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Fillon sera au salon de l'agriculture mercredi des Cendres

Réaction de Christine Boutin :


Erection canonique des bénédictins de l’Immaculée

Du frère Jehan de Belleville :

Unknown-21"Nous avons la joie de vous annoncer la prochaine érection canonique de la communauté, à laquelle procédera notre nouvel évêque Mgr Guglielmo Borghetti le 21 mars prochain en la fête de saint Benoît.

Le 19 janvier 2015 nous en avions fait la demande auprès de Mgr Mario Oliveri dans les termes suivants qui résument la situation de la communauté depuis sa fondation:

«  Excellence et cher Monseigneur,

Par votre lettre du 6 février 2008, vous m’avez paternellement accueilli dans votre diocèse d’Albenga-Imperia pour y fonder le monastère sainte Catherine de Sienne où se vivraient les traditions monastiques transmises par nos fondateurs et les traditions liturgiques en conformité avec le motu proprio Summorum Pontificum du regretté pape Benoît XVI.

Le 21 mars 2012 vous nous avez fait la grâce et la joie d’ériger le monastère en Association Publique cléricale de fidèles ad experimentum pour trois ans.

Depuis donc sept années, malgré de nombreux essais de vocations qui n’ont pas toujours abouti, la communauté demeure actuellement stable avec 3 membres, nombre minimum requis par le droit pour former un ensemble de personnes (can. 115§ 2).

Depuis sept années à Villatalla l’office divin et la messe quotidienne chantée ne se sont jamais interrompus et la louange divine continue d’être célébrée fidèlement sept fois le jour et une fois la nuit, dans le chant grégorien, chant propre de l’Eglise Catholique, depuis les matines à 3h.30 jusqu’aux Complies à 20h.

L’ad experimentum de l’Association parvenant à son terme ce 21 mars 2015, frère Antoine, frère Marie et moi-même venons humblement requérir auprès de votre Excellence la grâce de voir notre communauté érigée en institut de vie consacrée de droit diocésain. Cette grâce donnera à notre communauté une reconnaissance ecclésiale plus forte et plus stable et protégera son charisme d’éventuelles contestations, particulièrement à craindre en cette période de troubles et d’incertitudes pour l’Église. Je pense aussi que cette reconnaissance attirera davantage de vocations ayant besoin d’être rassurées sur la fiabilité de notre communauté.

Veuille, votre Excellence, agréer l’expression de nos sentiments très respectueux et filiaux in Maria. »

L’approbation des Constitutions par le Saint-Siège est une condition de validité pour l’érection d’un institut diocésain. Signée le 25 mars 2015, elle est arrivée trop tard à Mgr Oliveri car ce même jour, à la demande du Pape François, il renonçait à la juridiction attachée à sa charge d’évêque diocésain. Mgr Borghetti a dû prendre du temps pour faire connaissance avec son nouveau diocèse et nous faire une première visite le 12 mars 2016. À plusieurs reprises et publiquement Il a déclaré que n’ayant pas de sensibilité traditionnelle il respectait cependant pleinement le motu proprio Summorum Pontificum de Benoît XVI. Il a tenu parole: plusieurs messes sont actuellement célébrées selon le rite traditionnel dans le diocèse à la demande de groupes de fidèles et lui-même viendra donc nous ériger et recevoir nos vœux monastiques ce 21 mars prochain.[...]"


La notation de l'Institut du Pays Libre penche en faveur de Marine Le Pen

Bernard Antony, après avoir estimé que ni les candidats Macron (pour sa déclaration sur la colonisation), ni le néo-bolchévique Mélenchon ni l'islamo-gauchiste Hamon ne méritent que l'on s'y arrête, déclare :

C5xTh9FWMAAmR52"[...] Il nous revient donc de jauger aujourd’hui les programmes des deux candidats non nihilistes susceptibles de sortir au soir du premier tour pour affronter le duel final. Tout indique que Marine le Pen obtiendra le meilleur résultat de ce premier tour. Au moment où nous parlons, sauf immense surprise créée par un résultat totalement inattendu de Nicolas Dupont-Aignan, si ce n’est pas Macron qui arrive hélas en deuxième position après Marine Le Pen, ce sera très possiblement François Fillon.

Nous avons déjà aujourd’hui suffisamment de connaissance des programmes de Marine le Pen avec ses 144 engagements, et de François Fillon avec son discours programme et ses autres déclarations programmatiques pour les évaluer respectivement et éclairer ainsi une motivation de vote. Étant donné que sur l’essentiel on perçoit moins de fondamentales divergences de Dupont-Aignan avec Le Pen qu’avec Fillon.

Nous avons retenu 11 points de politique selon nous essentiels et sur lesquels nous attribuons une notation de 0 à 5.

1) Sur une politique de respect de la vie innocente, ni Le Pen ni Fillon ne peuvent être notés positivement. L’un comme l’autre ont affirmé sans la moindre restriction l’intouchabilité de la loi Veil de banalisation de l’avortement. Ils n’ont pas non plus formulé de justes réflexions sur le respect de la vie en phase terminale. Notre notation : 0 à 0

2) Sur la question de l’immigration, les propositions de Fillon sont timides : une politique de quotas mais pas de remise en cause réelle du droit du sol ni du principe de la double nationalité. Notre notation : 5 à Le Pen, 1 à Fillon

3) Sur le défi de l’islam, Fillon a au moins le mérite d’avoir enfin désigné « le totalitarisme islamique », c’est-à-dire la nature fondamentale de l’islam. Marine Le Pen n’aborde pas cela, ni la dangerosité mimétique des textes sacralisés de l’islam, Coran et Hadîths, qu’il ne faudrait, selon nous, plus pouvoir éditer sans qu’y figurent des incitations à une lecture critique. Ainsi qu’il est fait pour Mein Kampf. Mais Marine Le Pen va plus loin que Fillon dans ses engagements sur la question de ce qu’elle appelle elle aussi « l’islamisme » et qui est selon les degrés l’islam fondamental, radical, jihâdiste et terroriste. Elle a le mérite de vouloir interdire le financement étranger comme le financement public des mosquées. Notre notation : 4 à Le Pen, 4 à Fillon

4) Sur l’éducation et la culture, Marine Le Pen entend « rétablir la liberté de scolariser ses enfants selon ses choix ». C’est bien mais un peu vague. Et on sait qu’elle n’est pas en faveur de la réforme, selon nous fondamentale, du « chèque scolaire ». Sur le contenu de l’enseignement et de l’esprit, les deux candidats expriment à peu près la même chose : nécessité d’un retour prioritaire dans l’enseignement primaire aux savoirs fondamentaux (lecture, orthographe, calcul). Remise en honneur de l’apprentissage et de l’alternance. Sur la culture, il n’y a pas grand chose dans les engagements de Marine Le Pen et Fillon évoque sans plus de précisions son attachement à la production de richesses. Notre notation : 3 à Marine Le Pen, 3 à Fillon

5) Sur l’abolition de l’eurocratie, le retour aux libertés nationales, la construction d’une Europe des patries nous approuvons évidemment Marine Le Pen. Mais nous regrettons qu’elle ne propose pas l’édification, selon nous nécessaire, de « pactes d’intérêt commun » pour la sécurité ou pour la prospérité économique. Fillon ne remet pas en cause l’Union ni les mécanismes de son fonctionnement. Simplement veut-il renégocier le traité de Schengen. Notre notation : 4 à Marine Le Pen, 1 à Fillon

6) Sur la politique étrangère, Marine Le Pen exprime pour l’instant de grands principes en faveur d’un monde « multipolaire », et comme l’expose son conseiller, Jean Messilla, pour que la France soit « une puissance d’équilibre selon les canons gaulliens ». La formule ne nous fascine pas. Nous approuvons ses désirs de renforcement des liens avec les peuples francophones et de co-développement avec les pays d’Afrique. Nous sommes aussi plutôt d’accord avec ses orientations sur Israël et sur le Liban mais nous sommes beaucoup plus réservés sur sa réflexion insuffisante sur l’avenir de la Syrie, comme nous l’avons par ailleurs plusieurs fois développé. Il y a pour l’instant, en matière de politique étrangère, plus de convergence que de divergence entre les orientations de Marine Le Pen et de François Fillon. Il n’y a notamment rien, chez l’un comme chez l’autre, sur l’abomination totalitaire de la Chine et ses menaces. Rien véritablement non plus sur les nécessités de réciprocité à exiger des pays d’islam. Notre notation : 3 à Marine Le Pen, 3 à Fillon

7) Sur l’économique, le social et le syndical. En matière économique et sociale, nous n’approuvons pas l’étatisme néo-socialiste de Marine Le Pen ni ses positions aberrantes sur les retraites et les temps de travail. Seul point selon nous positif : sa proposition pour « la liberté syndicale, par la suppression du monopole de représentativité » et la « moralisation de la vie syndicale par un contrôle public du financement des syndicats ». Fillon nous paraît en ces domaines plus positivement réformateur, hélas pas pour ce qui est du syndicalisme. Notre notation : 1 à Marine Le Pen, 4 à Fillon

8) Organisation territoriale et administrative de la France. Marine Le Pen est toujours sur la ligne jacobine, centralisatrice, départementaliste de son père. On sait que pour notre part nous défendons la suppression et des régions et des départements actuels pour la réanimation de la France par la création d’une quarantaine de généralités, fondées sur les continuités historiques et les réalités modernes. On peut s’inspirer en ce domaine de l’exemple japonais. À le lire, Fillon est tout de même plus ouvert à une réanimation des territoires par des mesures de décentralisation. Notre notation : 0 à Marine Le Pen, 1 à Fillon

9) Sur l’agriculture. Tous les gouvernements de la cinquième République dans la continuité de ceux de la quatrième ayant accepté le leurre de la Politique Agricole Commune (PAC), ont mené ce qui relève d’un véritable génocide de notre agriculture alors même que la terre de France est la plus précieuse des richesses fondamentales de notre pays. Hélas, le syndicalisme agricole officiel de la FNSEA, sans cesse politiciennement acheté, a accompagné cette politique objectivement criminelle dans la spirale de l’incessante recherche de productivité écologiquement désastreuse  et simultanément de l’imposition de quotas avec pour corollaire l’incessante diminution du nombre des exploitations et la désertification rurale. On voit mal comment Fillon pourrait vraiment faire autre chose que ce qu’il a déjà fait ou plutôt que ce qu’il n’a pas fait, ne voulant pas sortir du carcan eurocratique de la PAC et de la complicité avec le syndicalisme officiel. On peut regretter que Marine Le Pen n’ait pas fixé comme objectif la nécessaire diminution de la politique de subvention par le passage progressif à une politique de vérité des prix, condition fondamentale d’une agriculture libre. Elle n’a pas non plus remis en cause à ce jour le rôle du syndicalisme officiel. Notre notation : 2 à Marine, 0 à Fillon

10) Réforme de la justice. Nous approuvons totalement les propositions de Marine Le Pen et notamment sa volonté de supprimer l’École Nationale de la Magistrature (ENM), véritable creuset de conditionnement totalitaire des magistrats. Cela devrait aller aussi avec la suppression des lois dites antiracistes alors que s’est imposée l’évidence, si dénoncée par l’AGRIF, que l’antiracisme, de plus en plus nihiliste, est un racisme en sens contraire. Marine Le Pen entend créer 40 000 places de prison supplémentaires. Mais le budget pour cela ? Fillon s’engage pour 16 000. Trop peu à l’évidence. Mais on peut regretter qu’aucun des deux ne propose le rétablissement hardi de formes plus humaines de privation de liberté que la prison, à savoir des détentions dans de vastes camps de travail ou dans des îles vides de populations telles que les Kerguelen. Notre notation : 3 à Marine, 2 à Fillon

11) Sécurité et défense nationale. Marine Le Pen et Fillon proposent globalement les même mesures de renforcement des moyens et donc des budgets. Outre cela, on peut approuver la volonté de Marine Le Pen de sortie de la France de l’O.T.A.N. Mais elle reste floue sur le système d’alliance nécessaire face aux dangers qui pèsent sur la France et les nations européennes. Notre notation : 4 à Marine Le Pen, 2 à Fillon.

Sur ces chapitres fondamentaux, le nombre de points que nous avons attribués à Marine est de 29 et de 21 pour Fillon. Notons que ce que préconise Nicolas Dupont-Aignan le place sans doute plus près de Marine Le Pen que de Fillon.

En conclusion, l’Institut du Pays Libre présente sa notation comme élément de décision à tous les proches, militants de la droite de conviction et amis. Mais naturellement, d’autres critères entrent certainement en ligne de compte pour le choix d’un bulletin de vote et notamment l’idée que l’on se fait de la personnalité des candidats, de leur courage, de leur intelligence, de leur droiture, de leur aptitude à affronter les tempêtes, de la place qu’ils semblent accorder aux valeurs du Décalogue. Pour sa part Bernard Antony, ayant exposé ses réserves et ses raisons, votera pour Marine Le Pen. [...]"


L'Education nationale fait la promotion de la débauche

Capture d’écran 2017-02-28 à 18.55.56Sur Matilda, un site de l'Education nationale, on trouve des vidéos faisant la promotion de la débauche sexuelle. Exemple :

"Dans la première partie de la vidéo, il a été question de l'intégration de la jouissance dans l'apprentissage de la sexualité, ici, il va s'agir de parler "des sexualités" au pluriel. Pour Marie-Anne Paveau, il est encore beaucoup trop fréquent que la sexualité soit vue comme une sexualité simplement hétérosexuelle, c'est-à-dire entre un homme et une femme, et souvent une sexualité procréative, il est important de prendre en compte les autres sexualités qu'on appelle encore malheureusement alternatives ou minoritaires. Et Marie-Anne Paveau conclut par cette remarque pleine de bon sens, difficile à réfuter  "L'amour ne peut pas faire du mal, la haine oui"."

Etre gentil c'est bien, être méchant cépabien... Elle nous explique que l'on peut changer de genre, toussa...


Victoire de l'Agrif contre "Nique la France"

Qui a dit que l'Agrif perdait ses procès ?

11140252_959038914127508_8563654657365341130_n"La Chambre criminelle de la Cour de Cassation vient de casser, ce 28 février 2017, l’arrêt de la Cour d’appel qui avait confirmé le débouté de l’AGRIF dans l’affaire « Nique la France », au prétendu motif que les « Français dits de souche » qui étaient visés par les propos poursuivis « n’existaient pas », pas plus que la race blanche qui « n’était susceptible d’aucune définition » (sic). 

La Cour de Cassation annule cette décision en jugeant, selon l’évidence du bon sens et du droit, que les propos litigieux du morceau de rap Nique la France désignent « à travers les références constituées par la représentation symbolique de la République, le drapeau français et l’hymne national, des personnes appartenant à la nation française ». L’affaire est renvoyée devant la Cour d’Appel de Lyon.

L’AGRIF, qui n’a jamais accepté le déni de justice initial, se félicite de ce que la plus haute juridiction lui donne raison, après sept années de procédure. Cela confirme qu’il ne faut jamais désespérer de la justice."


8 mars, journée de la femme : grande veillée des Sentinelles à Paris

Le 8 mars, les Sentinelles vous invitent à une grande veillée place Vendôme, à l'occasion de la journée internationale de la femme. (Evènement Facebook).

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Dans notre monde, l’altérité des sexes est contestée avec par exemple la théorie du genre qui n’existe pas, mais qui fait l’objet d’un enseignement sournois. L’indifférenciation est promue comme un style de vie à la mode. Ce refus des déterminismes naturels est une des sapes qui vise à faire s’effondrer le socle anthropologique de notre société.

Dans notre monde, des femmes sont réduites en esclavage. Il n’est pas comparable aux traites arabo-musulmane ou transatlantique. Cet asservissement revêt de multiples formes. Combien de jeunes filles issues de familles d’immigration récente sont mariées de force dans leurs pays d’origine ? Combien de femmes subissent un asservissement domestique dont elles ne peuvent échapper, parfois maintenue dans ce carcan par une violence physique et psychique continue ? Combien de prostituées remettent les fruits de leur travail sordide à des proxénètes ?

Dans notre monde, certes pas à l’intérieur de nos frontières, mais pas si loin que ça, des femmes vendent d’autres services pudiquement désignés comme « reproductifs ». Certaines vendent leurs ovules, d’autres portent l’enfant qu’elle céderont à sa naissance. La marchandisation du corps humain qu’implique la gestation pour autrui est bien là. L’hypocrisie des élites qui nous gouvernent atteint ici son summum : elles maintiennent une interdiction sur le territoire mais facilitent la transgression dans des pays où le prolétariat des gestatrices n’est pas protégé, et elles organisent la promotion de cette pratique à grand coup de sentimentalisme médiatique, afin de la rendre socialement plus acceptable.

Pour certains, rien ne doit s’intercaler entre l’individu démuni et l’ogre du marché triomphant. Parce que les femmes sont plus fragiles dans notre monde brutal et violent, des Sentinelles choisissent de veiller à cette occasion de la Journée de la Femme. Cette veille des Sentinelles ne sera pas genrée : tous les sexes sans exception sont les bienvenus, avec toujours les mêmes recommandations : respecter le silence, les distances entre chacun de nous, l’absence de signes distinctifs et la bienveillance. A bientôt.

Des Sentinelles

 


Le Puy du Fou a 40 ans

Le Puy du Fou, dont le chiffre d'affaires a grimpé de 21% à 100 millions d'euros en 2016, a annoncé l'ouverture de trois parcs dans le monde à horizon 2027. Le Puy du Fou a accueilli 2,2 millions de visiteurs l'an dernier, soit une hausse de 8%. Nicolas de Villiers, président du Puy du Fou, a déclaré :

"En cinq ans, le parc a doublé son chiffre d'affaires et le nombre de visiteurs a lui progressé de 30% en trois ans".

Pour ses 40 ans cette année, le parc vendéen prévoit de lancer de nouvelles attractions et d'ouvrir deux nouveaux restaurants, un nouvel hôtel. Le parc créé en 1977 s'offre un cinquième hôtel à thème, La Citadelle, construction d'inspiration médiévale, avec façades à colombages, pour un montant de 15,5 millions d'euros. Il compte 74 chambres (448 lits), portant le parc hôtelier du Puy du Fou à 400 chambres et 2.000 lits.

 Sur le plan de la "conquête mondiale", après les Pays-Bas, l'Angleterre ou encore la Russie en tant que prestataire, "nous envisageons un virage important. Notre objectif est d'ouvrir trois parcs Le Puy du Fou dans le monde d'ici à 10 ans, notamment en Espagne dans la région de Tolède et en Chine", a annoncé M. de Villiers.

Le projet de parc en Espagne, basé sur l'histoire de ce pays, "représente un investissement de 140 millions d'euros" et "devrait voir le jour en 2021, avec un début de construction en 2019".

Le projet de parc en Chine, qui retracerait l'histoire de ce pays, représente lui un investissement de 300 millions d'euros, pour une ouverture à horizon 2025.

40 ans d'histoire en vidéo :


Le mois qui n'existe pas à l'Université d'Angers

Sic :

Profitant de la dynamique portée par le programme de recherche GEDI, l’UA a décidé d’organiser, c’est la première fois en 2017, un temps fort autour de cette thématique du genre. Mars, marqué par la journée du 8, sera tous les ans, « le mois du genre » à l’UA. Les 12 rendez-vous proposés pour cette première édition illustrent, par leur richesse et leur diversité, la volonté de toute la communauté universitaire d’agir afin de lutter contre les stéréotypes de genre.

 

M


Des nouvelles de Vincent Lambert

S2k4qDéjà plusieurs mois sans nouvelles… Mais l’actualité n’en est pas moins chargée pour Vincent, sa famille et ses amis. Pour faire un point sur ce qui s’est passé et sur l'avenir de Vincent, Maître Jérôme Triomphe et Maître Jean Paillot répondent aux questions du Comité de soutien. 

1. Comment Vincent se porte-il ? 

Malgré les manquements dans la prise en charge, il a évolué positivement depuis 3 ans, ce dont ont attesté 5 médecins experts des patients en état pauci-relationnel. Le 5 décembre 2016, il a tenté quatre fois de vocaliser, devant ses parents, et la 4ème fois devant deux aide-soignantes qui en ont été impressionnées. Faut-il rappeler que Vincent a survécu à 31 jours sans alimentation en avril et mai 2013 ? Tous les spécialistes nous disent que cela démontre une force de vie évidente, à défaut de quoi il se serait laissé aller en quelques jours.

2. N’a-t-il toujours pas le droit à la rééducation dont il a besoin ? 

Non, la rééducation à l’alimentation par la bouche n’a pas encore été entreprise. Pas plus que la reprise des soins de kinésithérapie ou la mise au fauteuil, et Vincent est toujours prisonnier de sa chambre et de son lit, alors qu’il pourrait parfaitement en être sorti.

3. La question du transfert de Vincent Lambert vers un établissement spécialisé a été débattue jeudi 16 février devant la cour d'appel de Reims. Comment s’est déroulée l’audience ?

L’audience s’est déroulée mieux qu’on ne pouvait l’espérer. Vous nous pardonnerez de ne pas donner de détails sur ce point, car l’arrêt de la Cour, attendu pour le 24 mars, n’est par définition pas encore rendu. Mais nous espérons bien avoir une bonne décision et que nous voyions la fin de ce cauchemar pour Vincent et sa famille.

4. Malgré les revers et l’ampleur des démarches en cours, restez-vous confiants pour Vincent ? 

Oui, nous restons confiants et nous continuons à nous battre avec la même énergie pour que Vincent cesse d’être traité comme un mort en sursis mais qu’il soit enfin transféré dans un établissement spécialisé et pris en charges par des soignants spécialistes des patients comme Vincent qui sont, il faut le rappeler, 1 700 en France.


La Manif Pour Tous organise ses Bistrots de campagne

Beer-ec83bfeb1adc1cee27cd33c72844377a0cd725cfc983be77f79b28bfe48c00c9Réunir des militants autour d'un verre pour échanger sur les enjeux qui nous préoccupent ? Rien de plus efficace pour former, motiver, nouer des contacts et inciter à l'engagement.

Boomerang 2017 vous fournit un kit prêt à l'emploi: modèle de mail d'invitation, mode d'emploi pour réserver un bar, affiches, tracts...

Voici la carte des Bistrots de campagne déjà organisés. Pour Paris :

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Ils détruisent l'Education nationale puis se recasent avant la déroute de la Présidentielle

C'est la grande valse des mutations au sein du ministère de l'Education nationale :

  • La dircab’ adjointe de Najat Vallaud-Belkacem intègre l’équipe de campagne de Benoît Hamon
  • Une ex-conseillère de Najat Vallaud-Belkacem part à la mairie de Paris
  • Une conseillère de Najat Vallaud-Belkacem promue inspectrice générale de l’éducation nationale
  • La conseillère diplomatique de Najat Vallaud-Belkacem rejoint Arte
  • Veolia Environnement recrute une ex-conseillère de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem
  • La Caisse des dépôts débauche une conseillère de Najat Vallaud-Belkacem
  • Le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem promu dans un grand corps
  • Un conseiller de Najat Vallaud-Belkacem promu inspecteur général de l’éducation nationale
  • Le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem obtient son premier poste de préfet
  • Un ex-conseiller de Najat Vallaud-Belkacem en piste pour la direction générale de l’Inca
  • L’ancien directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem rejoint la direction de l’AP-HP

Le Patriarche Raï adresse un message de résistance spirituelle

Capture d’écran 2017-02-28 à 09.01.35Le Patriarche Bechara Raï livre pour la première fois un témoignage unique et une analyse d’une grande pertinence sur la situation tragique des chrétiens d’Orient. Interrogé par Isabelle Dillmann, spécialiste des grands entretiens de chefs d’État et de personnalités internationales (Mère Teresa, Jean-Paul II, le Dalaï-Lama, Sadruddin Aga Khan, Hamid Karzaï, Mouammar Kadhafi, Rafic Hariri), le Patriarche maronite d’Antioche et de tout l’Orient retrace l'histoire bimillénaire des chrétiens d'Orient et leurs rapports historiques avec l’islam. Il rappelle la tradition unique de convivialité intercommunautaire du Liban mais aussi les difficultés que traverse son pays dépendant des confrontations et des déséquilibres régionaux en pointant l’urgence de solutions face aux dangers qui le menacent. Cette personnalité charismatique s’exprime également avec courage sur la géopolitique de la région, Daech, le jeu des puissances étrangères, Israël… Sans jamais céder à la rhétorique diplomatique, le Patriarche Raï à la tête de la plus importante communauté catholique d’Orient dans le monde, adresse à tous un message de résistance spirituelle, sous-tendu par une foi profonde et une force intérieure peu commune. 

Extraits de l’Avant-propos :

"Il ne faut pas beaucoup de temps pour s’apercevoir que le 77e Patriarche maronite d’Antioche et de tout l’Orient est un homme à part. Loin des faux-semblants et de toute affectation de langage ou de comportement dont un prélat ou un haut dignitaire religieux de son rang cherche souvent à se prévaloir, Bechara Boutros Raï conjugue l’audace d’une vision lucide tristement prophétique portée par des mots sonores à une élégance relationnelle dont il ne se départit jamais. Au Moyen-Orient celui que certains surnomment « le pape oriental » est le chef très écouté de l’Eglise maronite qui représente la plus importante communauté catholique d’Orient. Cette Eglise fort ancienne de tradition syriaque-antiochienne regroupe des millions de fidèles dans le monde. Son territoire s’étend de l’ex-Empire ottoman, de la Turquie jusqu’aux frontières de l’Inde, sur les côtes du Malabar et de la région de Malacar. Tout en incarnant douloureusement le tragique destin des chrétiens d’Orient dans un monde arabe en implosion, le patriarche cherche lucidement à nommer les causes de tant de violences, tout en faisant avancer par tous les moyens les processus de paix. « En dépit de toutes les guerres et de toutes les intimidations terroristes, nous, chrétiens, resterons en Orient », affirme-t-il.

En pasteur très attaché à la cause de son Eglise comme à la cause de sa nation vivant sur un équilibre fondé sur la tolérance, le Patriarche Raï stigmatise sans relâche les attentats terroristes de plus en plus meurtriers d’un islam malade de l’intérieur entretenu par la haine séculaire qui divise chiites et sunnites, musulmans modérés et fondamentalistes et qui a permis l’émergence de la pathologie à grande échelle de Daech à travers une violence et une sauvagerie transfrontalières inégalées. C’est dans ce contexte dramatique d’un Orient déchiré que j’ai vécu plusieurs semaines à ses côtés dans sa résidence de la Vallée sainte sécurisée par l’armée, partageant la vie quotidienne de sa communauté – les offices, les célébrations, les repas et les rencontres. De mémoire de patriarche, jamais une personne non religieuse, non membre du clergé de l’Eglise maronite, encore moins une femme, n’avait partagé avec autant de proximité le quotidien d’un des plus grands prélats catholiques d’Orient." 


Le Cercle algérianiste dépose plainte contre Emmanuel Macron

Communiqué de Thierry Rolando, Président national du Cercle algérianiste :

Capture d’écran 2017-02-28 à 09.49.16"Le Cercle algérianiste a demandé à Maître Gilles-William GOLDNADEL de déposer plainte à l’encontre d’Emmanuel MACRON, pour diffamation, à la suite de ses déclarations à Alger, assimilant la colonisation à un « crime contre l’Humanité ».

Le Cercle algérianiste, porteur de la mémoire et de l’histoire des Français d’Algérie, considère que par ces propos, Emmanuel MACRON a non seulement travesti la réalité historique, mais qu’il a porté atteinte à la mémoire et à l’honneur des Français d’Algérie, qui n’ont pas à rougir de ce qu’ils ont été, ni de l’œuvre qu’ils ont accomplie sur la terre à laquelle ils étaient viscéralement attachés et qu’ils ont contribué à développer.

Cette déclaration est d’autant plus insupportable pour les Français d’Algérie, que plusieurs dizaines de milliers d’entre eux ont fait le sacrifice de leur vie, lors des deux Guerres mondiales, pour défendre la Nation.

À Alger, Emmanuel MACRON a non seulement méprisé la douleur des Français d’Algérie, Pieds-Noirs et Harkis confondus, mais blessé profondément une grande partie de la communauté nationale. 

En affirmant que la France avait commis un « crime contre l’Humanité », sans exiger que soient reconnus dans le même temps par l’Algérie, le massacre indicible des Harkis et le drame de milliers de Pieds-Noirs enlevés et assassinés par le FLN, notamment le 5 juillet 1962 à Oran, il a, en outre, franchi un pas supplémentaire dans une repentance mortifère.

L’Histoire ne s’écrit pas noir et blanc.

Emmanuel MACRON a pris le risque d’aggraver les fractures et d’aviver les blessures de ses compatriotes, en oubliant que toutes les souffrances et tous les drames sont respectables et doivent être reconnus."


Jubilé de la création du Tribunal administratif de l'Eglise

9782343110493fCette année la 2ème section du Tribunal suprême de la Signature apostolique, créé en 1967 en vue de « trancher les contestations nées de l’exercice du pouvoir administratif ecclésiastique », célèbre son jubilé dans le plus grand silence alors qu'elle a déjà traité près de 1500 causes faisant jurisprudence.

Yves-Alain Ducass, licencié en droit canonique et directeur de "Canonistes sans frontières", témoigne dans un livre intitulé "La justice administrative de l'Eglise catholique". Il évoque les progrès accomplis par l’Église catholique en cinquante années d’exercice de la justice administrative, illustre sa mise en oeuvre pratique par une centaine d’exemples de conflits et de jurisprudence ; fait connaître aux différentes catégories de fidèles leurs droits et obligations vis-à-vis de la hiérarchie de l’Église, ainsi que les moyens de les défendre ; apporte une contribution scientifique au monde des canonistes, à partir d’une base de données inédite sur la jurisprudence administrative ; contribue à la communion ecclésiale en célébrant dans la joie le jubilé de la justice administrative de l’Église, et en proposant des pistes d’améliorations.

Il écrit notamment : 

"il ne suffit pas que les procédures canoniques de résolution des conflits internes à l'Eglise soient opérationnelles, encore faut-il qu'elles soient connues des personnes concernées. [...]

Les fidèles catholiques, pourront mieux connaître leurs droits et les moyens de les faire valoir, ainsi que leurs obligations, et ils pourront en parler lors de conversations privées, ou par ses témoignages écrits dans la feuille paroissiale, le journal de leur association ou dans un commentaire sur les réseaux sociaux.

les responsables des organes de presse, pourront évoquer la mise en oeuvre des droits et obligations des fidèles catholiques, spécialement au cours de l'année 2017 qui marque le jubilé de la création du Tribunal administratif de l'Eglise."


Euthanasie : la franc-maçonnerie à la manoeuvre

Capture d’écran 2017-02-28 à 08.55.16C'est ce qu'a déclaré François Hollande hier lors de son discours à la secte maçonnique (vers 20mn30) :

"Parmi les causes qui mobilisent la franc-maçonnerie, il y a la défense de la dignité humaine. Et parce que les maçons ont toujours considéré l'être humain en tant que que tel, vous êtes à la pointe des combats actuels contre la douleur, pour le droit de mourir dans la dignité -nous avons fait progresser, pas forcément jusqu'au point où vous l'auriez souhaité, mais c'est pour vous permettre de réfléchir encore et de faire en sorte que la législation puisse encore progresser. Car elle progressera, y compris dans ce domaine."

La suite est consacrée au transhumanisme, avec un éloge du progrès "qui ne doit pas être suspecté".


Un président de la Ve République a plus de pouvoirs que Louis XIV

Il-y-a-quelque-chose-de-pourri-au-royaume-de-france-michel-viotL'abbé Viot, ancien évêque luthérien et dignitaire franc-maçon, n’a jamais idolâtré les “Lumières” et il regarde la Révolution française comme la pire catastrophe arrivée à notre pays. Son cri d’alarme en cette année 2017 qui voit se succéder élection présidentielle et jubilé des apparitions de Fatima identifie clairement les maux qui tuent la France et que cristallise l’idéologie de François Hollande, dont l’apostasie lui apparaît comme beaucoup plus grave que celle du célèbre empereur Julien.

Montrant dans Il y a quelque chose de pourri au royaume de France que le pacte républicain est fondé contre le christianisme, la République poursuit une œuvre continue de destruction spirituelle et politique en substituant à l’âme catholique française un universalisme contre nature. Son ouvrage est ainsi un plaidoyer pour la monarchie :

"Nos rois ne furent jamais des autocrates, tant les pouvoirs intermédiaires étaient nombreux dans l'ancienne France. Chaque édit du roi devait être vérifié par le parlement qui avait droit de remontrance. Et tout nouvel impôt nécessitait l'assentiment des Etats généraux. En fait, à y regarder de près, et j'ai eu l'occasion de le faire plusieurs fois avec des juristes, un président de la Ve République ayant une majorité parlementaire pour le soutenir a plus de pouvoirs que Louis XIV. Mais il n'aura jamais sa légitimité ! Il ne doit en effet sa place qu'à une faible majorité de voix qui s'est manifestée à l'issue d'une campagne électorale. Pendant celle-ci, avec des alliances pas toujours très claires et des moyens financiers encore plus opaques, on aura dressé avec force une partie du pays contre l'autre."


L'hypocrisie du Syndicat de la Magistrature

Le Syndicat de la Magistrature a dénoncé hier :

Capture d’écran 2017-02-28 à 08.30.21"Les manœuvres de déstabilisation de la justice, elles, ne connaissent pas de trêve ! La version polie parle de « retenue » ou de « pause » tandis que la version outrancière recycle, dans un discours plaqué, le « gouvernement des juges », les « cabales d’Etat » et fantasme les atteintes à la séparation des pouvoirs. Ceux qui les invoquent se croient autorisés à détourner à leur profit les principes démocratiques, non sans les dégrader sévèrement.

Rétifs à l’égalité devant la loi, certains membres de la classe politique prétendent se construire une immunité pénale et c’est par l’intimidation qu’ils veulent l’imposer. Que l’autorité judiciaire ose faire son travail, enquêter sur les infractions à la loi pénale qui lui ont été dénoncées, constitue pour eux un crime de lèse-candidat.

Au mépris affiché pour la justice viennent de s’ajouter des menaces édifiantes : après avoir refusé de se rendre à sa convocation, Marine Le Pen promet, si elle accédait au pouvoir, de demander des comptes aux policiers et aux juges en guise de représailles.

En démocratie, la loi est la même pour tous et l’autorité judiciaire est chargée de son application, en toute indépendance, dans le respect des règles procédurales et des droits de la défense. N’en déplaise à certains, la séparation des pouvoirs n’est pas l’impunité organisée au profit des élus et de ceux qui aspirent à l’être.

Ces attaques délétères contre la justice et la démocratie doivent cesser : il est grand temps que la retenue change de camp."

Sic. En matière de retenue, le Syndicat de la Magistrature a sans doute oublié son « mur des cons », sur lequel sont affichées, dans le local du SM, les photos de diverses personnalités publiques - hommes politiques, intellectuels ou journalistes, majoritairement de droite - de hauts magistrats ou de syndicalistes policiers. On y trouve également des photos de divers parents de victimes, dont le père d'Anne-Lorraine Schmitt, tuée par un récidiviste qui voulait la violer. Le 17 février 2014, la présidente du Syndicat de la magistrature, Françoise Martres, est mise en examen pour injures publiques. En septembre 2015, elle est renvoyée devant la justice pour « injures publiques ». Elle se pourvoit en cassation contre cette décision. Le 29 novembre 2016, la Cour de cassation rejette son pourvoi.


Ces animateurs TV qui appellent à tuer un chef d'Etat

Laurent Ruquier a déclaré à propos de Donald Trump :

"C'est quand même le seul Donald dont on aimerait qu'il soit abattu pour cause de grippe aviaire". 

Florence Foresti dans « Thé ou Café » sur France 2 :

"J'ai décidé qu'il allait se faire descendre"

Et après les mêmes s'indignent que des candidats à la présidentielle osent parler de situation de quasi-guerre civile en France. L'indignation est un sport réservé à la gauche...


C’est arrivé un 28 février…

"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

  • 28 février : fête du Bienheureux Père Brottier.

Né le 7 septembre 1876 à La Ferté-Saint-Cyr dans le Loir-et-Cher, il est ordonné prêtre en 1899 malgré de fortes migraines chroniques, il est d'abord professeur au collège de Pontlevoy avant que sa vocation de missionnaire ne le fasse entrer dans la Congrégation du Saint-Esprit (Spiritain), ordre séculier qui agit en Afrique de l'Ouest.

En 1903, il est vicaire à la Paroisse Saint-Louis du Sénégal, où il fonde un patronage pour s'occuper des enfants, tient une revue, L'Écho de Saint-Louis et dirige une chorale. Après un passage chez les Trappistes de Lérins, il revient à Dakar en tant que Vicaire Général et lève des fonds pour la construction de la Cathédrale du Souvenir Africain.

En 1914, il se porte volontaire pour servir comme aumônier militaire au sein du 26e Régiment d'Infanterie. Il sera décoré de la Légion d'Honneur pour faits de bravoure. En 1918, chose étonnante pour l'époque, il fonde avec Georges Clemenceau, franc maçon anticlérical, l'Union des Combattants. Mais la grande œuvre de sa vie est la Fondation des Orphelins Apprentis d'Auteuil, œuvre sociale destinée à l'accueil et à l'insertion de jeunes en difficulté. Le Père Brottier meurt le 28 février 1936 et est béatifié par le Bienheureux Pape Jean-Paul II, le 25 novembre 1984.

  • le 28 février 380 : baptême de l'empereur Théodose Ier.

Ce dernier bannit par un édit tous les cultes païens et la doctrine d'Arius. Le catholicisme devient la seule religion officielle de l'empire romain. Il publie l'édit de Thessalonique : « Tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l'apôtre Pierre, celle que reconnaissent le pontife Damase et Pierre, l'évêque d'Alexandrie, c'est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »

  • le 28 février 1574 : début de la cinquième guerre de religion en France.

La conjuration des Malcontents commence ; elle s'attaque au pouvoir de Catherine de Médicis.

  • le 28 février 1712 : naissance du Marquis de Montcalm, général français.

La victoire de Montcalm avec ses troupes à Carillon par Henry Alexander Ogden.

Commandant des troupes françaises en Nouvelle-France (1756-59)

C'est en 1732, à l'âge de 20 ans, que Montcalm débute sa carrière militaire. Il sert tout d'abord en Rhénanie, et ensuite pendant la guerre de succession d'Autriche, où il récolte sa première blessure au siège de Prague. Il devient colonel du régiment d'Auxerrois et Chevalier de Saint-Louis, distinction accordée pour ses actes de bravoure. On lui propose de prendre le commandement des troupes qui combattent en Nouvelle-France. Il est envoyé à Québec en 1756 comme commandant des troupes françaises en Amérique du Nord pendant la guerre de Sept Ans. Ses premières campagnes contre les Britanniques sont des succès majeurs. Il est mortellement blessé dans la bataille de Québec, perdue faces aux britanniques commandées par James Wolfe.

  • le 28 février 1760 : le corsaire François Thurot est tué dans un combat au large de l'île de Man.
  • le 28 février 1791 : découverte de la fuite des sœurs du Roi.

Après les femmes, c'est le tour des ouvriers et artisans du faubourg Saint-Antoine d'être manipulés et de manifester leur indignation. Ils s'attaquent au donjon de Vincennes. Pendant ce temps, quatre cent nobles tentent de prendre les Tuileries. C'est le complot des « Chevaliers du poignard ».

  • le 28 février 1794: massacre des Lucs sur Boulogne.

Le massacre des Lucs-sur-Boulogne est le plus célèbre et le plus important massacre perpétré par les troupes républicaines des colonnes infernales pendant la guerre de Vendée,

Vitrail commémorant le massacre du Luc-sur-Boulogne le 28 février 1794

Le 17 janvier 1794, la Convention avait ordonné la destruction définitive de la Vendée "afin que pendant un an, nul homme, nul animal ne trouve sa subsistance sur ce sol" dira le député Fayau. Le général Rossignol s'écrit

« il faut faire de ce pays un désert, et le peupler de bons Républicains ».

De cette phrase naîtra pour certains l'idée de dépopulation de la Vendée. Les preuves formelles de crimes contre l'humanité existent affirme Renée Casin, ce sont les ordres de la Convention et les rapports des généraux assassins. Elle cite le rapport de Westerman à la Convention :

« Il n'y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre, libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et les bois de Savenay suivant les ordres que vous m'aviez donnés. J'ai écrasé des enfants sous les pieds des chevaux, massacré des femmes, qui au moins pour celles là, n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas de prisonniers à me reprocher, j'ai tout exterminé…Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que par endroits ils font pyramide. On fusille sans cesse à Savenay, car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers…Nous ne faisons pas de prisonnier. : Il faudrait leur donner le pain de la liberté, or la liberté n'est pas révolutionnaire. »

Tiré de Les catholiques et la révolution française de Renée Casin page 100.

Et Turreau de Garambouville, ancien officier des troupes royales, ayant caché sa particule et une partie de son nom à la révolution, qui réside à Cholet, divise ses 2 armées de 6 divisions en 2 colonnes (24 colonnes) qui vont balayer le pays. Les ordres qu'ils donnent sont :

« Tous les brigands qui seront trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises seront passés au fil de la baïonnette. On agira de même avec les femmes, filles et enfants qui seront dans ce cas. Les personnes seulement suspectes ne seront pas plus épargnées. Tous les villages, métairies, bois, genêts et généralement tout ce qui peut être brûlé sera livré aux flammes. Sous 15 jours, il n'existera plus en Vendée ni maisons, ni armes, ni vivres, ni habitants… Je sais qu'il peut y avoir quelques patriotes dans ce pays. C'est égal, nous devons tout sacrifier »

Ainsi 24 colonnes marchant en même temps et dans chaque sens, devront lorsqu'elles de rencontreront, avoir fait de la Vendée :

« un désert de terres brûlées, de chaumières détruites, de châteaux en ruines, de corps mutilés que survoleront des corbeaux et que dévoreront les loups » indiquera encore Fayau.

Turreau prend le commandement de l'armée basée à Bressuire et devant aller d'est en ouest alors que le général Haxo est à la tête de la seconde qui viendra à sa rencontre. Les colonnes sont au départ sous les ordres des généraux Grignon, Huché, Dufour, Caffin, Amey, Charlery, Beaufranchet, Chalbos, Grammont, Cordelier, Commaire et Dalliac. Puis, au fil des maladies, des disgrâces et des remaniements, on voit ensuite se joindre à la campagne de destruction les généraux Joba, Carpentier, Duval, Cortez, Robert, Bard, Dutruy, et le chef de bataillon Prévignaud. Elles ont commencé leur œuvre le 21 janvier 1794, jour du premier anniversaire de la décapitation de Louis XVI. Elles la poursuivent jusqu'en mai 1794, quasiment quatre mois de feu et de mort…

Turreau finit baron d'empire, et son nom est gravé sous arc de triomphe … pour combien de temps encore ? Comme on est incapable d'expliquer et de justifier le crime, on préfère le nier et le banaliser. Le mémoricide vient achever le génocide.

"Outre les viols systématiques des femmes, ce qui n'est sans doute qu'un misérable détail parmi toutes leurs forfaitures, « ces soldats de la liberté » dépeçaient les femmes enceintes, pour en extraire les bébés avec des baïonnettes, et les planter sur des lances, qu'ils exhibaient ainsi, à cheval, comme des trophées... Les femmes ainsi avortées, servaient alors de mangeoires pour les chevaux : on substituait le bébé par du foin tout simplement... Les avorteurs d'aujourd'hui ont d'illustres ancêtres... La liste des « exactions » est longue comme un jour sans pain... On parle de dépecer encore des cadavres afin d'en extraire la peau pour en faire des pantalons sans couture... ou bien d'en extraire la graisse humaine pour la réutiliser. Aujourd'hui, les eugénistes utilisant les fœtus avortés pour en faire des substituts de goût ont d'illustres prédécesseurs. Quant aux méthodes d'extermination globale, bienvenue dans le monde moderne... Tout ce qui a été utilisé au XXIème siècle a été tenté... au XVIIIe par les révolutionnaires : la poudre est chère, donc, fusiller coûte cher et comme on tue tout le monde, il est impossible de demander de la faire rembourser par la famille comme le feront les communistes chinois. Comme en France, on n'a pas de poudre, mais on a des idées on essaie tout. D'abord, la méthode manuelle, le sabre et la baïonnette ; mais malgré l'ardeur et le zèle des suppôts de la Révolution, le rendement est minable, comme pour la guillotine... Alors, on fait intervenir les cerveaux du pays pour imaginer un avenir radieux et rentable aux fils de la Veuve... On essaie la poudre explosive, mais la maîtrise technologique n'est pas encore là : on est loin des charniers à canon de la Grande Guerre. On essaie alors le gaz, résultat identique, malgré le zèle des physiciens de la Révolution, le savoir-faire technique manque pour rentabiliser ces armes. D'autres profiteront de l'expérience… On tente aussi le poison, sans succès encore. Puisque la physique est incapable de servir, on se applique le bon sens: ce sont les « noyades » de Nantes, où l'on coule des navires entiers pour noyer un maximum de personnes en même temps. Mais on perd le côté festif de la Révolution. Car on est là pour extraire le Christ de la Vendée et rayer la Vendée. Alors, on ajoute l'ignominie à la barbarie : ce sont alors les « mariés » de la Loire, où l'on associe par couple des vendéens, on les dénude, tête-bêche, et on les attache. On associe tout ce qui peut être le plus choquant : une sœur et un prêtre que l'on noie ensemble pour faire la fête ! Voilà le VRAI visage de la Révolution... le VRAI visage de la République... C'est ce visage qui surgit quand il s'agit de sauver la République...

Oui notre pays est malheureusement divisé. Et cette division passe au plus profond de son âme ; elle date de cette époque ! La France ne trouvera pas la paix tant qu'elle ne reconnaitra pas cette faute capitale commise contre Dieu et ses propres enfants. Voir la chronique du 25 septembre.

  • le 28 février 1858 : onzième apparition de Notre Dame à sainte Bernadette.

Plus de mille personnes assistent à l'extase. Sainte Bernadette prie, baise la terre et rampe sur les genoux en signe de pénitence. Elle est ensuite emmenée chez le juge Ribes qui la menace de prison.

  • le 28 février 2002 : la loi, ce n'est pas pour l'ONU.

Le Haut Commissaire aux Réfugiés de l'ONU annonce que le HCR n'étendra pas l'enquête sur les cas d'abus sexuels sur des enfants pratiqués à la chaîne par ses propres membres. De la nourriture et des soins étaient ainsi, depuis longtemps, échangés contre des faveurs sexuelles sur les enfants des gens venus trouver assistance auprès du HCR en Afrique.

  • le 28 février 2012 : le 11 novembre devient journée d'hommage aux morts pour la France.

Le Parlement adopte, par un vote de l'Assemblée nationale, la loi instaurant le 11 novembre, jour de l'armistice de 1918, comme une journée en hommage à tous les morts pour la France, quelle que soit la guerre.

  • le 28 février 2013 : la renonciation du pape Benoit XVI devient effective.

Dès le lendemain le système bancaire du Vatican est réintroduit dans le système Swift de carte bleue. Pendant 39 jours le Vatican a perdu plus de 1,17 milliard d'euro.

Le pape démissionne et les banques reviennent !


"Le Grand Orient fait partie des institutions de la République"

Pas besoin d'être complotiste, c'est une affirmation dans Le Monde de Pierre Mollier, conservateur du musée de la franc-maçonnerie que François Hollande a visité aujourd'hui :

595546f5121d477c0af181089cf7736d2c1d8892"[...] Le Grand Orient fait partie des institutions de la République et il a donc toujours été consulté. Mais ces liens se sont renforcés à partir des années 1980 et depuis le début des années 2000, notamment à l’initiative d’un Grand Maître comme Alain Bauer. Jacques Chirac, dont le grand-père était un frère très actif du Grand Orient, a été particulièrement attentif aux analyses proposées par les obédiences maçonniques. Il a multiplié les rencontres avec les responsables de la maçonnerie française.

Sur quels dossiers la franc-maçonnerie a-t-elle pesé récemment ?

Aujourd’hui, la franc-maçonnerie intervient surtout sur les questions de société. Elle a par exemple été très présente dans les débats sur la bioéthique. Par un heureux concours de circonstances, le Grand Orient a parmi ses membres des scientifiques pointus sur ces questions. En s’appuyant sur eux et sur le travail, plus philosophique, de ses loges, il a pu proposer aux pouvoirs publics des améliorations à la loi, notamment sur la difficile question de l’encadrement de l’expérimentation.

Il y a aussi eu le débat sur l’interdiction du voile à l’université…

Oui, les francs-maçons ont été sensibles à l’approche rigoureuse de la laïcité défendue par Manuel Valls - lui-même ancien membre du Grand Orient - et l’ont soutenu sur cette position. Un thème comme la laïcité, qui pouvait apparaître dans les années 1980 comme allant de soi, ou en tout cas qui était moins l’objet de débat, est revenu au centre des préoccupations des Français.

Un membre du Front national peut-il être franc-maçon ?

Non, c’est d’ailleurs une des rares conditions d’exclusion du Grand Orient de France. On considère que les valeurs de l’extrême droite sont contraires à l’humanisme qui est au cœur de la philosophie maçonnique.

Y a-t-il des francs-maçons parmi les candidats à l’élection présidentielle ?

A ma connaissance, il n’y a pas de maçon actif parmi les prétendants à l’Elysée."


Le faux prétexte idiot du combat contre le fascisme

A l'occasion de la sortie d'Un Roi immédiatement, Marin de Viry, écrivain et critique littéraire, a accordé un entretien au FigaroVox. L'écrivain et critique littéraire revient sur la crise politique qui traverse le pays. Extraits :

51PlR7EMIbL._SX316_BO1,204,203,200_"[...] C'est donc non seulement une épreuve patriotique, mais aussi une épreuve intellectuelle et politique. Intellectuelle, parce que le faux prétexte idiot du combat contre le fascisme - c'est-à-dire contre le Front National - a commencé en 1981 et que ça suffit, trente-cinq ans plus tard, de voir encore à l'œuvre cette procédure de mise en accusation automatique, que les «jeunes» appellent le «point Godwin» (si tu dis le premier le mot «facho» à ton adversaire, tu as gagné) qui a permis à la gauche de remplacer le principe de réalité par l'invective, et a substitué à la responsabilité une sorte de droit à faire n'importe quoi pourvu que l'intention soit sentimentalement correcte. Si je pleurniche au nom des plus hautes valeurs de l'homme, je suis exempté d'action et encore plus de résultat. A contrecourant des intérêts profonds de la société, une certaine gauche - pas la bonne, qui existe et que je vénère - a lutté de toutes ses forces contre l'intelligence, et donc l'altruisme véritable, avec probablement une forme de bonne conscience qui aggrave son cas. Résultat: Marine Le Pen est à nos portes. Bravo les gars! [...]

Votre appel au roi est-il une esthétique, une nostalgie ou le fruit d'un raisonnement abouti?

Je suis parti d'une expérience personnelle. Lors de mes études, à la demande de mes professeurs - notamment à Sciences Po - et d'une certaine partie de mon entourage, j'ai beaucoup étudié, admiré, intégré, compris l'idéal républicain. Je le trouve toujours aussi admirable. Simplement, je trouve plus complet et plus haut, en définitive, l'idéal monarchiste que j'avais en tête, dans ma prime jeunesse, par transmission et par ambiance familiales. La monarchie est associée dans mon esprit à ce qui était valorisé chez les hommes et les femmes dans une certaine conception de la société. La politesse, une forme de curiosité, une tournure d'esprit, une différenciation sexuelle qui favorise l'altérité sans attenter à l'égalité en dignité des deux genres, l'amour du bien commun, et la préférence pour l'harmonie, dont Balzac disait qu'elle était la poésie de l'ordre. Ces impressions ont repris le dessus. Je les crois humaines plus que personnelles. Je ne crois pas exprimer une différence, en préférant la monarchie, mais une forme d'évidence de la complétude, justement, d'une société qui a à sa tête un roi couronné, et un roi sacré. [...]"


Il y a 40 ans : la prise de Saint-Nicolas du Chardonnet


(re)Prise de Saint Nicolas du Chardonnet par aymon

Tandis que les rumeurs sur une régularisation canonique de la FSSPX se font insistantes, Edward Pentin, correspondant à Rome pour le NC Register, nous informe que Mgr Pozzo, secrétaire de la Commission Ecclesia Dei et chargé du dialogue avec la FSSPX, a été reçu en audience privée par le pape François.

Par ailleurs, la FSSPX a récemment acheté le complexe de Santa Maria Immacolata all'Esquilino, non loin du Latran. L'église néo-gothique, construite à la fin du XIXe et au début du XXe siècle pour les Frères de la Charité, est flanquée d'un bâtiment occupé ces dernières années par une école élémentaire et un collège. Selon les informations du Foglio, cela deviendra un centre d'étude et, dans une deuxième phase, selon toute vraisemblance, le siège de la Maison générale de la FSSPX. Le Pape serait intervenu directement pour accélérer le tout, via Mgr Guido Pozzo. Mgr Bernard Fellay (Supérieur de la FSSPX), Mgr Alfonso de Galarreta et l'Assistant Général l’abbé Alain Nely, auraient séjourné du 17 au 20 janvier, à Sante Marthe. La Supérieure des Sœurs de la Fraternité a également assisté aux pourparlers. L’abbé Nely est la personne chargée de finaliser l'achat du complexe.


Campagne de Carême des 40 Days for Life

De Daniel Hamiche sur Riposte catholique :

Capture d’écran 2017-02-27 à 19.09.58"La nouvelle campagne de Carême des 40 Days for Life va commencer le 1er mars, mercredi des Cendres, et se poursuivra jusqu’au 9 avril, dimanche des Rameaux. Pendant ces quarante jours, des vigiles vont se succéder, jour et nuit, 7 jours sur 7, devant des avortoirs dans plus de 340 villes aux États-Unis et dans 30 autres pays. Le but est de sensibiliser sur le « crime abominable » de l’avortement et de le faire reculer, et d’aider les femmes en difficultés à accueillir la vie donnée par Dieu.

Lancée en 2007, ces 40 Days for Life célèbrent, en quelque sorte, leur dixième anniversaire mais, aux États-Unis, dans un contexte tout particulier cette année avec l’arrivée au pouvoir d’un Président et d’un nouveau gouvernement qui soutiennent la défense de la vie.

Comme pour le Carême de l’an passé, Americatho/Riposte Cathlique vous invitent à vous associer à ces 40 Days for Life du 1er mars au 9 avril, en priant chaque jour une dizaine de Je Vous salue Marie aux intentions des 40 Days for Life. Accepterez-vous, cette année encore, de rejoindre notre “chaîne de prière de l’arrière” ? Merci de nous le signaler en répondant ici ! Comme pour les années précédentes, les membres de notre chaîne de prière recevront chaque jour une lettre d’information – adressée gracieusement… – comportant l’intention spécifique du jour, une citation de la Sainte Écriture et les informations saillantes que auront pu être collectées sur le déroulement de la campagne en cours."


Faisons gagner nos convictions

Capture d’écran 2017-02-27 à 18.56.52Chers amis,

Un grand merci à tous pour votre mobilisation. En 10 jours, nous avons déjà pratiquement atteint 40% de notre objectif en réunissant près de 20 000 euros pour mener des campagnes législatives visant à faire battre les candidats les plus hostiles à nos convictions. Nous allons être en mesure de remettre les principes non négociables au coeur du débat public.

Un grand merci à tous ceux qui ont déjà participé.

Pour ceux qui n'auraient pas vu mon précédent message, voici de quoi il s'agit:

Pour promouvoir les principes non négociables dans le débat public, nous envisageons de cibler une dizaine ou une douzaine de circonscriptions législatives où seront candidats les plus hostiles de chaque parti aux principes non négociables (par exemple Erwan Binet pour le PS, Nathalie Kosciusko-Morizet pour LR ou Sophie Montel pour le FN).

Plusieurs d'entre vous m'ont également proposé de s'engager sur le terrain pour ces campagnes. Vous pouvez en faire autant en cliquant ici. N'oubliez pas que l'une de nos forces principales réside dans notre efficacité collective sur internet et les réseaux sociaux. Par conséquent, même si, dans votre circonscription, le candidat sortant est pro-famille, cela vaut la peine de vous faire connaître, pour qu'ensemble, nous fassions battre nos cibles nationales.

Par ailleurs, plusieurs lecteurs m'ont également fait remonter des informations sur certains candidats hostiles à la loi naturelle, dont nous ne connaissions pas nécessairement les prises de position. Si, autour de chez vous, certains candidats sont particulièrement nuisibles, n'hésitez pas à nous les signaler ici. Nous ne déterminerons définitivement les "cibles" qu'après les présidentielles (ce qui n'empêche pas de commencer les campagnes avant…), car, au cours de la campagne, certains peuvent se révéler - en bien comme en mal. Et nous sommes donc particulièrement intéressés d'avoir le plus grand nombre de cibles potentielles.

Un ami du Salon beige, emballé par cette idée, nous a proposé de doubler tous vos dons jusqu'à 50 000 euros.

Pour plus de détails, visitez notre page dédiée à l'opération. Encore un effort et nous allons atteindre cet objectif de 50 000 euros!

Merci de votre aide et de votre soutien !

Guillaume de Thieulloy
Directeur du Salon beige

Pour participer à cette campagne, vous pouvez : 
  1. Nous soutenir financièrement 🖜
  2. Signaler les candidats hostiles 🖜
  3. Militer sur le terrain 🖜 
  4. Militer sur internet 🖜

Titus Zeman, martyre du communisme

Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

Unknown-19"Le pape a autorisé aujourd’hui la promulgation de plusieurs décrets de la congrégation pour les causes des saints.

Le plus important est celui qui reconnaît le martyre de Titus Zeman (1915-1969).

Titus Zeman est un Slovaque qui devint salésien et fut ordonné prêtre en 1940. En 1950 il commença à organiser le passage clandestin de jeunes salésiens vers Turin pour leur permettre de compléter leurs études. A la troisième expédition il fut arrêté. Jugé comme traître à la patrie et espion du Vatican, il encourrait la peine de mort, mais on lui reconnut des circonstances atténuantes et il fut condamné à 25 ans de prison.

Il en sortit en 1964, très affaibli par les mauvais traitements qu’il avait subis, et mourut cinq ans plus tard, en odeur de sainteté."


Face à Emmanuel Macron, l'union des droites ?

Ivan Rioufol plaide pour l'union FN-LR contre Emmanuel Macron :

"Reste que l’affaiblissement de Fillon, s’il devait se confirmer, oblige les droites à examiner dès à présent l’hypothèse interdite de leur rapprochement. La question qu’elles ont à se poser est : qu’est-ce que nous ne voulons plus ? Et la réponse est : … de tous ces gens qui veulent brader la France. Les Républicains et le FN ont un même adversaire en la personne de Macron, faux nez de la gauche en déroute. Si ce dernier devait affronter Marine le Pen au second tour, beaucoup d’électeurs LR reporteraient leurs voix sur le FN, en dépit de son programme économique. Mais cet apport serait probablement insuffisant sans des ralliements de personnalités capables d’enrichir, de rééquilibrer, de tempérer un futur gouvernement. Je vois bien ce que cette éventualité a pour l’instant d’improbable, même si Marine Le Pen a lancé ce matin, au Mont Saint Michel, un "appel à l’unité des Français". Mais il s’agit de savoir ce que l’on veut : une nation normalement souveraine, ou une auberge espagnole. J’observe que Fillon est notamment venu hier au secours de la présidente du FN, dont la venue à Nantes a été le prétexte aux violences fascistes de l’extrême gauche : le candidat a en effet dénoncé un climat de "quasi guerre civile". Ce lundi dans Le Figaro, Laurent Wauquiez, vice-président de LR, défend des valeurs que ne renierait pas le FN : "Le travail, l’effort, l’identité de notre pays, le refus du communautarisme". Wauquiez voit Macron comme quelqu’un "qui n’aime pas notre histoire (…). Il n’aime pas notre identité (…) Il n’aime pas la famille, il n’aime pas la nation. Une victoire de Macron serait un hold-up". En cas de duel Macron-Le Pen, Wauquiez oserait-t-il rallier Le Pen ?..."


Dissocier résolument dans toutes les instances la politique familiale de la politique sociale

Suite à la publication du Livre Blanc de Famille et Liberté (évoqué ici), Le Salon Beige a interrogé le Président de cette association, Claire de Gatellier.

6a00d83451619c69e201b7c8d60ac8970b-250wiPourquoi un Livre Blanc sur la famille, alors que La Manif Pour Tous semble occuper ce "créneau" ?

Le Livre Blanc pour une Nouvelle Politique Familiale est la conjonction de plus de vingt années d’observation, d’études et de réflexion de l’association Famille et Liberté sur la place de la famille dans la société française et le rôle de la politique familiale, en France et ailleurs, et de l’actualité politique de notre pays qui réclame, maintenant, un projet de société solidement ancré dans la réalité.

La Manif Pour Tous occupe un créneau différent du nôtre, celui des grands rassemblements et événements populaires en quoi elle excelle, et son action, suscitée par la loi Taubira, est dirigée pour l’essentiel vers les questions du mariage homme/femme, de la GPA et autres problèmes de filiation essentiels pour l’enfant. C’est pourquoi nous avons, d’un commun accord, peu abordé ces questions dans notre Livre Blanc.

Nous nous sommes placés sur le terrain plus large de la politique familiale dans son ensemble. Pourquoi est-elle nécessaire au pays ? : la famille contribue-t-elle à l'épanouissement des personnes et à l'accomplissement des personnalités? Est-elle pour la nation source de prospérité économique et condition de son équilibre démographique? Favorise-t-elle la solidarité et la sociabilité ? Sur quels critères incontournables doit-elle reposer pour porter ses fruits ? Comment cela se passe-t-il dans les pays où existe, ou bien ou n’existe pas, une politique familiale ? Etc.

Avez-vous des retours, positifs ou négatifs, des personnalités, notamment politiques et ecclésiastiques, qui ont été destinataires du document ? Comptez-vous communiquer sur ces réponses ?

Notre document est paru début novembre et nous sommes encore dans la phase de prise de contact individuelle avec un certain nombre d’ecclésiastiques, d’homme politiques ou de journalistes. Il est encore trop tôt pour faire un bilan complet d’autant que nous attendons d’avoir la liste des candidats aux élections législatives pour communiquer auprès d’eux.

Néanmoins les premiers retours sont bons, même si le monde médiatique et politique ne semble s’intéresser actuellement qu’aux démêlés partisans entre quelques figures de proue et que l’ambiance n’est pas vraiment à aller sereinement au fond des choses. C’est le propre des campagnes électorales mais c’est aussi le meilleur moment pour essayer de peser sur quelques promesses…

Les réponses vont du cercle d’étudiants qui prend le Livre Blanc comme sujet d’étude commun, jusqu’à l’ecclésiastique qui le fait suivre à un cardinal, en passant par les encouragements d’un haut fonctionnaire européen (honoraire malheureusement) et de nombreux membres actifs de partis politiques qui le répandent largement auprès de leurs cadres.

Ne serait-il pas opportun, aussi, de proposer aux élus, clé en main, des propositions de loi pour mettre en œuvre ces propositions ?

Faire des propositions de loi clé en main est une bonne idée en soi et il n’est pas dit que nous n’y venions pas. D’autres sont plus spécialisés que nous pour le faire, comme par exemple les Juristes pour l’Enfance mais nous sommes prêts à participer à ce genre d’entreprise si nécessaire. Christian Vanneste, à l’époque où il était président de Famille et Liberté, a déposé, avec quelques autres députés, une proposition de loi pour protéger les enfants contre la pornographie sur internet (2011). Sans succès hélas.

Mais on peut observer premièrement que la France souffre déjà d’une inflation législative maintes fois dénoncée et qui fait partie de cette lourdeur technocratique et bureaucratique qui nous ruine et nous paralyse. Le législateur légifère sans cesse à partir de cas particuliers et rentre ensuite dans tous les détails de la vie des Français.

Les lois se contredisent les unes les autres et le Conseil d’Etat ou le Conseil constitutionnel finissent par être les arbitres, souvent difficiles à comprendre, de la vie politique. Quand ce n’est l’ONU ou l’Europe qui décide à notre place. Avant de rédiger de nouvelles lois, il faudrait commencer par en supprimer ou dépoussiérer certaines de leurs strates successives.

Deuxièmement, de nouvelles lois doivent obligatoirement être préparées et accompagnées par un changement culturel profond. Nos adversaires ne s’y sont pas trompés qui ont préparé loin en amont dans les Loges et autres officines leur plan sans faille de démolition de la famille. Les lois se sont ensuite enchaîné les unes après les autres tout naturellement selon une logique toute gramscienne.

Une application pratique ? Le décret Azoulay sur la classification des films pornographiques :

L’article 227-24 du code pénal punit de trois ans d’emprisonnement et 75 000€ d’amende la fabrication, la diffusion ou le commerce de messages par quelque support que ce soit « à caractère violent ou pornographique lorsque celui-ci est susceptible d’être vu par un mineur. La loi est donc bien là, depuis des décennies. Mais elle ne précise pas ce qu’est un message ou un film pornographique. Qui va décider d’autoriser un film aux mineurs ou non ? Qui va définir ce qui relève du porno ou de la création artistique » ? Le ministre de la culture, assisté d’une commission ad hoc. Hier, Fleur Pellerin, aujourd’hui madame Azoulay. Et lorsque celle-ci, est lasse de se voir parfois désavouée par la justice saisie par des associations comme Promouvoir qui prend la défense des enfants, elle signe un simple décret, comme celui du 8 février dernier, pour assouplir la loi en jouant sur les définitions. Et en prime, son conseiller dans cette affaire, Jean-François Mary, est nommé en même temps membre du CSA.

Dans une société convertie à la culture des « droits sexuels et reproductifs » où l’Education nationale elle-même veut enseigner aux enfants dès le primaire l’art et la manière de « jouir sans entraves » tout en décidant de son sexe, toute proposition de loi sera vaine si elle ne s’accompagne d’une reconquête culturelle intelligente, raisonnée, lucide, courageuse et ferme. Cette reconquête est en marche ; Famille et Liberté comme le Salon Beige en sont des acteurs.

Quel est, selon Famille et Liberté, la première chose à faire en matière de politique familiale ?

Revenir au réel. Convenir que l’homme n’est pas un enfant trouvé, ne dépendant de personne et n’ayant aucuns liens. L’homme naît d’un homme et d’une femme et il a besoin d’une famille, d’abord absolument pour grandir mais ensuite tout au long de sa vie.

La famille est donc constitutive de la personne humaine. Il faut symboliquement le réaffirmer en dissociant résolument dans toutes les instances politiques et réglementaires la politique familiale de la politique sociale. Portefeuilles ministériels distincts et Code de la Famille distinct du Code d’action sociale… La politique familiale n’a pas pour but d’aider une catégorie sociale en difficulté mais de faire vivre la nation en confortant et soutenant le tissu familial.

Revenir au réel c’est aussi laisser les femmes être des femmes, ne pas leur confisquer leur féminité en prétendant faire leur bonheur malgré elles. Le féminisme tel qu’il est prôné, c’est bon pour les femmes riches belles et jeunes qui s’en sortiront toujours. Mais les autres ? Rêvent-elles vraiment toutes de se suffire à elles-mêmes ?

Encourager les hommes à reprendre leur place. Pas de pères, pas de civilisation disent les psychologues. A trop dévaloriser l’homme, le père, on voit que, faute d'avoir des hommes à qui s'identifier, les jeunes en quête de virilité restent de perpétuels adolescents ou, pire, deviennent des proies idéales pour les recruteurs du Djihad.

Foin des théories du genre, à l’école et ailleurs. Elles sont tellement contraires au réel qu’on est obligé de multiplier les lois, décrets, circulaires, quotas, tracasseries sans nombre pour faire rentrer dans la tête et la vie des gens qu’une femme et un homme c’est rigoureusement pareil et qu’une femme est beaucoup plus heureuse à conduire une pelleteuse qu’à élever des enfants.

Ne volons pas leur enfance aux enfants. Ce ne sont pas des adultes miniatures et il ne faut surtout pas les laisser, au nom des « prétendus droits sexuels des enfants » avilir et blesser gravement par une éducation sexuelle à l’école aujourd’hui perverse si l’on n’y prend garde, et par une exposition à la pornographie et à la violence.

Pour le côté plus technique d’une politique familiale, nos propositions se résument à cinq mots : subsidiaire, universelle, cohérente, stable et positive. On trouvera le détail de ces cinq critères dans le Livre Blanc Pour une Nouvelle Politique Familiale.


Loi Taubira, famille, euthanasie : "la cohérence est du côté de Marine Le Pen"

Marion Maréchal Le Pen a été interrogée sur Atlantico. Extraits :

Images-8"[...] Je suis convaincue que l'offre gagnante dans ce pays correspond plus ou moins à l'alchimie réalisée par Nicolas Sarkozy. La dernière fois qu'il y a eu un véritable engouement pour un candidat, quoi qu'on en dise, au cours de ces dernières décennies, c'est quand même Nicolas Sarkozy en 2007. Cela ne l'a pas empêché de décevoir mais quelque chose c'était passé. C'est une alchimie qui a réussi à mettre dans un même horizon, à la fois, les classes populaires, la France périphérique, les classes moyennes et, la droite bourgeoise conservatrice, sans que cette désignation ne soit péjorative. Nicolas Sarkozy est parvenu à emmener sur un même chemin deux classes sociologiques qui ne se fréquentent pas forcément, qui n'ont pas les mêmes aspirations mais qui arrivaient à se retrouver dans la vision de la France qu'il portait. Et je crois que c'est le chemin qu'a pris aujourd'hui Marine Le Pen, c’est-à-dire d'arriver à parler à ces deux France là, à leur offrir une vision de la France dans laquelle ils peuvent se reconnaître. [...]

Patrick Buisson avait notamment indiqué qu'une part des électeurs de Jean Luc Mélenchon et de François Fillon pourraient voter Marine Le Pen. Que faites-vous pour donner une réalité à ces propos ? L'alliance des droites rêvée par Patrick Buisson est-elle un objectif pour vous ? Celle-ci est-elle en cours ?

Marine Le Pen a déjà donné de nombreux signaux, elle peut difficilement en faire plus. Notamment en expliquant que son gouvernement ne serait pas exclusivement frontiste, que le premier ministre ne serait pas nécessairement issu du Front national. Je plaide, et je ne suis pas la seule, c'est une idée qui a pris corps, pour anticiper une nécessaire alliance avec un certain nombre de candidats issus du courant de la droite nationale conservatrice, au cas par cas, pour les législatives. Il est vrai qu'il y a un certain nombre de personnalités issues de la société civile, ex-politiques ou politiques, avec qui nous partageons beaucoup. Après, pour autant, le terme "union des droites" est assez obsolète en raison de ce qu'est devenue la droite en France aujourd'hui. L'UDI est alliée aux Républicains, et nous avons constaté un reniement de cette droite, avec une soumission totale à la gauche culturelle. À ce titre, je ne vois pas l'utilité politique de s'allier avec une fausse droite. Donc, s'allier au plan national, non, mais en revanche, s'allier avec des personnalités, oui, bien évidemment. Je souhaite que cela puisse se faire et cela se ferait d'autant mieux si Marine Le Pen était confrontée à la gauche au 2e tour. Notre ambition est de convaincre tout cet électorat que l'on peut qualifier de "droite hors les murs", qui sont un peu les abandonnés du RPR des années 80, que la véritable alternative qui se présente à eux n'est pas François Fillon, mais le Front national. C'est l'enjeu.

Marine Le Pen a indiqué son souhait de revenir sur la loi Taubira, en indiquant " je suis pour que la filiation soit réservée à un papa et une maman". Alors que MLP était plutôt en retrait vis à vis de la Manif pour tous, cette déclaration a-t-elle eut un effet ? Constatez-vous, sur le terrain, un report des électeurs catholiques de François Fillon, vers Marine Le Pen ?

C'est à mon avis un débat qui a été largement sur-interprété. Le seul débat qui a eu lieu en interne est celui de la participation à la Manif pour tous. Je rappelle qu'à l'époque, c'est Frigide Barjot qui refusait la parole au Front national, alors qu'elle la donnait au moindre conseiller régional socialiste. Cela a été vécu comme une véritable injustice et il est vrai que cela était compliqué pour Marine Le Pen, dans sa stature présidentielle, de ne pas avoir de parole. Ce qui ne nous a pas empêché de voter à l'unanimité en bureau politique le retrait de la Loi Taubira et de réaffirmer, chaque fois que Marine Le Pen en a eu l'occasion, qu'elle abrogera cette loi, qu'elle luterait contre l'extension de la PMA, qu'elle s'opposerait fermement à la gestation pour autrui, et qu'elle s'opposerait même à ce qui a été mis en place par la CEDH, c’est-à-dire la circulaire Taubira sur la retranscription obligatoire des enfants nés de GPA à l'étranger. Je ne vois pas comment nous pourrions être plus clairs sur ces sujets. De la même manière que le Front national a été seul à voter contre la nouvelle version de la loi Clays-Léonetti sur l'euthanasie. Sur tous ces sujets, la cohérence est du côté de Marine Le Pen. C'est ce que nous constatons d'ailleurs puisque le Front national est le premier parti chez les catholiques de France depuis les régionales. Cet électorat nous résistait, mais est venu vers nous suite aux renoncements de la droite. De plus, Marine Le Pen a une politique familiale très ambitieuse, sur le retour de l'universalité des allocations familiales tout en mettant en place la priorité nationale, sur la facilitation de la transmission du patrimoine, retour de la liberté sur le congé parental, la baisse de l'IR qui bénéficiera directement aux familles. [...]"


Des partisans de l'avortement et du contrôle des naissances en séminaire au... Vatican

Capture d’écran 2017-02-27 à 09.18.01L'Académie Pontificale des Sciences organise un Séminaire sur l'extinction biologique («Comment sauver l'environnement naturel dont nous dépendons») à Rome du 27 février jusqu'au mercredi 1er mars. Plusieurs experts et journalistes avaient demandé au président de l'APS, Mgr Marcelo Sanchez Sorondo, la possibilité de participer, mais tous se sont vu opposer un refus ferme: «La conférence est réservée aux orateurs et à leurs invités»...

Pourquoi cette discrétion ? Parce que sont invités les principaux représentants du mouvement anti-nataliste (programme). 

Comme John Bongaarts, vice-président du Population Council, qui, il y a tout juste un an, le 24 février 2016, écrivait dans la revue Nature que l'augmentation de la population dans les régions les plus pauvres du monde «est un obstacle à leur développement qui rend difficile d'être optimiste quant à leur avenir». Plus encore: la croissance de la population «a des effets négatifs galopants sur la société et sur les écosystèmes de la planète». John Bongaarts prononcera son exposé au Vatican le mardi 28 février, titre: «Population: situation actuelle et perspectives futures».

Il y aura aussi un autre champion de l'anti-natalisme, Mathis Wackernagel, «inventeur» de l'empreinte écologique. L'empreinte écologique est définie comme

«la superficie de terres et d'eau dont une population humaine a besoin pour produire les ressources qu'elle consomme et pour éliminer ses déchets».

C'est un moyen subtil pour établir scientifiquement l'idée que le monde est surpeuplé. Si nous voulons sauver la planète, il faut contrôler les naissances...

Mais les plus fortes protestations des associations pro-vie ont été enregistrées à propos de la présence au séminaire du Vatican du biologiste américain Paul Ehrlich qui parlera sur le thème «Sixième extinction». Ehrlich est le principal penseur de la propagation du mythe de la surpopulation, avec son livre The population Bomb, si bien que pour lui, stérilisations et avortements forcés sont des thérapies évidentes. 

(via Benoît-et-moi).