Jacques Bompard demande une commission d'enquête parlementaire sur les associations antiracistes percevant de l'argent public
27 septembre 2012
Le député d'Orange fait suite aux déclarations sur le racisme anti-blanc :
"Les récents propos de Jean-François Copé comme certains passages du livre de Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole du gouvernement, ont mis en lumière médiatique le phénomène du racisme anti-blanc.
Maire d'une commune depuis dix-sept ans, m'entretenant régulièrement avec de nombreux collègues, je ne peux que confirmer l'importance de ce racisme "anti-blanc" ou "anti-européen" ou "anti-français", peu importe le nom qu'on souhaite lui donner, mais dont les victimes sont des personnes dont le seul tort est d'être minoritaires dans un quartier, une cité, un immeuble. Ici, c'est un couple qui visite un appartement dans une cité HLM et qui se fait traiter de "sales Français" avant de découvrir, au moment du départ, un pneu crevé sur sa voiture, là ce sont des retraités qui, le jour d'une élection, n'osent pas aller voter car au bas de leur immeuble une bande leur interdit de sortir. Parfois, ce sont des citoyens tentant de s'intégrer qui sont persécutés par leur propre communauté. On pourrait multiplier les exemples.
La cause principale et directe de ce racisme est le développement du communautarisme qui, dans certains quartiers, encourage la persécution de populations françaises devenues minoritaires, créant ainsi d'inquiétantes situations de pré-libanisation.
Dans ce contexte, il devient nécessaire de se pencher sur le fonctionnement de la lutte contre le racisme en France et notamment sur le financement public des associations de ce type. En effet, il est permis de s'inquiéter lorsque l'on voit le déni de réalité de certaines d'entre elles comme SOS-Racisme. Que font ces associations pour lutter contre le racisme antifrançais ? Quelles actions publiques mettent-elles en oeuvre ? Pour le savoir, Jacques Bompard interrogera en séance publique la semaine prochaine le Premier ministre et demande, d'ores et déjà, la constitution d'une commission d'enquête sur les associations dites antiracistes vivant des subventions publiques."
un depute comme J Bompard ca sert!
Rédigé par : dissident | 27 septembre 2012 à 17:55
BRAVO !
Enfin un député qui n'est pas un député "godillot"
Rédigé par : c | 27 septembre 2012 à 19:45
"constitution d'une commission d'enquête sur les associations dites antiracistes vivant des subventions publiques"
Il pourrait même élargir le travail de la commission d'enquête à toutes les associations "vivant des subventions publiques", c'est-à-dire dont le budget est majoritairement alimenté par des subventions publiques, et non par les cotisations des membres ou par des dons.
Ne serait-il pas opportun de supprimer TOUTE SUBVENTION, et d'obliger les associations à subvenir à leurs besoins par leurs cotisations ou par des dons, sans attendre l'aide de fonds publics.
Rédigé par : C.B. | 27 septembre 2012 à 21:16
Halte aux subventions soviétiques : Curieux pays que le nôtre qui "subventionne " ou plutôt fait vivre des organismes incapables de survivre par eux-mêmes ....journaux, magazines, pièces ,concerts, films , productions diverses , expositions etc...etc...avec l'argent des contribuables ! là oui , des économies s'imposent et peuvent avoir un effet immédiat non seulement sur l'aspect financier mais plus encore sur la santé morale des français !
bien entendu des subventions restent nécessaires pour ce qui touche à l'aide
aux véritables besoins de notre société !
Rédigé par : piques-à-sots | 28 septembre 2012 à 10:42
Il s'agit des dépenses publiques que notre Caste politicienne ne veut surtout pas diminuer, car c'est leur fond de commerce, et tant pis pour la dette, la crise, l'euro et le reste.
Rédigé par : Jean Theis | 28 septembre 2012 à 18:51