La France, base arrière des féministes anti-chrétiennes russes ?
29 août 2012
Alexandre Latsa, journaliste français résidant en Russie, dénonce le parti-pris occidental en faveur des Pussy Riot :
"Encore une fois on ne peut que constater que le Mainstream dirige de façon méthodique et obsessionnelle cette affaire vers la personnalité de Vladimir Poutine, un peu comme cela était le cas lors des incendies de 2010, ou l’offensive médiatique contre un pays en Flammes avait atteint un niveau d’agressivité sans précédent. De la même façon que le premier ministre était tenu pour responsable de chaque départ d’incendie en 2010, il est désormais tenu responsable de chaque condamnation dans le pays, surtout celles qui déplaisent à certains artistes Américains et Européens. Ces derniers n’ont-ils aucune autre priorité en tête ? [...]
Mais l’opération de marketing est bien organisée, par le bras droit de Boris Berezovski notamment, qui a contribué à financer la défense des trois jeunes femmes, l’oligarque maudit ayant lui aussi mis son grain de sel dans le dossier, en écrivant au président Poutine. Que doit-on sincèrement penser de ces soutiens politiques inattendus?
Curieusement cela n’a visiblement choqué personne que de nombreuses églises soient vandalisées et des croix coupées en Russie depuis la condamnation des trois jeunes filles (voir ici, la ou ici). [...] Récemment ces dernières ont également tenté d’agresser le patriarche Kirill lors de sa visite en Ukraine, revendiquant l’action sous le terme hautement démocratique "Tuons Kirill", la photo liée étant assez parlante. Après avoir été traité de chien par les Pussy Riot, celui-ci est désormais présenté mort et décapité sur des affiches, tout comme le Pape ou encore les présidents russes et Biélorusses, peut on trouver ca normal ?
Les Femen ont aussi organisé cet été une action pour dénoncer la participation aux J.O. de Londres de régimes islamistes et sanglants, ou encore une action au Vatican contre le Pape. [...]
Cette croisade anti chrétienne se poursuit donc en Europe de l’ouest et avec certains soutiens français puisqu’une des représentantes des FEMEN (Alexandra Shevchenko) était notamment présente à la réception du 14 juillet dernier à l’ambassade de France à Kiev, et que récemment les Femen ont annoncé créer leur base arrière en France, avec vraisemblablement le soutien du mouvement "Ni Putes ni soumises" et de Safia Lebdi, conseillère régionale d’Ile-de-France et cofondatrice de l’association "ni putes, ni soumises". Dernier soutien en date, lors du congrès du parti écologiste, les élus et militants verts français ont eux aussi affirmé leur soutien aux Pussy Riot en se faisant photographier en cagoule. [...]"
Vivement que l'Armée Rouge débarque sur les Champs Élysées !
Rédigé par : PK | 29 août 2012 à 13:55
Je serais modérément surpris si leurs immondes et scandaleux montages photographiques étaient imposées au publics comme autant "d'oeuvres d'art" par nos blanches colombes des media qui lavent les cerveaux plus blancs que blancs.
Rédigé par : Sancenay | 29 août 2012 à 14:18
Derrière ces filles déséquilibrées, il y a tout un réseau politique ou mafieux anti-Poutine et anti-chrétien, probablement.
Rédigé par : bécassine | 29 août 2012 à 15:32
On peut écouter sur radio Courtoisie (par internet) la seconde partie du journal d'Henry de Lesqun du 27/0/2012 qui développe ce sujet.
Rédigé par : VD | 30 août 2012 à 16:35