Versailles : Les conseillers municipaux PS diffament les conseillers municipaux de VFA
04 novembre 2014
Communiqué de Versailles Famille Avenir, qui compte 2 élus au conseil municipal de Versailles :
"Parce que les conseillers municipaux de Versailles Familles Avenir veulent protéger les enfants dans les écoles contre l’idéologie du genre, ils sont traités d’« homophobes » par Mme This Saint-Jean, ancienne collaboratrice de Vincent Peillon et conseillère municipale de Versailles, et ses colistiers dans leur Tribune du journal Versailles. Ils les accusent d’avoir souhaité le recrutement des animateurs des activités périscolaires en fonction de leur « orientation sexuelle ».
Après consultation des avocats de VFA, ces propos totalement mensongers et inacceptables vont faire l’objet d’une plainte pour diffamation auprès du procureur de la République de Versailles. Suite à l’intervention d’un prostitué travesti militant, auteur de livres controversés et de textes poétiques d’un goût très douteux dans une école publique de Versailles, le groupe Versailles Familles Avenir a souhaité attirer l’attention du maire sur le devoir qui lui incombe, en tant que premier magistrat de sa commune, d’être le garant de l’ordre public et de veiller à ce que ne se renouvelle pas dans l’avenir ce type d’intervention, aussi bien dans les temps scolaires que périscolaires. Dans un souci de précaution, les élus de VFA ont interrogé le maire sur le recrutement des intervenants périscolaires de la Ville, soumis à un strict devoir de neutralité de l’école. Ainsi, le Conseil d’État (Conseil d’État, 15 octobre 2014, CNAFC, no 369965) a récemment rappelé le devoir de neutralité dans l’enceinte de l’école de la République et a annulé la décision de M. Vincent Peillon ministre de soutenir la ligne Azur.
Les élus de VFA s’insurgent contre les méthodes du groupe socialiste et divers gauche qui ne trompent plus personne aujourd’hui mais portent atteinte, au prétexte d’« homophobie », au débat public et à la liberté d’expression. Ils réaffirment leur attachement à la priorité que constitue pour eux le principe non négociable de protection des enfants qui interdit toute activité militante, tout prosélytisme, qu’il soit politique, religieux, ou idéologique dans l’enceinte de l’école. Ceci constitue un communiqué de presse et un droit de réponse conformément à la législation en vigueur."