La justice oblige deux lesbiennes à laisser le père de l'enfant de l'une d'elle voir son fils
31 juillet 2013
Et bien sûr, elles ne l'acceptent pas et découvrent que le père d'un enfant a des droits (et des devoirs). Qui leur a tant menti pour qu'elles soient persuadées que cet homme se désintéresserait de son enfant? Si un jour, on avait que dit que notre société serait obligée de rappeler que pour faire un enfant, il faut un père et une mère...
Et chacun y va de ces formules vides de sens au point qu'elles expriment non une vérité, mais ce que chacun décide dans un dialogue de sourds à qui l'on a tent menti : "intérêt de l'enfant" (qui parle de son "bien", forcément objectif?); "ses deux mamans" (Non, justement, cet enfant, comme tous les enfants, n'a qu'un père et qu'une mère), "projet parental construit"; "coparentalité à trois", etc. Il est temps de faire le ménage dans le lexique de cette subversion qu'est le relativsime, refus de toute réalité exogène et de toute vérité objective.
"C'est l'histoire d'un petit garçon conçu «de manière artisanale par trois apprentis sorciers», explique crûment l'avocate du «géniteur». «Meilleur ami» d'un couple de femmes, raconte Me Magali Castelli-Maurice, Sébastien accepte de leur donner son sperme, et de renoncer à tous ses droits sur l'enfant. Mais, sept mois après la naissance, en septembre 2011, à Orléans, ce jeune barman se découvre des instincts paternels… et décide de reconnaître le bébé.
Une «espèce de tremblement de terre» dans la vie de Magali et Flavie, qui, jurent-elles, «voulaient que l'enfant connaisse ses origines, mais pas tout de suite, seulement quand il aurait posé des questions»… Les deux femmes ont beau déménager, en catimini, à Nantes, elles reçoivent, en mai dernier, une assignation devant le juge aux affaires familiales.
Dès lors, «c'est l'intérêt de l'enfant qui doit primer!», proclament en chœur les deux parties. «Peut-être que les gens auront du mal à comprendre, avance Magali, mais, pour nous, l'intérêt de notre fils, c'est d'être avec ses deux mamans et sa petite sœur», née le mois dernier d'un père «plus mûr, très sûr et qui a déjà des enfants». En face, Me Castelli-Maurice s'étrangle: «Ah bon, l'intérêt de l'enfant, c'est de vivre sans père?»
Le juge a finalement tranché, mardi, et «organisé les droits du père de manière progressive, se félicite Me Anne Bouillon, avocate de Magali. Il verra d'abord l'enfant en présence de sa mère une fois par mois, puis sans sa mère. Puis aura un droit de visite et d'hébergement, et, enfin, la moitié des vacances scolaires».
Un père , une mère c'est complémentaire !!!! C'est une nouveauté ???? Ce ne sera peut-être pas la dernière fois que cela se produira!!!!!!
Rédigé par : E. | 31 juillet 2013 à 20:56
La justice nie donc les conséquences du pseudo mariage homosexuel !
Bonne chose ! Cela fera jurisprudence !
Rédigé par : Sawyer | 31 juillet 2013 à 21:01
6-Year-Old Transgender Student Wins Case to Use Girls' Bathroom
Coy Mathis, a transgender 6-years-old, wins civil rights case to use the girls bathroom.
By Jessica Martinez, CP Contributor
June 24, 2013|4:08 pm
The Colorado Civil Rights Division ruled on Sunday that Coy Mathis, a transgender 6-year-old who identifies as a female, has the legal right to use the girls' bathroom at his elementary school in Fountain, Colo. The ruling concluded that the Fountain-Fort Carson School District 8 created an unnecessary situation in which Mathis would be subject to harassment when it barred him from using the girls' bathroom.
Steven Chavez, the division director for the Colorado Civil Rights Division, wrote in his decision, that prohibiting Coy and telling him "that she must disregard her identity while performing one of the most essential human functions constitutes severe and pervasive treatment, and creates an environment that is objectively and subjectively hostile, intimidating or offensive."
The decision marks the first ruling in the nation holding that transgender students must be allowed to use bathrooms that match the gender with which they identify, and the most comprehensive ruling ever supporting the rights of transgender people to access bathrooms without harassment or discrimination.
Mathis, who was born a male, began to express himself as a female at 18 months and was recognized as a girl at age 4 by his family. Once he enrolled in kindergarten, his parents, Kathryn and Jeremy Mathis, asked the school district to treat their child as a girl, and officials initially agreed, according to the ruling. Then in December 2012, the school district told the Mathises their first-grader would no longer be allowed to use the female bathrooms but gave him an option to use a staff or a gender-neutral restroom in the school's nurse's office. Shortly after, the Mathis family filed a complaint with the state's civil rights division.(...)
http://www.christianpost.com/news/6-year-old-transgender-student-wins-civil-rights-case-to-use-girls-bathroom-98693/
Rédigé par : SD-Vintage | 31 juillet 2013 à 21:04
.Compliqué; Désormais le livret de "famille" devra comporter un plan et un arbre généalogique à jour permettant de bien repérer la situation de chaque membre;Dans certains cas un gps sera indispensable "Vous êtes ici"
Rédigé par : senex | 31 juillet 2013 à 21:04
L'ENFANT OBJET, C'EST MAINTENANT !
LES ADULTES INSTABLES ET DERACINES, CE SERA POUR PLUS TARD....
"Puisqu'on vous dis qu’il est parfaitement épanoui ! Depuis 2 ans qu’il est né il n’a jamais posé le moindre problème !
Et puis dans 25 ans ou 40 ans, il gèrera ses problèmes tout seul comme un grand, hein bébé !"
Rédigé par : evelyne | 31 juillet 2013 à 21:52
"Il y a des couples qui bâtissent des projets et, finalement, tout bascule"...
Pinçons-nous bien, pour rester convaincus que nous sommes raisonnablement dépositaire de la raison, vous savez ce truc dispensateur de la supériorité qui a permis à Sapiens Sapiens de tout pulvériser autour de lui. Mais ceci est un autre problème.
Nous sommes dépositaires de la raison face à un univers de cinglés qui veulent que le monde et la réalité collent avec les chimères qu'ils ont élaborées. L'asile psychiatrique est dans la rue, impose des lois à un Parlement de malades mentaux et de paumés. Voilà la réalité de cette époque.
Deux lesbiennes se construisent une chimère dans laquelle elle font famille. Et leur bulle de savon explose contre le mur de la biologie...
Et l'on veut nous faire croire que ce délire n'aura pas de conséquence sur l'enfant pris en otage par ces deux irresponsables ? Et que feraient-elles d'un fils, elles qui ont un compte à régler avec la moitié masculine de l'humanité ? Elles vont lui donner des hormones pour qu'il se sente trans ?
Taubira, pauvre folle, ta loi, on n'en veut pas.
Rédigé par : Goupille | 31 juillet 2013 à 23:31
En plus quel mépris: D'abord l'on prend le jeune barman du coin mais ensuite l'on prend un homme plus mûr qui est déjà père...un père plus mûr qui lui sans doute n'aura pas les mêmes remords que le jeune barman, c'est à cela que l'on doit juger sa maturité!
Un géniteur sur étagère et en changeant de magasin, quand le premier le fait pas l'affaire, pour avoir un enfant sur mesure.
Dans quel monde vivons-nous?
Rédigé par : c | 01 août 2013 à 00:37
La "famille" des 2 lesbiennes (qui vont se "marier" prochainement), c'est donc un petit garçon fabriqué ad hoc par l'une il y a déjà quelques années , et une petite fille fabriquée de même par l'autre (et dont elle vient d'accoucher). La "famille" tuyau de poêle. Petit grain venant gripper cette belle mécanique : le géniteur 1 s'est voulu en père (le JAF de Nantes lui a donné raison, appliquant le droit commun, puisque l'enfant a été reconnu par son père naturel). Les lesbiennes ont confiance dans le géniteur 2. Souhaitons au contraire qu'il reconnaisse lui aussi son enfant ! Cela pourrait refroidir ces dames, si du moins elles optent pour un géniteur "traçable", et une IAA.
Rédigé par : milan | 01 août 2013 à 01:32
Très bien !
Après ce grand délire, c'est le retour sur terre.
Rédigé par : isabelle | 01 août 2013 à 05:40
Division, mensonge, séduction. C'est diabolique.
Rédigé par : Yvon | 01 août 2013 à 08:29
Si les deux femmes sont mariées, voilà donc un enfant avec trois parents !
C'est exactement la situation prévue par le Cardinal Barbarin il y a quelques mois. Et qui lui a valu beaucoup de critiques !
Gageons qu'il ne recevra pas beaucoup d'excuses !
Rédigé par : lama12 | 01 août 2013 à 08:54
Je vous signale 2 coquilles dans le 2ème paragraphe:
à qui l'on a tent menti => tant
relativsime => relativisme
[Merci. JL]
Rédigé par : Claire | 01 août 2013 à 10:52