Les antiracistes sont ainsi les complices de l'islamisme.
- ces enseignantes et ces élèves qui, à la sortie du collège, se font bombarder de canettes de coca aux cris de «putes! salopes!». Leur point commun? Elles avaient mis une jupe.
- ces jeunes dealers, des barbus en sweat et tee-shirt qui viennent expliquer que le fait de vendre de la drogue ne pose pas de problème en dépit de leur croyance religieuse car «les consommateurs ne sont pas musulmans. Si la drogue tue, elle ne tue que des mécréants. Ce n'est pas contraire à notre religion».
- Marginal en 2000, «le refus de manger de la viande qui n'était pas halal était devenu la norme en 2013, lorsque j'ai quitté le collège Izzo».
- De même que la pratique du ramadan. Si en 2000, la moitié de ses élèves le respectaient, «en 2013 nous étions à 90% ou 95%».
- ces élèves, qui, le matin sont soudain plus nombreuses à arriver voilées devant l'établissement. «La plupart se découvrent avant d'arriver à la porte. Mais certaines tentent de forcer le passage, de retarder au maximum le moment d'enlever leur voile, de pénétrer d'un mètre, de deux mètres, dans l'enceinte du collège. Toujours grignoter du territoire. C'est une bataille pied à pied».