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Hervé Guesquière condamné pour diffamation
Caroline Fourest s'invente une hydre catholique

Les affirmations de Mère Agnès-Mariam de la Croix, confirmées par d'autres sources

Pour le réseau Voltaire, le doute n'est plus permis : on nous refait le coup des armes de destruction massives d'Irak. L'article de Thierry Meyssan, disponible ici, confirme que les vidéos que le gouvernement français diffuse sur son site, en affirmant à toute l'Europe qu'elles sont authentiques, ont de fortes chances de n'être qu'un monstrueux mensonge.

C'est sur une base aussi fragile que Hollande veut engager le pays tout entier et la vie des soldats français. Allons-nous laisser, devant l'histoire, cet homme engager la France dans une aventure qui risque de finir dans un bain de sang?

Rappelons qu'il y a deux attitudes face au mal et au mal absolu qu'est la guerre : celle du pharisien et celle du Christ. La première consiste à s'enfermer dans sa pureté et à contempler, désolé et choqué, le péché des autres. On ne peut pas l'approcher de peur de souiller sa propre prétendue pureté. On rejette les possédés et autres dégénérés. La deuxième attitude reconnaît le mal et veut le sauver, elle ne s'en offusque pas, le saisit à pleines mains, quitte à se salir, à se souiller elle-même, et le soigne. C'est l'attitude du Christ, c'est celle de l'Église. Oser approcher le mal, et vouloir le réduire du mieux qu'on pourra même si pour cela il faut d'abord et longtemps vivre avec lui, le supporter, le voir tous les jours, l'affronter en face. Ces deux attitudes, nous les retrouvons aussi dans les deux façons de penser la guerre.

On peut la rejeter pour ce qu'elle est, un mal, et pratiquer un pacifisme intransigeant, irréaliste à la façon de Briand et Kellogg, qui avec leur pacte grandiloquent de 1928, mirent la guerre "hors la loi". Mais ce n'est pas travailler à la paix. La deuxième guerre mondiale le prouva. On peut, au contraire, considérer que la discorde et les dissensions, la violence et la haine, font partie de notre humanité déchue, et qu'il faut en tenir compte pour préserver l'essentiel. On cherche alors à penser la guerre, suivant qu'elle est ou n'est pas un péché, quand elle n'est qu'un moindre mal qui est moral ou quand elle est un acte de haine, de vengeance ou de désir d'hégémonie. On cherche à savoir si la guerre qu’on estime nécessaire est une guerre juste.

Il faut ici distinguer le jus in bello (le droit dans la guerre, qui recouvre tous les principes de bonne conduite dans la guerre, type Deutéronome ou convention de Genève) du jus ad bellum (le droit de faire la guerre, autrement dit dans quelles conditions il est permis de déclencher un conflit armé). Pour être juste, la guerre doit donc l'être dans sa fin (casus belli, jus ad bellum) et dans ses moyens (jus in bello).

Déclencher une guerre constitue un acte moral et l'Église a toujours affirmé que la guerre n'était pas toujours injuste.

Sans m'étendre sur les développements philosophiques et théologiques, car je vous engage à relire St Augustin et St Thomas d'Aquin, étudions le cas syrien selon les trois critères qui définissent une guerre juste.

Première Condition :

c'est à l'autorité, au prince d'engager la guerre (ou à tout gouvernement en charge du bien public). La guerre n'est pas du ressort de la personne privée. Elle se fait pour le bien public (juste cause) et doit être décidée par ceux qui en ont la charge. Ici, le président est dans sa fonction d'autant que la constitution lui donne le pouvoir de le faire pendant 4 mois sans en référer à la représentation nationale, le parlement. Sarkozy en a usé pour la guerre en Lybie, qui n'était ni juste, ni légitime. Hollande aussi, pour le Mali où, à mon sens, il assumait et essayait de réparer les erreurs du prédécesseur en Lybie. Cette condition préliminaire est remplie.

Deuxième Condition :

la juste cause (matière). Pour saint Augustin, la guerre juste « punit une injustice ». Saint Thomas va dans le même sens : « il est requis que l'on attaque l'ennemi en raison de quelque faute (illi qui impugantur propter aliquam culpam impugnationem mereuntur). » La guerre doit s’appuyer sur un droit moralement certain et avoir une juste cause, le dommage infligé par l’agresseur devant être durable, certain et grave ; il reprend ici l’idée de Cicéron selon lequel la République peut faire la guerre pour son salut. Il est donc des guerres justes, celles qui tendent à réprimer, de la part de l'adversaire, une entreprise coupable : Iniquitas partis adversae justa bella ingerit gerenda sapienti. Comment affirmer que la matière est juste, quand il s'agit d'intervenir au profit de milices islamiques, que les puissances occidentales (la France en tête) arment et financent, avec le Qatar et l'Arabie Saoudite ? Et que dans le même temps ces milices et leurs alliés se retrouvent combattues directement, par l'armée française en particulier, au Mali ou en Afghanistan.

Où est le bien commun, que selon Saint Thomas d'Aquin, la guerre juste doit viser à sauvegarder? Dans l’arrêt de l'usage d'armes de destruction massive, me direz-vous! Là enfin, il y a faute juridique, culpabilité morale qui justifient l’intervention ! Mais St Thomas ajoute que l'on doit donc combattre l'adversaire à raison d'une faute proportionnée qu'il ait réellement commise. Or où sont les preuves? Sont-elles irréfutables comme l'indiquent les commentaires non signés, (aucun des services de renseignements français n'est cité), des vidéos présentées sur le site du gouvernement français ; ou sont-elles discutables, voire grossièrement falsifiées comme l'affirment Mère Agnès-Mariam de la Croix et Thierry Meyssan?

Par ailleurs, saint Augustin insiste sur le fait que la guerre ne doit pas causer un mal supérieur au mal que l'on veut corriger par son entremise. Si le mal causé est supérieur au dommage subi, car la guerre engendre toujours du mal, alors la guerre n'a pas de juste cause et n'est donc pas juste. Que penser d'une guerre, dont nous savons qu'elle constitue pour la Russie, la Chine et l'Iran une ligne rouge? Risquer une troisième guerre mondiale pour renverser un tyran et "libérer" 20 millions de Syriens est-ce s'engager dans une guerre juste. N'y a-t-il pas d'autres moyens avant l'Ultima ratio Rege?

Troisième condition :

l'intention juste. Cette condition est évidente. Saint Thomas d'Aquin écrit : on doit se proposer de promouvoir le bien ou d'éviter le mal (vel ut bonum promoveatur, vel ut malum vitetur). La guerre ne doit pas être faite à des fins personnelles, mais en vue du bien commun. L'intention du prince doit être juste. La guerre doit donc être faite dans une intention droite, c’est-à-dire procurer un bien ou éviter un mal, tout en cherchant la paix sans faire durer la guerre d’une manière inutile. Le but légitime de la guerre n'est pas la victoire, mais la paix dans la justice, le rétablissement durable d'un ordre social respectant chacun. Autrement dit, on doit vouloir la paix et ne faire la guerre que par nécessité. Or le déclenchement de la guerre civile en Syrie après le refus d'Assad de voir passer un projet de gazoduc par son pays est troublant. L'influence grandissante des Frères musulmans, premiers bénéficiaires des "printemps libyen, tunisien, égyptien et peut-être syrien, si le régime tombe, n'est certainement pas un facteur garantissant la paix future en Syrie, en particulier pour les Chrétiens et les Alaouites.

Donc deux conditions ne sont pas réunies pour que cette guerre soit juste. 

On remarquera que ces conditions se retrouvent dans l'actuelle doctrine de l'Église catholique, qui s'inscrit donc bien dans la Tradition, comme le démontrent les articles 2302 à 2317 du Catéchisme de l'Église Catholique. (On les retrouve aussi aux articles 33 à 51 de la Charte des Nations unies…)

C'est ultérieurement que seront ajoutées les fameuses quatre conditions de la cause juste qui sont dans le Catéchisme et définissent les cas où la guerre constitue un moindre mal (elles sont parfois improprement appelées conditions de la guerre juste : il reste les deux autres conditions pour que la guerre soit juste). Les voici :

article 2309 Il faut considérer avec rigueur les strictes conditions d'une légitime défense par la force militaire. La gravité d'une telle décision la soumet à des conditions rigoureuses de légitimité morale. Il faut à la fois:

Que le dommage infligé par l'agresseur à la nation ou à la communauté des nations soit durable, grave et certain. (Ce n'est pas le cas en Syrie).

Que tous les autres moyens d'y mettre fin se soient révélés impraticables ou inefficaces.  (Ce n'est pas le cas en Syrie).

Que soient réunies les conditions sérieuses de succès. (Si la Russie, la Chine et l'Iran entre dans la danse nous pouvons sérieusement en douter).

Que l'emploi des armes n'entraîne pas des maux et des désordres plus graves que le mal à éliminer.  (Ce n'est pas le cas en Syrie).

Il est donc encore temps de peser sur nos dirigeants, à moins qu'ils nous prouvent réellement que l'usage d'agents chimiques est le fait du régime; qu'ils aient vraiment tout essayer pour arrêter cette guerre civile (en armant un des belligérants c'est difficile); qu'ils aient l'aval, au moins des Nations principalement concernées, puisqu'ils sont les premiers à affirmer qu'ils se passeront d'une autorisation de l'ONU!

Commentaires

Philippe Aucazou

Excellent rappel sur les principes de la guerre juste, qui met dos à dos les droitsdel'hommistes et les machiavéliens (et non machiavéliques, nuance)

eljojo

Ce post est très intéressant quant à son analyse de la légitimité de la guerre.

Les critères définis par Augustin, et précisés par Thomas d'Aquin décrivent en effet les conditions sous lesquelles il peut être justifié de faire la guerre.

Mais il ne faut pas perdre de vue que la guerre est en soi un mal à éviter à tout prix. Et que, au sens fort, nulle guerre n'est juste, ne serait-ce qu'à cause du nombre de victimes innocentes qu'elle impliquera nécessairement.

En fait, de manière plus générale, on touche ici une des limites de la transposition de la pensée antique au sein de la pensée chrétienne. En effet, les critères donnés ici sont en soi purement humains, et ils ne peuvent donc que conduire à une justice purement humaine.

Une approche authentiquement chrétienne de la question conduit à condamner le principe même de la guerre et à s'associer à la souffrance de tous ceux qui en sont victimes. L'artisan de paix des béatitudes est certes pacifique, mais il est aussi, dans une certaine mesure, pacifiste. Mais plus encore, il s'agit de dépasser le cadre certes utile de la justice pour entrer dans celui de la miséricorde, à la manière du Christ dont la miséricorde accomplit toute justice dans la rédemption.

Ainsi, autant il est nécessaire de réclamer que la guerre, si elle a lieu, soit juste, autant il est essentiel pour le chrétien de promouvoir une sortie par le haut, en vue de la réconciliation et de la paix.

eric62360

vous auriez pu vous passer de faire la promo de thierry Meyssan, du Réseau Voltaire (à ne pas confonde avec l'EXcellent Boulevard voltaire), pourfendeur en calomnies du Père Daniel-Ange en 1995. (je suis assez vieux pour bien m'en souvenir, avec dégoût et rancoeur contre le personnage)

http://archives.leforumcatholique.org/consulte/message.php?arch=1&num=40503

ce que ce sinistre individu aura à nous dire d'intéressant restera chez moi lettre morte: on ne peut pas faire confiance à un gars qui met sur trône le mensonge et la calomnie (outre l'affaire avec Daniel-Ange, ses élucubrations sur le 11 septembre sont à lire pour mieux cerner l'olibrius) pour tenter de combattre un autre mensonge, l'utilisation des armes chimique en Syrie par El Assad.

je me contenterai de porter toute ma confiance au témoignage de mère Agnès-Mariam de la Croix, infiniment plus digne de confiance et de respect.

alix

"La deuxième attitude reconnaît le mal et veut le sauver, elle ne s'en offusque pas, le saisit à pleines mains, quitte à se salir, à se souiller elle-même, et le soigne. C'est l'attitude du Christ, c'est celle de l'Église."

Sans revenir sur cette très hasardeuse notion de 'guerre juste' (ma très catholique mère défendait également cet oxymore du 'mensonge pieux'), je suis stupéfaite de l'image du Christ donnée par l'extrait ci-dessus. A quel moment l'a-t-on vu agir ainsi? Quand il a pris les armes pour expulser l'occupant romain? Quand il a exhorté ses apôtres, à Gethsémani, à se servir de l'épée pour le sauver? Jésus, parfait, sans péché, a donc consenti dans certaines circonstances à se 'salir, à se souiller'?
Que l'Eglise défende ce genre de position est une chose ; qu'elle prétende, ce faisant, s'appuyer sur l'enseignement et l'exemple du Christ est, pour le moins, un très 'pieux mensonge'!

lavallent

Quand un otage parle de sa foi : LA FOI

Cette expérience est remplie de Dieu. Pierre Piccinin [le compagnon de captivité de Domenico Quirico] est croyant. Je le suis aussi. Ma foi est très simple, c'est celle de mes prières d'enfant, des prêtres que je croisais alors, pédalant vers leurs petites paroisses chaussés comme des ouvriers, leur sacoche attachée à leur vélo. Ils allaient porter l'extrême onction, bénir les maisons, avec la foi de Bernanos, simple mais profonde. Ma foi, c'est de me donner, je ne crois pas que Dieu soit un supermarché, où on va demander à peu de frais la grâce, le pardon, un service. Avoir la foi m'a aidé à résister.

Notre histoire, c'est celle de deux chrétiens dans le monde de Mahomet et de la comparaison entre deux fois différentes : la mienne, simple, faite de don de soi et d'amour, et la leur, qui est faite de rituels. J'avais aussi avec moi un de mes carnets où j'écrivais chaque jour ce qui s'était passé. Je l'avais presque fini, il ne restait que deux pages. Le dernier jour, ils me l'ont pris. Il m'a surtout servi à tenir le compte des mois, des jours, parce que si on perd le sens du temps, on sombre dans un puits d'où on ne ressort pas.

http://www.lemonde.fr/a-la-une/article/2013/09/10/j-ai-rencontre-le-pays-du-mal_3473937_3208.html

Robert Marchenoir

Houlà. Un peu de discrimination sur les sources, je vous prie. La situation en Syrie est d'une confusion remarquable, mais de là à citer un imposteur comme Thierry Meyssan, pardon...

Thierry Meyssan est, d'après ce qui découle directement de ses propres déclarations à son propre site Web le Réseau Voltaire, un agent stipendié au service de la Syrie et de l'Iran.

Thierry Meyssan est l'homme qui a écrit un livre entier pour prétendre que les instigateurs du 11-Septembre sont ses victimes.

Thierry Meyssan est, dans l'hypothèse la plus indulgente, un fumiste dépourvu de toute crédibilité. Il est, plus probablement, un traître à sa patrie payé par l'islam terroriste et ennemi de l'Europe.

Il a lui-même affirmé, il y a quelques années, s'être "réfugié" à Damas. Puis à Beyrouth. C'est la France qu'il a fui ainsi. Vous connaissez beaucoup d'honnêtes gens qui fuient la France pour se "réfugier" en Syrie ?

Il a lui-même affirmé travailler pour la télévision iranienne et celle du Hezbollah. Son avis a exactement le même poids que celui de Bachar El-Assad, et même un peu moins : El-Assad peut affirmer être ouvert à la proposition soviétique de neutraliser ses armes chimiques (qu'il possède donc bien), et prétendre être cru.

Tant qu'à écouter la voix du gouvernement syrien, autant écouter directement celle de Bachar El-Assad.

Lois Spalwer


Bonjour,
Je reconnais que le lien aurait pu être mieux; mais quand on clic sur le lien souvre une page avec un titre  Rationalité occidentale, qui est lui même un lien. Apparait alors larticle auquel je fais référence qui est signé de Thierry Meyssan.

Votre remarque nest pas juste.
Bonne soirée
Loïs

Lois Spalwer


Bonjour Alix,
 
Merci de votre commentaire, javoue avoir rédigé ce post assez tardivement ; et après une longue journée de travail. Mea culpa. Ceci dit je vous remercie encore, car en me relisant je note avoir confondu plusieurs choses:

- 1ère erreur :
La deuxième attitude reconnaît le mal et veut le sauver; cette phrase confond le mal et lacteur du mal; or lEglise, à limage du Christ, condamne formellement et fermement toutes sortes de mal. Par contre, elle aime le pécheur, veut et cherche son bien et son salut. Par exemple, lhomosexuel na jamais été condamné par lEglise, létat dhomosexualité, les actes homosexuels, le fait de sy complaire ou de répandre cette façon de vivre sont condamnés par lEglise, et ce, avant le Christ, par tout lAncien Testament.

Quand je plaçais ici, dans mon texte, limage du Christ, jaurais dû développer avant cette idée. Désolé, le raccourci est effectivement choquant.
-2ème erreur : avoir impliqué lEglise sur un raccourci bancal.

Que lEglise défende ce genre de position est une chose ; quelle prétende, ce faisant, sappuyer sur lenseignement et lexemple du Christ est, pour le moins, un très pieux mensonge!

Dabord, ce que jécris je lécris en mon nom propre de Loïs. Je pense cependant être fidèle à lenseignement du Pape, mais je peux ou me tromper ou mal le comprendre. Si tel est le cas quon me dise et quon me le prouve!

Ensuite,  je réagis sur lexpression qui vous choque de guerre juste; Je ne peux que vous engager à relire St Augustin dabord et St Thomas ensuite, mais en replaçant leurs écrits dans leur époque.

En effet à la différence de certains, la réflexion de lEglise sur la guerre évite deux écueils:
- de croire lhomme totalement mauvais (Machiavel et dautres pour qui la guerre est un moyen comme un autre de pouvoir)

- de croire lhomme bon par nature ( Rousseau...) et donc de croire lhomme capable de ne plus jamais faire la guerre.
Or la ligne de fracture entre le Bien et le Mal passe au cœur de lhomme. et comme lécrivait Lacordaire: «Entre le fort et le faible, entre le riche et le pauvre, entre le maître et le serviteur, c’est la liberté qui opprime, et la loi qui affranchit. » 

Cest pourquoi lhistoire de lEurope (sous linfluence Rome, de chefs dEtat comme St Louis) est celle dun encadrement législatif, moral, politique des modes dactions de la guerre (chevalerie, trêve de Dieu, sacralisation de lieux comme les Eglises, etc)

Comme lEglise sait lhomme pécheur, elle sait que la guerre est aussi dans sa nature. Donc un certain nombre de conditions peuvent rendre une guerre juste et légitime. Cest lobjet du post.

Cordialement
Loïs
 

Jean Theis

Allons-nous laisser faire ? dit un internaute.

Mais que puis-je faire, à part avoir signé la pétition à Hollande et participé à une petite manif ?

Frégate

J'abonde dans le sens d'Éric, vous auriez pu vous passer de faire la promo de Thierry Meyssan, du Réseau Voltaire.

Cet ignoble personnage peut suffire pour dé-crédibiliser une cause. Il défend une thèse très révisioniste sur l'attentat du 11 septembre.

C'est avant tout cela un ennemi farouche de l'Église.

Lois Spalwer


Bonsoir Jean,
Mais vous pouvez prier!
Qui disait que Priez cest se lier les mains et délier celles de Dieu. ?
Et puis demandez lui ce quil attend de vous vous aurez une réponse. Cest certain.

Loïs

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