Le chiffre du jour
31 janvier 2012
Le directeur de Sciences Po Paris, Richard Descoings, a défendu sa rémunération de 24 000 euros nets par mois, plus une prime variable :
"Je gagne 27 000 euros bruts, soit 23 000-24 000 nets (par mois). La part variable peut aller de 0 à un montant qui peut être très élevé et baisser aussi très vite".
La dotation de l'Etat assure le financement de 85% de la masse salariale de Sciences Po.
un petit salaire sympa pour le promoteur de l'ouverture aux jeunes des banlieues.une consolation:ses enfants's il en a auront un concours plus difficile à moins qu'ils n'aient eux meme aucune culture générale.
Rédigé par : béatrice vouters | 31 janvier 2012 à 17:24
Avec un tel pactole, le cours sur le gender SEUL COURS OBLIGATOIRE à Sc-Po Paris a de quoi dormir tranquille... en attendant de changer de...genre!
Rédigé par : effectivement | 31 janvier 2012 à 17:33
Gagner de l'argent en soit n'est pas malsain. En revanche, en l'espèce, même si la richesse intellectuelle n'a pas de prix la décence est de mise s'agissant d'une rémunération sur des fonds publics quand bien même ce monsieur a-t-il la tache de maintenir l'excellence de son établissement.
Rédigé par : marcantoine | 31 janvier 2012 à 17:40
Le décervelage est une industrie qui rapporte.Il est payé au rendement.Sciences Po,ENA,les grands séminaires de la République.Calibrage et moulage soigné."Loge"ment de fonction...."Orient"ation assurée à la sortie.
Rédigé par : senex | 31 janvier 2012 à 17:48
Très simplement un genre de sain martin de la religion du progrès contre l'humanité.
voilà qui explique pourquoi il vient si galamment en aide aux plus courtisés d'entre nous.
Rédigé par : Sancenay | 31 janvier 2012 à 18:40
En voilà un que Hollande doit haïr...
Rédigé par : Jean | 31 janvier 2012 à 18:42
comme quoi la Franc-maçonnerie même à beaucoup de chose, pas mal pour un 85 % de fonctionnaire.
La répoublique bananière continue, sang faille et tout et tout.
Rédigé par : siloe08 | 31 janvier 2012 à 18:57
à défaut de culture il sait compter mais partage t il avec la ""diversité""????
Rédigé par : mare | 31 janvier 2012 à 19:00
Si c'est pour arriver à ce que Sciences Po ne soit plus une grande école, à force d'en démolir toutes les exigences... cela ne paraît pas un bon investissement pour la France ! Ce monsieur doit avoir d'excellents réseaux pour se maintenir à ce poste, en dépit de son action si lamentable.
Rédigé par : VD | 31 janvier 2012 à 19:57
Science-po a perdu toute crédibilité depuis quelques années déjà. Une simple fabrique de gauchistes, destinée à fournir en matériaux les officines du socialisme d'administration grassement payés. Le cursus même est une industrialisation technocratique de la pensée de ces pauvres jeunes, nourris à Libé et autres prospectus. À fermer au plus vite.
Rédigé par : Tchekfou | 31 janvier 2012 à 20:27
encore un pôvre malheureux que nous payons
Rédigé par : chouan 12 | 31 janvier 2012 à 20:57
En plus d'être des escrocs intellectuels, les promoteurs des idées de gauche sont aussi des escrocs tout court!
Et fiers de l'être apparemment!
Rédigé par : Robert | 31 janvier 2012 à 21:31
C'est trois fois moins que le president de Harvard. Ne faisons pas non plus de miserabilisme...
Rédigé par : HV | 31 janvier 2012 à 22:46
c'est 56% pas 85
Rédigé par : François | 01 février 2012 à 00:41
Il faut supprimer les subventions publiques à Sciences Po, ou réduire drastiquement la rémunération de son directeur en l'alignant sur celle des fonctionnaires (celle des directeurs des grandes écoles sous tutelle de l'Etat, par exemple).
De même pour les associations, les organismes culturels, la télévision d'Etat...
Rédigé par : Bernard S | 01 février 2012 à 09:08
On attend les nouveaux diplômés hors sol de Descoing le hirsute. On dira "celui-ci, celle-là est un "HS".
Rédigé par : trema | 01 février 2012 à 09:33
l'histoire ne dit pas de quoi est constituée la part variable...
Rédigé par : Oktavius | 01 février 2012 à 09:38
Plus tôt on fermera cette école, mieux ça vaudra.
Rédigé par : Huri | 02 février 2012 à 10:37