Réfléchir avant de tuer son enfant est un "calvaire"
31 mars 2015
Le Monde dit avoir recueilli de nombreux témoignages de femmes qui ont éprouvé de la culpabilité pendant le délai de réflexion de sept jours prévu entre les deux rendez-vous médicaux préalables à un avortement. Délai que la majorité parlementaire souhaite supprimer par le biais du projet de loi Santé, discuté dès aujourd'hui à l'Assemblée. L'article du Monde s'achève sur quelques mots de deux femmes heureuses d'avoir changé d'avis et gardé leur enfant. Une ligne, pour deux vies épargnées.