Alain Delon : "je vis très mal cette époque qui banalise ce qui est contre nature"
19 juillet 2013
Alain Delon est interrogé dans Le Figaro Magazine :
"Qui pose cette question? Les femmes? J'en connais effectivement qui disent qu'il n'y a plus de mecs… Il y en a moins parce que de plus en plus de femmes sont devenues des hommes. Les femmes se sont battues pour avoir des droits, elles ont eu ce qu'elles voulaient, très bien… Mais pourquoi aller jusqu'à se comporter comme des hommes, pourquoi vouloir leur ressembler? Je ne comprends pas.
Comprenez-vous que les femmes aient voulu promouvoir leurs droits?
Je le comprends, bien sûr, mais jusqu'à un certain point. Il faut faire attention aux limites, aux équilibres entre hommes et femmes. A mon époque, on disait que ce n'était pas à une femme de faire la guerre. Si demain on se bat, elles se battront comme des hommes… Je ne suis pas sûr qu'elles y gagnent. En ce moment, on cherche à faire disparaître les différences alors que c'est ce qui différencie un homme d'une femme qui est beau.
Hommes et femmes se seraient perdus de vue à force de se confondre…
Il fut un temps où, dans la rue, on distinguait les hommes et les femmes, maintenant, on ne sait plus qui est qui. Les rôles sont moins définis, ils se sont parfois même inversés, comme avec le congé paternité. Et puis, on a l'air de sous-entendre qu'être avec quelqu'un du sexe opposé ou du même sexe, c'est pareil. Ça, c'est grave! Je ne suis pas contre le mariage gay, je m'en fiche éperdument, mais je suis contre l'adoption des enfants. On va encore me dire que je dois m'adapter et vivre avec mon temps… Eh bien je vis très mal cette époque qui banalise ce qui est contre nature. Quitte à passer pour un vieux con, ça me choque! [...]
Je dois tout à l'armée. Je ne serais pas ce que je suis sans l'armée. C'est elle qui m'a enseigné les valeurs nécessaires à la construction d'un homme jeune, d'un homme: le respect, la discipline, le courage… [...]
On a commis deux erreurs: abaisser, en 1974, l'âge de la majorité civile de 21 ans à 18 ans. Maintenant, les gamins vous parlent de leurs droits avant même de savoir s'ils ont des devoirs. Et supprimer le service militaire obligatoire, qui était utile à beaucoup de mômes. Ils avaient la chance de pouvoir trouver un cadre, d'être formés, d'être confrontés à l'autorité, d'acquérir des valeurs… [...]
C'est tellement beau, une femme-femme qui ne cherche pas à gommer ce qu'elle est. Aujourd'hui, les femmes ont gardé des qualités féminines mais de façon plus dissimulée. C'est dommage car il n'y a rien de plus beau au monde qu'une femme. C'est ce que j'ai toujours pensé. Une vraie femme qui a l'air d'une femme… [...]"
On a le droit également de vouloir revenir aux fondamentaux sans systématiquement prendre des gants de chirurgien et des pincettes.
Rédigé par : Dups | 19 juillet 2013 à 23:20
Complètement d'accord avec lui
Rédigé par : vaucenay | 20 juillet 2013 à 01:28
Il a bien raison, Delon. S'il y avait encore des hommes qui connaissent l'activité militaire et le maniement des armes au combat, les femmes se sentiraient moins menacées par les hordes allogènes résidantes et ne seraient pas obligées de s'inscrire à un stand de tir pour espérer sauver, peut-être, leur peau...
Elles sont bien convaincues qu'elles n'ont rien à y gagner.
Mais, pour réclamations, voir Chirac.
Rédigé par : Goupille | 20 juillet 2013 à 02:47
que cela fait plaisir à entendre:
une femme qui soit une femme!!!!!
Rédigé par : catherine | 20 juillet 2013 à 03:58
"Quand les Talibans affûtent leur couteaux, les "mecs" chez nous poussent le landeau.
La femme a non seulement voulu être l'égal de l'homme, elle veut "être l'homme". Ce faisant,elle perd en influence ce qu'elle croit gagner en prétention.
"Tu es entrée en moi par le regard et tu m'as contraint à développer ma puisance." Quel plus beau témoignage que celui de Michel-Ange s'adressanr à Vittoria Colonna!
Rédigé par : Roge | 20 juillet 2013 à 05:28
Je suis d'accord avec Alain Delon sauf que: "sois belle et tais-toi", c'est fini, "obéis et tais-toi", c'est fini aussi.
Rédigé par : bécassine | 20 juillet 2013 à 07:12
Cette réponse d'Alain Delon me plaît.
La.parité ? Dites vous ? Alors oui, les femmes doivent faire la guerre comme les hommes .
Rédigé par : Werherf | 20 juillet 2013 à 07:19
hé oui, comme dit Delon, l'armée ca forge les hommes, pour commander il faut savoir obéir.
C'est pour cela que les hommes d’aujourd’hui sont des "minets", la virilité décroit et la société française plonge dans la décadence et la soumission aux diktat de l'empire.
Rédigé par : boby | 20 juillet 2013 à 12:08
Imaginez l'envergure que peut prendre ce combat contre le gender et l'adoption d'enfants par les homos ,si des personalités comme Alain Delon était invitées à devenir porte-paroles dans les cercles mondains et délègués d'honneur dans des associations qui sont les notres et servent nos causes !
Vite, vite , si Delon et d'autres stars célèbres s'engageaient ,comme des tas de célèbrités le font pour des tas d'associations , nous aurions de meilleurs relais pour nous faire entendre et agir là où il faudrait le faire : partout où c'est possible .....
Rédigé par : Anonymous | 20 juillet 2013 à 12:14
Ces pauvres femmes sont les dindes de la farce qui commença par le MLF et la mode unisexe : on leur dit que le top c'est de s'échiner au boulot comme à la maison, on en a fait les gagne-petites de l'économie, on leur dit d'assumer les avortements, d'assumer les grossesses, on les prive de leurs sentiments maternels, on les exhibe honteusement nues sur toutes les affiches des rues et dans les magazines, on les envoie se faire tuer à la guerre, on leur a donné la liberté d'être prises et larguées par leur "compagnon" successifs en union libre, on en a fait une variable d'ajustement économique avec leur retraites minables, on les habille de guenilles ridicules, on leur a dit qu'elles devaient devenir des hommes si elles voulaient enfin être quelque chose ... et elles ont pris tout ça pour du bon pain ...
Mais qui sont ces "on" qui leur ont jeté toutes ces miettes emballées dans du papier brillant ?
Des hommes bien entendu, mais pas les vrais hommes, pas ceux qui les aiment pour ce qu'elles sont en vérité naturellement, pas les maris, pas les pères, mais les libertins dirigés par le prince des menteurs, des trompeurs : Lucifer et sa clique.
Rédigé par : Daniel | 20 juillet 2013 à 17:40
je salut !!!
Alain Delon pour ce qu'il dit les mômes n'avais pas besoin de voter à 18 ans il fallait laisser la majorité à 21 ans , maintenant à 18 ans il ne savent mêmes pas lire et sont encore que des gamins , mêmes certains parents maintenant ne sont pas mure et ce comportes comme des gamin de 12 ans à 5 ans irresponsables .
je suis pour le retour de l'armée obligatoire ça fait au moins des hommes plus tard pas des lâches et de vrais fillettes . et la France aura quoi pour nous défendre ? on doit aimer son pays à l'occurrence la FRANCE . une femme doit rester une femme avec plus de droit qu'avant pour se défendre et doit être traiter avec du respect mais pas comme une boniche et surtout une esclave .
merci monsieur Delon d'avoir eu le courage d'avoir dénoncer tous cela .
Rédigé par : joëlle | 20 juillet 2013 à 18:23
Tout ce que dit Alain Delon est exact.
Maintenant il faut se poser la question au sujet de la féminisation des hommes : il ne peut y avoir que de l'idéologie. Il doit y avoir aussi une cause physique, par exemple la quantité d'hormones avalées dans l'eau et l'alimentation.
Rédigé par : Jean Theis | 20 juillet 2013 à 18:41
Dommage qu'il ne soit pas contre le mariage homo, j'aurais applaudi ce texte.
souvenez-vous des propos de Delon, il y a quelques années, qui lui avaient valu les foudres des media : "je ne me reconnais pas dans l'équipe de France"; sera-t'il censuré pour cette dernière déclaration?
Rédigé par : Matamaures | 21 juillet 2013 à 14:16
je suis complètement d'accord avec Delon, y'a plus de mecs, je suis seule depuis longtemps, pourtant pas si moche, et nous les femmes, beaucoup de copines dans mon cas, on doit toujours stresser, on ne peut plus vivre notre féminité, et maintenant entre ceux qui vont chercher des étrangères ayant 20 ans de moins et ceux qui vont se marier entre eux, quel espoir, quelle décadence,les enfants qui trinquent dans tout celà.
Rédigé par : mara | 05 novembre 2013 à 19:13