IVG et licence des moeurs : le morbide militantisme mondial du Planning
21 avril 2012
Lu ici cette collusion avouée entre dépravation des meurs et avortement, telle que dénoncée par l'encyclique de Jean-Paul II, l'Evangile de la Vie :
"Les groupements pro IVG viennent de présenter un « kit » pour que les militants puissent plus facilement porter plainte contre leur pays devant les organes de l’ONU lorsqu’ils estiment que leurs « droits sexuels » n’ont pas été respectés. Le Planning Familial International (IPPF) et la Sexual Rights Initiative (SRI), une coalition d’organisations militant en faveur des droit sexuels et procréatifs à l’ONU viennent de lancé un nouveau « kit » d’instruments pouvant servir aux militants pour documenter les atteintes à leurs droits sexuels et procréatifs et soumettre des rapports à l’ONU par le biais du mécanisme de l’examen périodique universel (EPU).
IPPF et SRI utilisent déjà ce mécanisme mis en place par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU pour faire pression sur les Etats membres afin que ceux-ci libéralisent leurs politiques concernant les droits sexuels et procréatifs. Le mécanisme EPU a été mis en place en 2006 pour faire le suivi du respect des droits de l’homme dans les Etats membres de l’ONU sur des périodes de quatre ans".
Le malheur est que les "droits sexuels" sont en réalité le droit de violer. Ne nous y trompons pas, c'est bien l'idéologie des droits sexuels des enfants qui encourage la pédophilie et les viols en général.
Le violeur dit : il ou elle ne respecte pas mes "droits sexuels" ou "- je vais lui apprender à exercer ses droits sexuels."
Rédigé par : Denis Merlin | 21 avril 2012 à 13:41
Il ne peut y avoir de relations sexuelles légitimes en dehors du mariage monogame, indissoluble. C'est la loi de l'humanité depuis Adam et Eve.
Rédigé par : Denis Merlin | 21 avril 2012 à 13:42