La Fondation pour l’enfance a besoin d’une bonne claque !
22 juin 2013
Excellente chronique de Gabrielle Cluzel :
"La Fondation pour l’enfance lance une nouvelle campagne de prévention des violences éducatives ordinaires : dans un petit film visant à la« sensibilisation du grand public », une mère de famille dans sa cuisine. Elle est au téléphone, stressée. À table, à côté, son fils fait l’andouille avec sa petite voiture au lieu de dîner. La mère lui répète cent fois d’arrêter. Elle est excédée, une claque part. « Une petite claque pour elle, mais une grosse claque pour lui. » C’est la phrase choc qui clôt le spot, sur fond de morceau de piano pathétique.
La Fondation pour l’enfance nous le dit, nous le répète : « Il n’y a pas de petite claque. » Bref, il ne faut jamais porter la main sur votre enfant. Même si celui- ci, du haut de ses trois ans et demi, lâche votre main et traverse la nationale en courant ? Même dans ce cas. Il suffira de le prendre entre quat’z'yeux pour débriefer avec lui : « Tu sais, mon chéri, que les voitures vont très vite ? », et cette seule mise au point sera pour lui une leçon mémorable qui le dissuadera à jamais de recommencer. Et si ce n’était pas le cas, vous pourrez toujours vous retourner contre la Fondation pour l’enfance" (suite).
Seule la police politique de Valls a le droit de tabasser et de gazer les enfants.
Rédigé par : ghj | 22 juin 2013 à 20:53
Encore des doux dingues qui révent!
Sans infliger des sévices corporels aux enfants, une petite gifle ou mieux une fessée n'a jamais fait de mal et cela eviterait de voir arriver des enfants incontrolables en classe et à qui il faut des suivis psychologiques parce qu'on ne leur a jamais appris qu'on doit obeir à un adulte et parfois une fessée le fait comprendre beaucoup mieux qu'un long discours !!!
Rédigé par : Anna | 22 juin 2013 à 21:13
Excellent pour bâtir une société de c... molles.
Nos enfants découvrent dans l'histoire de France que les Gaulois et les Francs étaient braves et guerriers...
Si les personnes de cette époque voyaient cette imbécillité cinématographique, ils la trouveraient pathétique!
Rédigé par : Jules | 22 juin 2013 à 21:38
En l’occurrence, la claque sur la figure n'est
pas respectueuse de la personne.
Le visage d'un enfant doit être respecté et ne recevoir que baisers et caresses.
En revanche pour une correction, la fessée est un excellent moyen; c'est une correction qui convient à tous : la fesse est un muscle et on ne craint pas de blesser l'enfant.
Celui ci sera suffisamment humilié et se souviendra de la leçon.
Rédigé par : panetier | 22 juin 2013 à 21:40
La fondation pour l'enfance, encore un organisme qui donne des leçons. Un ramassis de parasites socialos-mondialiste.
Rédigé par : Le Pog | 22 juin 2013 à 21:50
Et oui,la famille va devoir se conformer a notre justice..laxisme et démission...sinon les gosses pourront appeler un muméro vert et là, ça ne rigolera plus...pour les parents qui eux seront humiliés et malmenés,exactement comme les profs sur qui la justice s'abat dès qu'ils font montre d'autorité avec des trublions.
Rédigé par : Maria | 22 juin 2013 à 22:43
La soi-disant fondation pour l'enfance ne représente rien.
C'est encore une création de coquins pour placer des copains avec voiture de fonction, émoluments grassouillets et logement de fonction.
Donc, leur façon de voir, on s'asseoit dessus, quant à leur spot, on zappe!
Il y a déjà assez de stupidités à la télévision pour ne pas rajouter ce genre de morale laïcarde à la con !
Rédigé par : valjean | 22 juin 2013 à 23:01
Et après, lorsque ces mêmes "enfants rois" prendront les immenses claques des frustrations et douleurs que la vie ne nous épargnes pas, que feront-ils ? ils voteront front de gauche et/ou deviendrons délinquants haineux, drogués, voire suicidaires.
Les revers de la main donnés par les parents apprennent à respecter toute autorité et à supporter ultérieurement les revers de la vie.
Au début du XX ème siècle les parents, et les instituteurs laïcs d'alors, n'hésitaient pas à donner des corrections sévères (sans doute trop) mais cela n'a pas donné une génération de dépressifs amorphes ou de délinquants bourrés de ressentiments.
D'ailleurs la psychologie a vérifié que les parents trop sévères font, chez leurs enfants, certes des dégâts, mais moins que les parents trop laxistes.
Rédigé par : Exupéry | 22 juin 2013 à 23:56
Où est la plus grande violence? Dans l'administration d'une claque ou la mise en place de la terreur du gender?
Rédigé par : DB2 | 23 juin 2013 à 00:19
Essayez-donc de gifler, fesser ou corriger un enfant dans la rue en Allemagne ! : un gentil passant appellera le "jugendamt" qui vous enlèvera votre enfant pour le placer dans un foyer et ce sera le début d'une galère à long terme...surtout si vous n'êtes pas allemand.
Copierait-on l'Allemagne en tout, le bien et le mal ? je n'en doute plus, expérience oblige. L'enfant appartient de plus en plus à l'Etat, méfiez-vous ! vous n'êtes plus, vous parents, que les géniteurs et les nourriciers !
Rédigé par : antoinette | 23 juin 2013 à 00:23
Après avoir prétendu qu'il n'existe pas de différence entre l'homme et la femme, les antifas prétendent qu'un enfant dès son plus jeune âge est sensible au langage de la raison, eh oui quoi, entre un enfant et un adulte, la différence n'est qu'une question de cm et de kilos.
Et ceux qui ont des doutes seront dénoncés par leurs enfants, puisqu'il est question d'une loi faisant de l'usage de la fessée un délit.
Les idéologies criminelles ne sont jamais à l'abri d'une renaissance, on le voit avec le régime de Hollande mécanique et Manuel Gaze.
Rédigé par : anonyme | 23 juin 2013 à 08:37
La claque forte donné sur le coup de la colère à un petit enfant risque de lui donner un traumatisme au sens clinique du terme, une blessure.
Les fesses elles forment un amortisseur naturel. Une claque donnée sur les fesses sur le coup de la colère ne blesse pas l'enfant, sauf s'il se fait mal en tombant (il m'est arrivé de faire tomber une de mes petite fille comme cela).
Rédigé par : Frégate | 23 juin 2013 à 09:13
Edwige ANTIER qui préside ce machin anima durant 20 ans une chronique ''spécialisée'' sur France Inter, puis animarice d'une émission au relativisme souvent évident. Issue du Parti Radical maçonnique, elle a été élue conseillère de Paris sur une liste UMP, puis suppléante du ''Frère'' Pierre Lellouche, et celui-ci ayant été ministre sous SARKOZY, elle siège depuis comme députée UMP.
Par contre elle a dénoncé l'idée de parentalité homosexuelle comme nuisible à la construction psychique des enfants. Ce qui prouve qu'elle sait que la société peut donner par des lois aberrantes des claques morales aux enfants.
Rédigé par : h-xavier | 23 juin 2013 à 09:43
Claque, tape ou autre?
Je n'en ai guère eu besoin et ne suis pas porté par mon caractère à en donner.
Mais en quoi serais-je une référence, de quel droit pourrais-je prétendre imposer une norme aux autres parents dont le caractère est différent?
Et si on examine de près les conséquences, une telle règlementation est profondément sexiste: les mères sont aux premières loges en général, on devrait donc priver les enfants de leur mère pour une claque qui part simplement parce qu'elles sont excédées et humaines, juste humaines?
Quelle est cet enfer où l'homme n'a plus le droit d'être faillible?
Le plus frappant, c'est qu'on retrouve la même logique que l'idéologie du 'genre'. Celle-ci est bâtie sur une infime fraction de cas marginaux, d'organes indéterminés à la naissance [1]. Dans le cas de Mme Antier, c'est l'extrapolation d'une fraction de cas de sévices réels: ils existent mais la législation permet déjà d'y repondre.
N'est-on pas tombé dans une dictature des minorités?
[1] "As Nature made him" de John Colapinto, dissèque l'élaboration par un John Money, psychologue à Baltimore, de cette "théorie" dans les années 50; Milton Diamond, biologiste, démontrera la supercherie en 1997.
Rédigé par : A.Fumey | 23 juin 2013 à 11:05
Depuis des siècles, les parents ont toujours corrigé leurs enfants (même Louis XIV enfant n'y a pas échappé) avec des fessées et/ou des gifles, qui correctement dosées, ne font mal qu'à l'amour-propre. Tous ceux qui en ont reçu remercient leurs parents d'avoir su les éduquer correctement.
A mon avis, celui qui a émis cette idée folle contre ce mode de correction a dû être traumatisé... de ne pas en avoir reçu assez !!!
Rédigé par : Lanne Elisabeth | 23 juin 2013 à 11:12
Qu' un seul de ses moralisateurs viennent chez moi me dire comment je doit éduquer mes enfants. Il serait recus avec tous les honneurs du à son rang.
Rédigé par : Follenfant Jean- Louis | 23 juin 2013 à 11:14
"Campagne anti-gifles et lourde promotion de la théorie du genre : jusqu’où avons-nous envie de laisser l’État se substituer aux parents dans l’éducation de leurs enfants ?
L'État continue son travail d'immiscion dans les familles. Après la théorie du genre, c'est autour de la gifle de faire l'objet de toute les critiques, le tout appuyé par une campagne de publicité stigmatisante pour dénoncer la pratique."
Un billet de H16, à l'humour toujours acerbe, sur Atlantico.
http://www.atlantico.fr/decryptage/campagne-anti-gifles-et-lourde-promotion-theorie-genre-jusqu-ou-avons-envie-laisser-etat-se-substituer-aux-parents-dans-educatio-764831.html
Rédigé par : damien | 23 juin 2013 à 11:18
Il y a quelques années une pédopsychiatre m'avait expliqué gravement que, en donnant une explication logique aux interdits que je posais pour mes enfants, j'ajoutais à leur sentiment de culpabilité quand ils désobéissaient, puisque l'ordre était rationnel. Et c'était terrible pour un enfant de désobéir dans ces conditions !
J'ai lu des articles dans le journal de la mutuelle des enseignants qui tenaient le même discours.
Sans doute l'idée de faire entendre raison à un enfant qui n'en dispose pas complètement était d'une excessive naïveté, mais la "spécialiste", elle aurait bien mérité des baffes !! Freud disait " faites comme vous voulez, de toutes façons ce sera mal", ce qui n'est pas faux. Alors, je veux tout, l'explication, et la petite tape au besoin ( qui n'est pas un tabassage ...). Au moins j'aurais essayé ...
Rédigé par : gudule | 23 juin 2013 à 11:31
Ni claque, ni fessée, ni coup d'aucune sorte. Le seul vrai problème est de savoir si l'État peut les interdire. Les déconseiller, certainement, les tolérer jusqu'à une certaine intensité (au-delà, il faut des sanctions pénales).
Rédigé par : Denis Merlin | 23 juin 2013 à 14:30
La bêtise...
mais au fait...
les mêmes ont voté flamby..
c'est tout mou ça...burk
Rédigé par : nedelec | 24 juin 2013 à 11:57