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Les véritables ennemis de Charlie Hebdo
C’est arrivé un 24 février…

Un jour, un texte ! Conseils de lecture pour poursuivre la réflexion

« La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. » Georges Bernanos, La France contre les robots.

Notre premier ministre a déclaré que la France est en guerre. Mais l'ennemi est chez nous, au sein même de la population française. Il ne s'agit plus d'envoyer des professionnels, formés et aguerris combattre loin de nos terres, mais de se battre contre un ennemi sournois et impitoyable, qui use pour ses attaques de toutes nos libertés et des droits des citoyens français. Avant de faire une telle déclaration, encore eût-il fallu cultiver au sein du peuple français les valeurs qui font la force morale des nations. Cette nouvelle rubrique sur la guerre a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, elle est un peu modifiée pour montrer : les Français dans la guerre,

Conseils de lecture pour poursuivre la réflexion

« Catéchisme de la Patrie », par le colonel REMY (Ed. Confrérie Castille)

A la question : « Pour qui ou pour quoi meurt-on ? », le soldat répond : « pour la Patrie ! ». Et même si l'Europe, éternel serpent de mer, manifeste sporadiquement des velléités d'existence, on est encore très loin d'un patriotisme européen qui effacerait les préférences nationales. C'est donc toujours pour la France que se bat et, s'il le faut, que meurt le soldat. Car « la référence ultime et permanente du « soldat » reste le service de la France, de son rayonnement et de son honneur ».

Encore faut-il savoir ce qu'est la France, ce qu'est la Patrie française. C'est à un grand, un très grand Français que nous laissons le soin de le définir. « Notre REMY, a déclaré le Général de Gaulle, fut des premiers parce qu'il est des meilleurs. Et c'est pourquoi, après tout ce qu'il a fait – qui est si grand ! – il sait qu'il reste tant à faire ».

Le Colonel REMY, illustre figure de la Résistance, héros mondialement connu, fondateur du réseau « Confrérie Notre-Dame » qui fournit des renseignements essentiels aux Alliés, a regroupé dans « Catéchisme de la Patrie » tout ce qu'il faut savoir sur ce thème.

La France a fêté, en 1996, son quinzième centenaire et un timbre officiel a même commémoré cet anniversaire. Ces quinze siècles d'existence, une certaine idéologie voudrait les réduire à deux et faire naître notre communauté nationale en 1789. C'est donc sur notre « vieux Pays », pour paraphraser Donald RUMSFELD, que se penche le Colonel REMY. De Clovis à Louis XVI, de la Révolution à la Vème République, en passant par la Restauration, les deux Empires, la Commune, les quatre Républiques et les différents conflits et occupations qui les accompagnent, ce grand Français nous fait découvrir la France, son âme et sa vocation. Il nous donne les vraies raisons de vivre et de mourir pour Elle.

A l'issue de cette lecture, on sait ce que signifie être Français, quels sont les devoirs liés à ce nom, quel est l'héritage qu'il implique et dont nous pouvons légitimement être fiers. Ce petit livre nous invite à aimer notre Patrie, à en être dignes, sans tomber pour autant dans un nationalisme agressif ou excessif mais sans renier non plus l'amour naturel que nous lui devons.

Bref, la réponse aux questions : « Pourquoi meurt-on ? », « pourquoi se bat-on ? » est dans cet ouvrage bien écrit, facile à lire et passionnant.

« Verdun », par Georges BLOND (Collection Poche)

Récit de la bataille de Verdun de février à décembre 1916 à travers la description de différents tableaux.

Rappel : la prise de Verdun par les Allemands aurait permis à ces derniers d'atteindre Paris en quelques jours. L'issue de la guerre aurait été alors rapidement scellée. Aussi le verrou de Verdun constituait-il un enjeu capital.

Les principaux aspects abordés sont :

  • Les combats (en particulier ceux des premiers jours) avec toute leur brutalité et leur violence, mais aussi avec leurs lots de hauts faits comme la résistance du fort de Vaux ou le panache de certains officiers sur le front (lcl DRIANT).
  • Les conditions de vie (plutôt de survie) des poilus.
  • Le rôle du commandement en général (du GQG de Joffre au chef de section dans sa tranchée) et de Pétain en particulier.

L'intérêt de l'ouvrage réside dans cinq principaux points

  • L'auteur souligne les qualités, voire l'héroïsme des poilus. Cet « héroïsme », collectif ou individuel, délibérément consenti ou « forcé » n'était pas le fait de quelques êtres d'exception, mais au contraire partagé par un nombre de soldats loin d'être insignifiant. A cet égard, il convient de mettre en parallèle certaines lettres de poilus telles qu'on peut les lire dans l'ouvrage de Benoît-Méchin (« Ce qui demeure », Albin Michel) : le patriotisme n'est pas un concept vide de sens mais un sentiment qui se traduisait par l'acceptation du sacrifice au profit d'une terre dont on s'estimait redevable et dépositaire.
  • Réalisme des descriptions (conditions de vie dans les tranchées et combats). G. BLOND insiste longuement sur la violence, la brutalité et l'âpreté du combat. A noter que jamais, au cours de l'histoire, les monarchies ne s'étaient laissées entraîner à de semblables massacres (environ 350 000 morts de part et d'autre, et un million d'estropiés à vie). Il s'agit d'une des caractéristiques des guerres modernes menées par nos démocraties.
  • Le rôle déterminant du Général Pétain, principal artisan de la victoire, est parfaitement mis en lumière (Voie sacrée, utilisation de l'artillerie et de l'aviation, grand sens tactique, souci des hommes). Il est intéressant de constater qu'à l'époque il passait, aux yeux des politiques et des généraux partisans de l'offensive à outrance, pour un officier trop prudent (voire timoré) à cause de son souci d'épargner la vie des hommes.
  • Rôle des politiques qui interviennent dans le cours de la guerre, pas toujours à bon escient…
  • Opposition entre la rigueur de l'organisation allemande et l'impréparation des lignes de défense françaises mal fortifiées et dépourvues d'artillerie lourde (exemple de la prise du fort de Douaumont) compensées par l'initiative des chefs et la débrouillardise des cadres de contact.

A la lecture de cet ouvrage, le lecteur se sent redevable envers tous ces soldats de Verdun qui sont tombés ou qui ont souffert pour la défense de la France. A l'inverse, on ne peut que déplorer le silence coupable de l'Etat qui laisse dans l'oubli l'action des poilus, plus grande et plus grave illustration du patriotisme tel qu'il devrait être mis en valeur et promu. Le moindre des devoirs serait de rendre hommage à ces hommes, mais la gratitude ne fait pas partie des caractéristiques de notre époque.

Enfin, on peut se poser la question de savoir comment aujourd'hui, dans semblable situation, nous réagirions. Autrement dit, l'aveu du général VON KLÜCK expliquant sa défaite de la Marne est-il toujours valable ? « Que des hommes ayant reculé depuis des jours, que des hommes couchés par terre et à demi morts de fatigue puissent reprendre le fusil et attaquer au son du clairon, c'est une chose avec laquelle nous n'avons jamais appris à compter, c'est une impossibilité dont il n'a jamais été question dans nos écoles de guerre. »

« Le fil de l'épée », par le général Charles De Gaulle (1932)

L'auteur s'attache dans ce livre à définir les valeurs qui, selon lui, sont indispensables au militaire, ainsi que les rapports de celui-ci avec la société au sein de laquelle il évolue. Ce livre a été écrit après la première guerre mondiale, au moment où beaucoup de militaires se posaient des questions sur l'essence même de leur vocation et de leur métier. Un peu victimes du paradoxe entre l'activité incomprise par le citoyen et la puissance latente que constitue une armée, les soldats du temps de paix s'interrogent sur le bien-fondé de leur métier et sur la mission qui leur incombe.

L'auteur développe, à sa manière, quelques notions de référence sur le métier des armes et ceux qui l'exercent. Ce livre est assez succinct et se lit facilement. Tout n'est pas bon à prendre, mais il y a d'intéressants développements, ainsi que des idées d'excellente facture.

Le style est parfois pompeux. Le livre ne constitue cependant pas un référentiel, mais présente l'intérêt de s'appliquer relativement bien aux problèmes militaires tels qu'ils se posent aujourd'hui.

A l'avant-propos succèdent 5 chapitres : 1) De l'action de guerre – 2) Du caractère – 3) Du prestige – 4) De la doctrine – 5) Le politique et le soldat.

Dans l'avant-propos, De Gaulle assure le lecteur de la pérennité de la guerre, et donc de l'utilité indéniable du militaire. « Quelque direction que prenne le monde, il ne se passera pas des armes. » Il loue en particulier dans l'esprit militaire « l'abnégation des individus au profit de l'ensemble, cette souffrance glorifiée – dont on fait les troupes – répondant par excellence à nos concepts esthétiques et moraux. » Il conclut cet avant-propos ainsi : « Si donc ceux qui manient la force française venaient à se décourager, il n'y aurait pas seulement péril pour la patrie, mais bien rupture de l'harmonie générale. Il est temps que l'élite militaire reprenne conscience de son rôle prééminent, qu'elle se concentre sur son objet qui est tout simplement la guerre. »

De l'action de la guerre. De Gaulle décrit là les rapports entre la pensée, la réflexion et l'action, l'action guerrière principalement. Sur la base de nombreux exemples historiques, il dissèque l'intelligence de situation qu'ont manifesté les grands chefs, et comment cela s'est traduit au moment de la prise de décision : pour l'un c'est l'étude de l'ennemi, pour l'autre du terrain, pour le troisième de ses propres forces, pour le quatrième c'est le sens de l'organisation. Il prétend que l'intelligence doit être complétée par l'instinct. Le concept doit ensuite aider le chef à agir avec méthode, et donc à donner des ordres : «On demandait au maréchal Pétain ce qui lui paraissait, dans l'action, réclamer le plus grand effort : « C'est d'ordonner ! » répondait-il. » Le pendant de l'ordre, c'est la discipline : « En vertu de la discipline, une sorte de contrat est passé entre le chef et les subordonnés. » L'action de guerre découle de l'intelligence, de l'instinct et de l'autorité du chef. D'où il insiste sur le recrutement des chefs dont la qualité est incontestablement plus aléatoire dans une armée de temps de paix. « Dans ces jours de doute, il ne faut pas que se rompe la chaîne de la force militaire française, ni que fléchissent la valeur et l'ardeur de ceux qui doivent commander. »

Du caractère. Après un rapide parcours de l'histoire militaire, De Gaulle nous présente son idée : « Il faut qu'une vertu offre à l'ordre militaire un idéal rajeuni, lui confère, par l'élite, l'unité des tendances, provoque l'ardeur et féconde le talent. Le caractère sera le ferment, le caractère, vertu des temps difficiles. » Il conçoit bien que trop de caractère peut être nuisible, mais ce n'est rien par rapport au gain d'efficacité que procure « ce recours unanime au Caractère quand l'événement l'impose. » En conclusion, l'auteur assure : « A la rude école du Caractère, l'ordre militaire peut recouvrer sa foi et sa fierté. »

Du prestige. Ce chapitre part du constat suivant : « Notre temps est dur pour l'autorité. » Suit un long panégyrique sur l'autorité fondement de l'ordre moral, social et politique. L'auteur déplore malheureusement l'érosion de la notion de l'autorité dans nos nations dites évoluées. Cela ne manque pas d'affecter la discipline militaire. « L'homme qui commande doit se fier pour être suivi moins à son élévation qu'à sa valeur. » D'où il ressort, selon De Gaulle, que « le prestige personnel du chef devient le ressort du commandement. » Le prestige a un rôle irrationnel et inné, « le prestige dépend d'un don élémentaire, d'une aptitude naturelle qui échappent à l'analyse. »

Ceci étant, il y a également une part d'acquisition de connaissances et de formation nécessaires pour développer harmonieusement le prestige intrinsèque que d'aucun peut posséder dès sa naissance. Suit un certain nombre de recommandations : observer les âmes, avoir le sens de la surprise, posséder la réserve des gestes et des mots, cultiver la sobriété du discours, toute qualité qu'on retrouve chez Condé, Hoche, Bonaparte. « Dominer les événements, y imprimer une marque, en assumer les conséquences, c'est bien là ce qu'avant tout on attend du chef. L'élévation d'un homme au-dessus des autres ne se justifie que s'il apporte à la tâche commune l'impulsion et la garantie du caractère. » Le prestige du chef est ressenti par les hommes, et l'action collective qu'il en attend est bien comprise car elle tendra naturellement à quelque chose de grand. « Ce que le chef ordonne doit revêtir le caractère de l'élévation. Il lui faut viser haut, voir grand, juger large. » Toutefois, De Gaulle laisse percer, à ce stade, un certain cynisme : « L'homme d'action ne se conçoit guère sans une forte dose d'égoïsme, d'orgueil, de dureté, de ruse. »

Après avoir décortiqué les bases de l'autorité individuelle, il aborde celles de l'armée en tant que corps constitué. « Pour ressaisir son prestige, l'armée a moins besoin de lois, de réclamations, de prières, que d'un vaste effort intérieur… L'armée doit recouvrer cette force intime dont l'éclat force la déférence : il s'agit d'esprit militaire. » L'auteur tente ensuite de définir cet esprit militaire : « Cette destination de misère, cette vocation de sacrifices, depuis que le monde est monde l'armée en procède, y trouve sa raison d'être, en tire sa délectation… Mais, comment vivre dans un domaine séparé, poursuivre un idéal d'exception, sans un ordre propre des sentiments, un tour particulier de la pensée, un code spécial des valeurs et des rapports ? La force des armes ne se conçoit pas sans un esprit à part qui l'organise et la vivifie. » A l'appui de cette idée, on trouve un long développement sur le rapport des hommes à la guerre, ainsi qu'un « parcours historique ». Il conclut ainsi : « Point de doute que la servitude militaire ne paraisse avant peu plus grande que jamais, et que l'on trouve fort beau le dévouement de gens qui, par hasard, ne comptent ni ce qu'ils donnent ni ce qui leur est donné. »

De la doctrine. Dans ce chapitre, De Gaulle articule son raisonnement autour de l'idée suivante : « Apprécier les circonstances dans chaque cas particulier, tel est donc le rôle essentiel du chef. » De Gaulle fustige ensuite, au gré des enseignements des conflits passés, les théories abstraites qui ne tiennent pas compte de l'ennemi, du terrain, des moyens, de l'organisation. Il en est de même de l'inverse. L'armée française doit puiser dans l'ordre classique, en écartant toute attirance de l'abstrait et du dogmatisme, « ce goût du concret, ce don de la mesure, ce sens des réalités qui éclairent l'audace, inspirent la manœuvre et fécondent l'action. »

La politique et le soldat. Ce chapitre a pour objet d'examiner les rapports qui s'établissent entre le politique et le soldat. Il souligne la complémentarité entre les deux mais également les incompréhensions réciproques. « Les problèmes d'ordre militaire indisposent l'homme au pouvoir… Pour le soldat, en revanche, la puissance des armes revêt un caractère essentiel comme sacré. Tel est l'effet d'une vocation dont l'idéal est le sacrifice et qui, en exaltant le culte de la patrie, rend ce culte intransigeant. » Le mot de la fin prône une compréhension mutuelle en vue du bien public : « Il n'y a pas dans les armes de carrière illustre qui n'ait servi une vaste politique, ni de grande gloire d'homme d'Etat que n'ait dorée l'éclat de la défense nationale. »

« Patrie française et principes chrétiens » - (par l'Association Universelle des Amis de Jeanne d'ARC) aux Nouvelles Editions Latines

Un rappel, à travers huit discours et conférences, des principes éternels qui ont fait la France

« Les Oberlé » par René BAZIN

Très beau roman du patriotisme français dans la Lorraine occupée après 1870.

« Hélie de Saint-Marc » - par Laurent BECCARIA aux Ed. LIBRAIRIE ACADEMIQUE PERRIN

Portrait d'un officier qui sacrifia tout à l'honneur.

« Mon pays, la France » - par Bachaga Boualam Ed. France Empire

Poignant récit du drame des harkis, vécu par l'auteur dans sa chair et dans son cœur.

« Le Général de Sonis » -par Francine DESSAIGNE aux Nouvelles Editions Latines.

« Le Général de SONIS, c'est l'honneur », disaient de lui ses pairs.

« L'honneur de commander » -par le Général (CR) CALLET aux Ed. LAVAUZELLE

A travers exemples et réflexions, une vie placée sous le signe du commandement des hommes, de la Légion à la 2ème D.B.

Général (CR) Bertrand DUPONT de DINECHIN

« Algérie, guerre et paix » - N.E.L.

Comment gagner face à la guerre révolutionnaire. Excellente analyse à partir de la guerre d'Algérie.

« Castelnau ou l'art de commander » - par le Général (CR) Yves GRAS auxEd. DENOËL

La magnifique figure du seul général commandant l'Armée qui, pour des raisons politico-religieuses, n'eut pas l'honneur du maréchalat après la Grande Guerre.

« Un officier français, Gérard de Cathelineau » - par Michel GASNIE Nouvelles Editions Latines.

Un modèle d'officier, digne descendant du héros vendéen.

« Au Lieutenant des Taglaïts » - par Philippe HEDUY aux Ed . LA TABLE RONDE

Très beau témoignage d'un officier appelé sur la guerre d'Algérie.

« Honoré d'Estienne d'Orves pionnier de la Résistance » - par Rose et Philippe HONORE d'ESTIENNE d'ORVES aux Ed. FRANCE-EMPIRE

Lettres et documents du héros publiés par ses enfants.

« Les Manants du Roi » Jean de LA VARENDE

Recueil de nouvelles d'honneur et de fidélité à travers l'histoire d'une famille de hobereaux normands de l'Ancien régime à nos jours.

« Le rôle social de l'officier » - par le Maréchal LYAUTEY auxEd. X DE BARTILLAT

Un classique…

« Le drame des harkis –par Abd El Aziz MELIANI aux Ed. PERRIN

Le titre se suffit, écrit par un St-Cyrien.

« Notes de Guerre » -par Général de MONSABERT aux Ed. Jean CURUTCHET

Au jour le jour, les réflexions d'un chef, d'un Français et d'un chrétien. L'Armée d'Afrique, de l'Italie à Rhin et Danube.

« Honoré d'Estienne d'Orves, un héros français » -par Etienne de MONTETY aux Ed. PERRIN

L'histoire d'une pure figure de la Résistance.

« Le pouvoir militaire en France » - par Pierre ORDIONI aux Ed. ALBATROS

Tome 1 – De Jeanne d'Arc à Bazaine

Tome 2 – De la Commune de Paris à Charles de Gaulle.

Une étude passionnante sur les rapports entre « l'ordre militaire » et le pouvoir politique, de Charles VII à Charles de Gaulle.

Œuvres Poétiques de Charles PEGUY

* « Le mystère de la vocation de Jeanne d'Arc »

Très beaux vers sur le chef de guerre.

* « Le porche du mystère de la deuxième vertu »

Très beaux vers sur les Français.

« Un soldat dans la tourmente » - par Guy RAÏSSAC aux Ed. ALBIN MICHEL

Un portrait fidèle et objectif du général Weygand.

« Lieutenant Tom MOREL » -par André RAVIER aux Ed. LE SARMENT / FAYARD

La vie exemplaire du héros des Glières.

« Catéchisme de la Patrie » - par le Colonel REMY Ed. CONFRERIE CASTILLE

Le chef légendaire du réseau de résistance « Confrérie Notre Dame » nous parle de la Patrie. Excellent livre.

« Commandant Rebelle, Algérie 1958 de l'obéissance à la révolte » - par Georges ROBIN

Aux Ed. J.C. LATTES

Une fidélité n'a de valeur qu'en vertu de ce à quoi elle est fidèle. Un beau livre d'honneur et de fidélité.

« Les champs de braise » - par Hélie de SAINT-MARC aux Ed. PERRIN

Mémoires d'un officier célèbre, devenu le symbole d'une génération de « soldats perdus », qui ont effectivement tout perdu… Fors l'honneur.

 Aventures et missionnaires de la plus grande France »

* « L'Amérique française »

* « L'Afrique française »

* « L'Asie française »

Une série par Henri SERVIEN aux - Ed. ELOR

« Petite Histoire des Colonies et missions françaises » - Ed. de CHIRE

A travers ces quatre titres, c'est toute l'épopée coloniale de la France qui revit.

« Portrait d'un officier » -par Pierre Henri SIMON LIVRE DE POCHE N° 3160

« Pas facile de vivre Corneille au siècle de Kafka », les débats intérieurs d'un jeune officier appelé en Algérie.

« Les deux Patries » - par Jean de VIGUERIE Aux Ed. DOMINIQUE MARTIN MORIN

Depuis 1789, il existe officiellement deux Patries en France, celle des droits de l'homme et celle de la terre des pères. Histoire de l'absorption de l'une par l'autre.

« L'Affaire des fiches » - par François VINDE aux EDITIONS UNIVERSITAIRES

Une page d'histoire à ne pas oublier : comment la Franc-maçonnerie épura l'Armée au début du XXème siècle.

« Weygand mon père » -par Jacques WEYGAND aux Ed. FLAMMARION

Un grand soldat vu par son fils.

Commentaires

margaux

Merci beaucoup ! Merci pour vos rubriques si riches que je lis toujours avec intérêt et plaisir ! Que de lectures que tous les enfants de France devraient lire à l'école, au lycée... Merci de combler ces manques !

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