En liberté conditionnelle, il assassine à nouveau...
03 septembre 2015
Terrible fait divers qui montre à quel point le système judiciaire français a été perverti par lâcheté et laxisme :
"Elias Varela Fontes est jugé pour le meurtre de sa femme. Il avait déjà été condamné à vingt ans de prison pour avoir tué sa première épouse (...) Elias Varela Fontes, 57 ans, avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2002 pour avoir tué sa première femme.
L’accusé était sorti de détention en septembre 2011, grâce à un placement extérieur probatoire. Obtenant ensuite une libération conditionnelle, il devait être hébergé chez sa sœur."
2000 + 20 = 2011. Au lieu de 20 ans de prison, il n'en aura effectué que 11 (en comptant 2 ans de préventive).
Exercer ainsi la justice est scandaleux car avec plus de discernement une vie aurait pu être épargnée.
Il y a vraiment deux poids deux mesures dans les peines en pensant à l'amende que doit payer le Docteur DOR pour avoir osé défendre les bébés avortés légalement.
A ce propos, pourquoi les prisonniers qui purgent une peine ne pourraient ils pas s'acquitter en plus d'une amende, celle-ci serait utile pour rembourser leur frais de nourriture et d'entretien en prison, leurs frais d'avocats et ceux des victimes ou autres indemnités compensatoires ?
Ainsi, ils devraient travailler en prison au lieu de se tourner les pouces et ne pourraient sortir qu'à la condition que tous les comptes soient épurés.
Rédigé par : pm | 03 septembre 2015 à 14:45
Il a sans doute été incarcéré avant le jugement. Il a donc vraisemblablement fait plus que neuf ans.
Soyons factuels.
Rédigé par : Olivier Rueil Malmaison | 03 septembre 2015 à 16:36
Au train où ça va, il va finir par n'y avoir que d'honnêtes gens en prison, les délinquants et criminels étant systématiquement remis en liberté.
Rédigé par : orleans | 03 septembre 2015 à 22:59
Les vrais assassins ce sont les magistrats !
Quand va-t-on les juger pour meurtre et les incarcérer pour de bon ?
Rédigé par : DUPORT | 03 septembre 2015 à 23:10
On en arrive au point où, après avoir déposé mes enfants à l'école, je me demande si je vais bien les retrouver le soir... Et si on faisait une manif monstre comme au Liban, avec des menaces - à condition d'oser les mettre en application - à l'encontre de nos incapables de politiques ?
Rédigé par : Semper Fidelis | 04 septembre 2015 à 00:12