Le manifeste des élus pour la famille
31 octobre 2012
A découvrir ici et à faire connaître à vos élus :
"Les maires à l'origine de cet appel, considèrent qu'il est nécessaire de réserver le mariage à l'union d'un homme et d'une femme, et appellent tous les élus locaux à signer à leur tour ce manifeste.
Il y a lieu, dans l'intérêt même de la Nation, de continuer à honorer et à promouvoir à travers une cérémonie spécifique en mairie la seule union de deux personnes de sexe différent qui fondent une famille en désirant l'inscrire dans la durée et peuvent, sauf dysfonctionnement organique, participer au renouvellement des générations.
Permettre à des personnes de même sexe de se marier reviendrait à établir une confusion entre l'institution conçue pour fonder une famille et une union homosexuelle stérile et contre nature.
Seul le mariage dans son acception traditionnelle doit faire l'objet d'une cérémonie en mairie. Ouvrir la possibilité de mariage aux homosexuels conduirait à leur reconnaître le droit à adopter des enfants. Une telle mesure irait à l'encontre de l'intérêt supérieur de l'enfant.
Si cependant la loi donnait aux homosexuels la possibilité de se marier nous demandons donc que leur « mariage », afin d'être exempt de toute connotation d'exemple social, ne donne lieu qu'à un simple enregistrement, soit par un fonctionnaire nommé par l'état, soit par un agent communal ayant reçu délégation en matière d'état civil ; en conséquence que l'article R. 122.9 du code des communes, relatif aux compétences en matière d'état civil que le maire peut déléguer à un agent communal, prévoit cette possibilité d'enregistrement.
Si le mariage d'homosexuels devait être cependant célébré en la forme d'une cérémonie présidée par un élu et que cette célébration ne puisse être déléguée à un agent communal, nous annonçons dès maintenant que nous ne le célébrerons pas personnellement et nous exigeons qu'une clause de conscience nous permette de refuser de nous associer à ce bouleversement sociétal".
Ils n'ont pas fini d'être étonnés les élus !
Le mariage et l’adoption d’enfants par les homos ne sont qu’une étape pour ces gens qui ne rêvent que de chair fraîche et innocente !
La commission de l’ONU sur la population et le développement est en train d’étudier un document visant à faire bénéficier de droits sexuels et procréatifs pour les enfants à partir de 10 ans. Même le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon y est favorable. comme quoi, l’élite est bien malade ! L’année dernière déjà, le rapporteur général de l’ONU pour la santé, Anand Grover, a provoqué une grande controverse : non seulement il affirmait l’existence de droits sexuels et procréatifs, mais il tentait d’y inclure l’accès à l’appartement, la contraception, et l’éducation sexuelle.
Des organisations internationales comme International Planned Parenthood (IPPF) ou IPAS, grands lobbys favorables aux droit sexuels et procréatifs pour les mineurs internationalement et aux Nations unies, ont déjà publié plusieurs rapports officiels auprès du bureau de la conférence, qui soutiennent un langage favorable au droit à la contraception et à l’avortement. Ils utilisent aussi la conférence comme une tribune permettant d’attaquer l’engagement des parents dans la santé sexuelle de leurs enfants. Selon les organisations comme IPPF, les parents sont le plus grand obstacle dans l’accès des mineurs à des services comme l’avortement ou la contraception, c’est pourquoi elles travaillent à faire admettre un langage officiel qui marginaliserait leur rôle.
Dans sa déclaration officielle,IPPF affirme, « les législations qui restreignent l’accès des jeunes aux services de santé sexuelle et procréative, et même celles qui prévoient un consentement obligatoire des parents ou du conjoint » doivent être soit abrogées, ou rester inappliquées. IPAS va encore plus loin et affirme que les jeunes doivent être considérés comme des acteurs indépendants et libres de tout obstacle qui ignorerait leurs propres « capacités à prendre des décisions informées ». Leur but principal à cette conférence consiste à marginaliser l’engagement parental et à encourager les Etats qui soutiennent leur position à augmenter la pression favorable à ce type de langage.
Rédigé par : tien | 31 octobre 2012 à 21:05