Avortement : le Conseil constitutionnel rejette le recours de l'UMP
31 juillet 2014
Le Conseil constitutionnel a validé jeudi la loi sur l'égalité femmes-hommes et tout particulièrement l'assouplissement de la loi relative à l'avortement.
La haute juridiction avait été saisie par le groupe UMP du Sénat qui estimait que plusieurs mesures étaient contraires à la Constitution.
La loi du 17 janvier 1975, qui a légalisé le crime de l'enfant dans le sein de sa mère, disposait notamment qu'une femme pouvait demander l'avortement lorsque son état la plaçait dans "une situation de détresse". La loi sur la parité supprime la "situation de détresse". Désormais pourra demander cette interruption la femme "qui ne veut pas poursuivre une grossesse", avec droit de vie ou de mort sur l'enfant.
"Le Conseil constitutionnel a relevé que les dispositions existantes réservent à la femme enceinte le soin d'apprécier seule si elle se trouve dans une situation de détresse. La modification de leur rédaction pour prévoir que la femme enceinte qui ne veut pas poursuivre une grossesse peut en demander l'interruption à un médecin ne méconnaît aucune exigence constitutionnelle. L'article 24 de la loi déférée est conforme à la Constitution."
Jamais le Conseil constitutionnel ne s'est opposé à la culture de mort...
Cela montre la vacuité de notre Constitution et le peu de morale du Conseil constitutionnel !
Rédigé par : Avoc | 31 juillet 2014 à 18:13
Il se confirme que Jean-Louis Debré est un minus habens...
Même au CC, il poursuit son Oedipe ! Ah, la mort du père...
Rédigé par : Nabulione | 31 juillet 2014 à 18:48
Que le conseil constitutionnel soit une entité mortifère, nous le savons depuis longtemps.
Le temps s'approche où nous allons avoir à recréer des institutions conformes à la culture de vie et à la seule France qui soit, pas à cette putain républicaine dont on nous rebat les oreilles et qui porte l'infamie en son sein.
Tous ces machins vérolés seront effacés de nos mémoires comme ceux qui les constituent.
On ne peut décemment reconnaitre ces œuvres de mort et je voue aux gémonies les institutions actuelles sans aucun remord.
Je ne me reconnais en aucun cas en elles.
Rédigé par : hamond | 31 juillet 2014 à 19:08
La République est putride et pourrie depuis longtemps. Mais, en ces temps, elle atteint le summum de l'ignominie.
Rédigé par : aziliz | 31 juillet 2014 à 20:50
le C.C c'est que l'UMPS!
Je ne suis donc pas surpris
Rédigé par : claude | 31 juillet 2014 à 20:57
CESE, CSA, Conseil d’État, Haut conseil machin, Conseil Constitutionnel etc.
Bref des Conseils "théodules" peuplés de bons à rien malfaisants et qui vivent grassement de leur inutilité constitutionnelle
C'est tout à dissoudre d'urgence !
Rédigé par : DUPORT | 31 juillet 2014 à 22:12
Tous ces bidules sentent de plus en plus le cadavre en décomposition.
De la France républicaine émane aujourd'hui une odeur putride qui se répand partout et qu'il sera difficile de faire passer pour un doux parfum !
Rédigé par : bouvines | 01 août 2014 à 03:03
J'ai connu l'époque où, au sein des entreprises, on pouvait trouver les enfants des copains des copains des copains...quand leurs parents ne savaient pas trop quoi en faire.
Heureusement, cela ne durait pas trop longtemps.
Aujourd'hui, ce phénomène se retrouve en politique où on peut trouver, à des niveaux, parfois, élevés, des amoindris du cerveau, dont le Q.I est, souvent, proche de celui du ténia.
Ce sont ces gens qui prennent des décisions.
Et, eux, nous les avons pour longtemps.
Rédigé par : Elégant | 01 août 2014 à 07:34
Nous avons maintenant la preuve (malheureusement) qu'il y a 40 ans, nous avons été trompés.
On s'en doutait bien, puisque la loi Veil n'a jamais été appliquée (sinon il n'y aurait pas 200 000 avortements par an).
Rédigé par : lama12 | 01 août 2014 à 08:48
Le conseil constitutionnel a raison. Ce n'est pas la notion de situation de détresse qui pourrait être opposée à la constitution. C'est l'autorisation de l'avortement lui-même. Mais ça, c'est une autre histoire...
Rédigé par : n | 01 août 2014 à 11:03