L'hyperviolence des antifas
06 juin 2013
Alors que le milieu politico-médiatique dénonce "l'extrême-droite", aucun ne dénonce la violence de l'extrême-gauche. Dans les faits, il semble pourtant que les antifas ont provoqué les militants au look skin, lesquels se sont défendus avec les conséquences que l'on connaît. Or, les antifas ne sont pas de gentils pacifistes. Rien que leur nom montre qu'ils sont là pour en découdre :
Ainsi, Clément Méric faisait partie d'un petit groupe d'étudiants criant «Pas de fachos dans nos quartiers, pas de
quartier pour les fachos», le 17 avril, en marge d'une manifestation de la Manif pour tous. Il était connu des services spécialisés
comme appartenant à un groupe de militants d'extrême gauche qui
recherchaient la confrontation avec des militants d'extrême droite, avec lesquels ils «jouaient à cache-cache et se cherchent depuis quelque temps».
Il n'y a pas si longtemps, c'est Mgr Marc Aillet qui était leur cible sans que cela n'émeuve nos élites.
Récement, ils ont souillé une statue de Ste Jeanne d'Arc à Bordeaux :
Ce soir à Nantes, des antifs ont vandalisé une librairie catholique :
Place Saint-Michel à Paris, une journaliste d'I-Télé a été prise à partie par ces extrémistes. Même NKM a été huée et Anne Hidalgo exfiltrée. A Toulouse la police ne peut plus protéger les Mères Veilleuses, qui sont obligées de trouver un lieu plus calme...