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Un musulman plaide pour la polygamie
Alain Juppé travaille sur les salles de shoot

Le totalitarisme de la communauté gay

Extraits d'une tribune de Falk van Gaver et Jacques de Guillebon sur Nouvelles de France :

"[...] L’homosexualité est un faux amour, elle est refus de l’autre, de sa personne, de sa différence. Elle est, au nom de la différence, un refus de la différence. Elle est un narcissisme radical qui se projette, un nombrilisme sans fond (pour ne pas dire pire…). [...] Comme pour Narcisse, l’homosexualité n’est qu’illusion et suicide, piège mortel, impasse, voie sans issue, fosse, trou noir d’où rien ne peut sortir de fécond… Elle est la maladie des peuples fatigués, des siècles décadents, des sociétés finissantes. [...] Elle est le signe avant-coureur des effondrements, des révolutions, des bouleversements, des invasions, des catastrophes. Elle est le symptôme même de la décadence, de la perte de sens, de l’anomie. Sa joie bruyante et fabriquée est sans avenir, ses plaisirs criards et tapageurs sans postérité. Les homosexuels sont les sacrifiés des époques perdues, qui se consument eux-mêmes dans des immolations absurdes. Ils sont les suicidés des sociétés sans foi ni avenir, les enfants monstrueux des générations jouissives, hédonistes et inconséquentes, leurs minotaures dévorateurs enfermés dans les labyrinthes sans buts des siècles insensés. [...]

Il est au goût du jour d’avoir un ami « homo » comme il fut naguère à la mode d’avoir des amis juifs, noirs ou arabes… [...] Mais si nous n’avons jamais perdu un ami à cause de sa négritude (selon l’expression non péjorative de Léopold Sendar Senghor), de son judaïsme ou autre, nous en avons perdu des amis à cause de l’homosexualité. Non que leurs pratiques sexuelles nous divisent au point d’empêcher l’amitié, mais parce que, vampirisée par l’identité collective gay, leur personnalité s’est fondue dans la masse, dissoute, dissolue, disparue. Il y a sans doute peu de mouvements sociaux contemporains qui pratiquent un tel lavage de cerveau, un tel bourrage de crâne (et pas seulement…), un tel conditionnement, un tel endoctrinement, une telle refonte de la personnalité, à part peut-être certaines franges islamistes. Ce n’est pas tant la chute de l’amitié que la perte de l’ami qui s’ensuit, la disparition de la personne que l’on a connue, rapidement lobotomisée, obsédée, fanatisée, ne parlant plus que de sa « sexualité différente » et de sa « communauté » et ne voyant plus rien qu’à travers leur prisme [...]. La pseudo « communauté homosexuelle » relève par bien des aspects du phénomène sectaire. [...]