La Grèce, ils s'en foutent. C'est le soldat Euro qu'ils veulent sauver...
29 juin 2015
Déclaration de Nicolas Sarkozy, qui a comme point commun avec Jean-Claude Junker le fait de ne pas aimer le recours au référendum :
"La question n’est plus comment sauver la Grèce mais comment sauver la zone euro. L’Europe se trouve face à un gouvernement qui a menti, et si l’Europe se retrouve en situation de céder, ce sera la crédibilité de tout l’édifice européen qui sera en cause (…) Que l'Europe, l'euro donnent le sentiment de céder et c'est la crédibilité de tout le système européen qui sera emportée"
Lui, c'est un bonimenteur. Combien de temps encore allez-vous croire ses mensonges. Il est capable de tout dire pour arriver au pouvoir !
Rédigé par : Jephe | 29 juin 2015 à 18:23
Le traître ce n'est pas la Grèce, c'est Sarko !
Vive le Grexit et vivement de Francexit !
L'Espérance commence à renaître !
Rédigé par : Cosaque | 29 juin 2015 à 18:29
Un gouvernement qui a menti sur ordre de UE car la Grèce par idéologie et non pas pour des raisons économiques rationnelles, devait rentrer dans la zone euro.
Une UE qui a fermé les yeux sur les mensonges qu'elle avait elle même générés.
Et tous ces eurocrates et au sens plus large ces financiers qui mutualisent les pertes mais se gardent bien de faire les autres quand ils gagnent.
Rédigé par : c | 29 juin 2015 à 18:30
Nicolas Sarkozy a raison. Il s'agit de sauver l'Euro et l'Union européenne.
Le problème, c'est que les peuples ne veulent pas de ce système dont ils ont compris combien il était pourri.
C'est pourquoi, il faut que la Grèce quitte Euro et Europe, ensuite ce seront le Portugal, l'Espagne, l'Italie et la France qui quitteront l'UERSS pour le bien de leurs peuples.
Il faut détruire Bruxelles comme les romains ont détruit Carthage.
Rédigé par : lascat | 29 juin 2015 à 18:39
Eh bien que ce stupide édifice technocratique, anti-démocratique et vraiment dictatorial, s'effondre. On pourra peut-être reconstruire une unité qui respecte le droit de chaque nation et la subsidiarité.
Rédigé par : Salopart | 29 juin 2015 à 18:46
le peuple ne veut pas de cette Europe gouvernée par une caste qui ne rend de compte à personne!
Rédigé par : ohlala | 29 juin 2015 à 18:49
Marine Le Pen intervenait la semaine dernière le 24 juin au Parlement Européen sur l’union bancaire et la situation en Grèce
Marine Le Pen : l'Union Bancaire, c'est vider les comptes des clients pour sauver les banques
https://www.youtube.com/watch?v=X0hV2UeJAsE
Rédigé par : Marino | 29 juin 2015 à 18:49
Espérons que la pression, le chantage de l'UE ne réussiront pas à faire annuler le référendum...j'ai des doutes sur la capacité de résistance du gouvernement grec..et j'espère me tromper
Rédigé par : Michèle | 29 juin 2015 à 18:51
Contre la manipulation bancaire et économique, l'Espagne, le Portugal, l'Italie soutiennent la Grèce rebelle.
Rédigé par : Rotschild | 29 juin 2015 à 18:52
Ce n'est pas Sarko et Juncker qui veulent sauver l'Euro, mais les maçons européens poussés dans les reins par la maçonnerie d'outre-Atlantique.
Ils paniquent à l'idée que l'on puisse remettre en cause leurs « avancées sociétales » imposées par la corruption et le chantage fait sur les frères et sœurs lagratouille.
Rédigé par : Socrate | 29 juin 2015 à 18:56
Carthago delenda est et nous irons pleurer sur ses ruines
Rédigé par : Grandville | 29 juin 2015 à 19:16
pire que cela , c'est la crédibilité de leur discours anti fn qui est en cause . si la grèce quitte l'euro , alors que pourront-ils nous dire pour contrer le fait que marine veut quitter l'euro ?
Rédigé par : gipsy | 29 juin 2015 à 19:23
Pour sauver l'Euro, la seule solution est d'endetter encore plus les Européens ! Mais il faut savoir que la dette de la Grèce est impossible à rembourser donc ce sera aux contribuables des autres pays de payer pour elle.
De plus sauver l'U.E., c'est l'entraîner inexorablement dans une guerre contre la Russie. Car c'est dans l'intérêt des anglo-sionistes ! Mais pour qu'eux n'aillent pas au combat, l'Otan compte sur la "chair fraîche" de notre continent.
Sans l'U. E., les pays d'Europe ne seront pas automatiquement obligés d'aller combattre ! Ils retrouveront leur souveraineté et à nouveau créeront des alliances économiques et politiques avec leurs voisins tout en gardant leurs prérogatives d''état indépendant. C'est ce genre d'Europe que les peuples veulent, pas celle de Washington ni celle ayant pour capitale Jérusalem.
Rédigé par : Chantal | 29 juin 2015 à 19:24
Les écrits ci-dessus sont bien optimistes... tout sera fait pour que la Grèce reste dans l'euro,démocratiquement bien sûr...toutes ces réunions de la dernière chance sont du cinéma!
Rédigé par : jano | 29 juin 2015 à 20:24
Pas un mot sur les CDS (credit defaut swap), vont-ils se declencher automatiquement apres le defaut de paiement ?
Rédigé par : Papon | 29 juin 2015 à 20:49
"L’Europe se trouve face à un gouvernement qui a menti"
Il veut sans doute évoquer les gouvernements français qui nous ont mentis depuis tant d'années. Nous n'aurons pas l'outrecuidance de lui rappeler le référendum français qu'il a foulé du pied, Par lui la démocratie française est morte à Lisbonne.
Rédigé par : Stephe | 29 juin 2015 à 21:18
Si vous saviez le chantage ,l'insolence , les intimidations et les actes de rétorsions de l'UE vis à vis de la Suisse (quotas d'étrangers , renvoie des criminels non suisses ,minarets , accords bilatéraux ,aéroport de Bâle , successions , etc.)Suisse qui ne fait pas partie de l'UE , vous ne seriez pas étonnés de sa rage contre la Grèce , ce petit pays reçu par charité dans "la Grande Europe "et n'a aucun doit sauf celui de se taire .Oui , la Grèce a triché . Tout le monde le savait . C'est minable à l'UE de le lui reprocher aujourd'hui. Et c'est criminel de lui imposer une austérité qui ne peut que l'enfoncer davantage . L'évangile de Saint Matthieu est clair et s'applique parfaitement :"Ils lient de pesants fardeaux et en chargent les épaules des gens ; mais eux-mêmes ne veulent pas les remuer du doigt."
Rédigé par : Pascal.P | 29 juin 2015 à 21:26
Ce sont les banquiers qui ont conduit l'Europe là où elle est.
Si les banques grecques doivent faire faillite, que les Grecs jugent leurs banquiers et leurs hauts-fonctionnaires nationaux et bruxellois.
Çà servira d'exemple aux banques de nos pays.
Rédigé par : ml | 29 juin 2015 à 21:49
Merci et bravo à tous les internautes qui ont laissé des messages sur ce blogue.
Mais de grâce, relayez-les aussi sur les autres médias !
Un petit copier-coller et hop ! le tour est joué !
Rédigé par : Barberouge | 29 juin 2015 à 22:53
"La crédibilité de l'union européenne"?
Quand cette usine à gaz a-t-elle été crédible, sinon aux yeux des fonctionnaires qui s'y engraissent?
Au diable ces dictateurs de l'ombre et les parasites qui les accompagnent!
Rédigé par : Jacques Bonhomme | 29 juin 2015 à 23:08
En toute affaire humaine et spirituelle,quand quelque chose ne marche pas (temps de desolation) la marche à suivre est de revenir dans ses actions au temps (temps de consolation precedent) où concernant les éléments en cause, ceux ci fonctionnaient bien et de n'en plus bouger avant de trouver la cause ou les causes qui ont produit les dysfonctionnements.
Dans le cas de l'euro il était extrêmement performant et pratique avant 2002 pour tous les échanges commerciaux en virements de banque à banque et dans le cadre des échanges internationaux entre les pays européens et le reste du monde. Il faut y revenir en rétablissant les monnaies nationales à parité par rapport à l'euro elle fluctueront ensuite par rapport à celui ci.
Dans le cas de l'Europe ce sera une décision draconienne de survie, Il est absolument nécessaire de revenir absolument concept de l'Europe à 2 ou 3 vitesses: une Europe avec les pays qui ont un niveau de vie identique formant 1,2 ou 3 zones où les échanges se font à l'intérieur de ces zones de façon identique à maintenant mais où la communication entre chacune des zones est remise sous contrôle avec un sas étroit entre chacune d'elle afin que le vase communicant entre chacune d'elle soit rétréci et que l'établissement des niveaux de vie identiques soit beaucoup plus lent évitant ainsi de mettre en danger l'ensemble du système comme c'est le cas actuellement.
C'est du simple bon sens mais le bon sens est tellement compliqué pour tous ces économistes qui vivent dans leur bulle financieres sans tenir compte des paramètres tout simplement humains et terre à terre.
Rédigé par : Chantal de Thoury | 29 juin 2015 à 23:34