Le plus gros sacrifice de ma vie.."
Il s'agit surtout du sacrifice de la vie d'un autre être!
C'est sûr, être un(e) assassin, c'est dur à admettre.
Rédigé par : Corso | 04 janvier 2011 à 18:05
Quelles tristesses dans ces regards, quels drames. Par trois fois, il s'agit d'un mari (ou d'un compagnon) qui ne veut pas du quatrième enfant.
Rédigé par : Toubil | 04 janvier 2011 à 22:51