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Les AFC saisissent le Conseil d’Etat pour garantir les droits de l’enfant

Communiqué de presse

"Le 18 mai 2013, la loi « Taubira » ouvrait le mariage et l’adoption aux couples composés de personnes de même sexe, en dépit de l'avis des experts – associations facilitant l'adoption, professionnels de l'accompagnement de l'adoption – qui ont à maintes reprises décrit les dommages prévisibles et manifesté leur opposition à ce sujet.

Les AFC rappellent que les enfants sont durement touchés par cette loi. Celle-ci les prive du droit fondamental d’avoir son père et sa mère. Elle ignore en conséquence le besoin affectif et éducatif de l’enfant, et surtout la nature même de celui-ci qui est de fonder son existence corporelle, spirituelle ou intellectuelle, dans l'amour même de ceux qui lui ont donné son corps. Ce fondement est à la base de toute sa construction.

Et dans un contexte déjà insoutenable de l'enfant privé de ses parents par la dureté de la vie, refuser à l'enfant la possibilité de vivre dans des conditions simplement vraisemblables, constitue une violence supplémentaire dont les dommages ne manqueront pas de se manifester progressivement.

Pour ces raisons, la CNAFC, mouvement national reconnu d’utilité publique, saisit le Conseil d’Etat d’un recours contre les textes d’application de la loi Taubira sur le « mariage pour tous ». Il s'agit notamment de dénoncer la violation de ce droit de tout enfant à être élevé par un père et par une mère, reconnu par l’ONU depuis 1948 et garanti notamment par la Convention des droits de l’enfant.

Après s’être mobilisées pendant de longs mois pour éclairer les conséquences concrètes de la loi, les AFC restent déterminées à préserver le rôle indispensable des parents – pères et mères – tel qu’énoncé par l’ONU. Elles utiliseront pour cela toutes les voies et moyens disponibles jusqu’à, si nécessaire, porter ce dossier devant le Comité des droits de l’enfant de l’ONU".

Commentaires

Fleur

Merci aux AFC de se démener pour protéger le droit des enfants !
Mais qui peut encore croire, sans une sérieuse dose de naïveté, à une quelconque objectivité du Conseil d'Etat, manifestement pantin de la FM, qui le manipule à sa guise ( notamment sur ordre des LBGT) ?

milan

Les homos "mariés" ne recherchent pas l'adoption extra-familiale, mais intra-familiale : enfant fabriqué ad hoc, artificiellement, à adopter par le "conjoint" (simple formalité). Les orphelins, même s'il y en avait à adopter pour les homos, cela les tente peu - des enfants qui ont pu avoir à l'origine un père et une mère, comme tout le monde, mais quelle horreur !

esprit libre

Si les AFC n'existaient pas, il faudrait les inventer...
Et vous, avez-vous adhéré ? Car la force du réseau et la force du travail dans la longue durée ne sont plus à démontrer.

Petior

C'est voué à l'échec tant àa sent l'amateurisme. Ils devraient relire les articles de cette convention et étudier son champs d'application.

Il n'y a pas de droit à être élevé par UN père et UNE mère mais bien un droit à être élevé par SES parents.

Catherine

Les observations de 'Petior" sont essentielles !! : des cerveaux malades sont en train de nous inventer les notions de "parent social", en gros, on est parents parce qu'on le veut bien ....

Même chose à mon sens avec le statut du "beau-parent" prévu à la base pour les enfants de couples divorcés : notion dangereuse au possible :
Exemple : mon mari me quitte, il a la garde de nos enfants...il vit avec ..un homme ou une femme qui va obtenir le statut de beau-parent, et moi petit à petit je risque de voir mon statut de mère se réduire comme peau de chagrin, tout simplement pcq que je n'ai pas la garde ou une garde partagée,
Etre parent va résulter de la seule volonté et va évoluer au gré des séparations, divorces, conflits, éloignements.


Etre parent ne va plus être un état mais un statut.

esprit libre

Extrait de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant :
"Article 7
1. L’enfant est enregistré aussitôt sa naissance et a dès celle-ci le droit à un nom, le droit d’acquérir une nationalité et, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux.
2. Les Etats parties veillent à mettre ces droits en oeuvre conformément à leur législation nationale et aux obligations que leur imposent les instruments internationaux applicables en la matière, en particulier dans les cas où faute de cela l’enfant se trouverait apatride.
Article 8
1. Les Etats parties s’engagent à respecter le droit de l’enfant de préserver son identité, y compris sa nationalité, son nom et ses relations familiales, tels qu’ils sont reconnus par la loi, sans ingérence illégale.
2. Si un enfant est illégalement privé des éléments constitutifs de son identité ou de certains d’entre eux, les Etats parties doivent lui accorder une assistance et une protection appropriées, pour que son identité soit rétablie aussi rapidement que possible.
Article 9
1. Les Etats parties veillent à ce que l’enfant ne soit pas séparé de ses parents contre leur gré, à moins que les autorités compétentes ne décident, sous réserve de révision judiciaire et conformément aux lois et procédures applicables, que cette séparation est nécessaire dans l’intérêt supérieur de l’enfant. Une décision en ce sens peut être nécessaire dans certains cas particuliers, par exemple lorsque les parents maltraitent ou négligent l’enfant, ou lorsqu’ils vivent séparément et qu’une décision doit être prise au sujet du lieu de résidence de l’enfant.
2. Dans tous les cas prévus au paragraphe 1 du présent article, toutes les parties intéressées doivent avoir la possibilité de participer aux délibérations et de faire connaître leurs vues.
3. Les Etats parties respectent le droit de l’enfant séparé de ses deux parents ou de l’un d’eux d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant."

comdab

Bravo ! On ne lâche rien !!!

peket7

Pour adhérer aux AFC, quelles sont les conditions ? Doit-on être parents d'enfants mineurs, ou cela est il possible pour chacun?

Sylvie

La loi Taubira va à l'encontre de ces principes édictés par la Convention des Droits de l'Enfant mais aussi vis-à-vis des autres traités garantissant à l'enfant le droit d'avoir un père et une mère et non deux pères ou deux mères.

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