Toussaint : la première homélie du Père Zanotti-Sorkine à Notre-Dame du Laus
07 novembre 2014
"Les vrais saints se sont usés à la tâche! C'est ça la vérité!"
"Les vrais saints se sont usés à la tâche! C'est ça la vérité!"
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Pourquoi applaudir au lieu de se recueillir après cette belle homélie ? J'y étais et j'ai trouvé cela dommage.
Rédigé par : Hilda | 07 novembre 2014 à 22:56
j'eusse voulu y être et peut-être eûssè-je aussi applaudi
Rédigé par : bebert | 08 novembre 2014 à 07:56
Je pense qu'il est dangereux d'exposer - ou de laisser s'exposer - médiatiquement nos curés de paroisse.
Ne sont-ce pas plutôt les évêques qui ont les grâces d'état pour cela ?
Rédigé par : Ludo | 08 novembre 2014 à 10:11
La question des applaudissement se pose, elle choque parfois si on se croit au spectacle, à regarder passif...L'applaudissement est le mode moderne pour dire merci exprimer sa liesse, est-ce de trop dans une messe ?
En fin de messe cela se conçoit parfois, en fin d'homélie je ne sais...
Maman disait "Applaudir non comme on félicite mais comme l'on se réjouit..." peut-être...
En plein deuil de papa je trouve ce sermon revigorant en tout cas et je remercie la technologie qui me permet d'y avoir eu accès et de le transmettre en ces heures de Toussaint à tous mes proches grâce à un lien mail....Avantage de ce que d'autres appelleraient inconvénient?
Autrefois on disait peut importe le flacon pourvu qu'on est l'ivresse, je dirai peut importe la médiatisation si elle touche les âmes qui n'ont pas accès au Christ autrement.Non?
Rédigé par : logorrhée | 08 novembre 2014 à 15:26
Excellente chose que des prêtres aient une audience très large et que leur parole se répande.
Rédigé par : p.r. | 08 novembre 2014 à 19:40
Une chance que l'homélie soit retransmise pour tous ceux qui ne pouvaient être présents. C'est une bouffée de spiritualité et d'air qui aide à vivre . Merci !
Rédigé par : carrion Danièle | 09 novembre 2014 à 00:10
Lumineux! Merci pour cette magnifique homélie!
Rédigé par : MHG | 09 novembre 2014 à 01:29
Oups, pardon à Alfred de Muset: "Qu'importe le flacon, pourvu qu'on AIT l'ivresse." et "PEU importe"...
Remarquez que quand on "est" l'ivresse c'est qu'on est possédé tout entier par elle, alcool dans le sang, ivresse amoureuse, s'il pouvait en être ainsi par et pour le Seigneur, ma confusion serait un bon lapsus orthographique :-)
Rédigé par : logorrhée | 09 novembre 2014 à 08:12