Un enseignant suspendu pour avoir appelé « fille » une élève se considérant comme garçon
16 novembre 2017
Lu sur Réinformation.tv :
"Joshua Sutcliffe, 27 ans, a été convoqué par la direction de son école publique secondaire dans l’Oxfordshire, en Angleterre, et suspendu, pour avoir lancé « Beau travail, les filles » à une adolescente et son amie en voyant qu’elles travaillaient d’arrache-pied sur des exercices de mathématiques. L’adolescente en question, une transgenre qui se dit garçon, avait rectifié – et le professeur de mathématiques s’était excusé sur-le-champ de l’avoir « mal genré ». Mais la mère de l’enfant s’étant plainte aux responsables de l’école, Sutcliffe a été appelé à s’expliquer six semaines plus tard, une enquête est en cours et il risque désormais l’exclusion pure et simple, et donc de perdre son emploi (et à la clef, son salaire de 33.750 euros par an).
Il se trouve que Joshua Sutcliffe ne se cache pas d’être chrétien ni d’avoir quelques difficultés à utiliser des pronoms masculins à l’égard de l’élève. Cependant, aucune instruction officielle n’avait été donnée sur la manière de s’adresser à l’élève, et dans un esprit de « respect et de tolérance », il avait décidé avec d’autres membres du corps enseignant de s’adresser à lui au moyen de son prénom masculin choisi.
Sutcliffe a décidé de parler de l’affaire dans la presse pour annoncer notamment qu’il doit se rendre à une convocation disciplinaire formelle cette semaine où il devra répondre d’une accusation de faute professionnelle pour avoir « mal genré » son élève. Selon le Mail on Sunday une accusation supplémentaire porte sur le fait qu’il s’est adressé à l’élève par son prénom plutôt qu’en se référant à lui par le pronom « il » ou « lui ».
Le jeune professeur, diplômé de troisième cycle en mathématiques et habilité à enseigner grâce à un diplôme obtenu à l’université d’Exeter, s’est dit bouleversé par la situation : « C’est le politiquement correct devenu fou », a-t-il tempêté.
Il n’avait aucune idée, a-t-il expliqué, de ce qui lui pendait au nez lors de la réunion de parents d’élèves qui s’est tenue la semaine dernière, à l’issue de laquelle le principal de l’école lui a annoncé qu’il faisait l’objet d’une plainte transgenre. Il n’aurait pas le droit d’enseigner tant que l’affaire n’aura pas été réglée. En attendant la séance disciplinaire de cette semaine, Sutcliffe a été sommé de venir travailler dans la salle des professeurs, avec interdiction totale toutefois de parler de ce qui lui arrive avec ses collègues.
L’origine de la plainte pourrait bien être double. Les parents de l’élève transgenre ont insisté pour dire qu’ils étaient pour la liberté d’expression mais qu’à leur avis, Sutcliffe avait fait de leur enfant sa tête de Turc et qu’il avait multiplié injustement les colles pour mauvaise conduite à son encontre. L’enquête a permis de vérifier qu’il n’en était rien. Et c’est bien la plainte pour l’avoir « mal genré » qui a été maintenue.
« J’ai été totalement choqué d’apprendre de la part du principal que je faisais l’objet d’une enquête. Je ne savais pas ce qui m’arrivait. C’était surréaliste, kafkaïen. J’ai fait observer qu’un seul incident était en cause, et que je m’étais excusé. Mais il a insisté pour faire poursuivre l’enquête… Il m’a semblé que l’école essayait de m’obliger à adhérer à sa politique libérale, gauchiste », a déclaré le professeur à la presse. [...]"
ce n'est ni kafkaien, ni surréaliste, c'est totalement fou pour ne pas dire c'est décadent.
Rédigé par : estebe | 16 novembre 2017 à 09:48
Qu'il change d'école dès que possible!
Cet établissement ne le mérite pas... il trouvera une bonne place ailleurs où ses compétences et ses qualités personnelles seront reconnues.
Rédigé par : Patricia | 16 novembre 2017 à 09:53
Il suffit de nommer les élèves par leur nom de famille tout court. Et s'il y a une fratrie, Machin n°1, Machin n°2 etc
La dictature LGBT et ses provocations vont induire un retour de flamme.
Rédigé par : toto | 16 novembre 2017 à 09:59
Le politiquement correct tourne au délire fasciste ! Ce sont bien tous ces tarés qui imposent leurs caprices et leurs délires, et en plus en refusant absolument la moindre discussion...
L'occident et plus particulièrement les pays anglo-saxons deviennent cinglés et s'autodétruisent ! Il faut se réveiller et réagir !
Rédigé par : Irishman | 16 novembre 2017 à 10:11
Au Fou !! nous vivons une époque formidable !!!! la fin est proche.
Rédigé par : toni | 16 novembre 2017 à 10:25
TARE !!!!!
Et demain, qui trouvera un truc encore plus fou ?
par exemple, un élève qui se dit être "un chien" et qu'on n’appellerait pas mon "toutou" ?
Et un élève demandant à être mis dans un bocal parce qu'il se dit "poisson rouge" ?
Rédigé par : Avoc | 16 novembre 2017 à 10:31
Devra-t-il s'exiler en Hongrie?
Rédigé par : C.B. | 16 novembre 2017 à 10:33
A la naissance, on appelle fille un bébé doté d'un sexe féminin. Et garçon celui qui est doté d'un sexe masculin. Il arrive très rarement que le sexe soit indéterminé. Point barre.
Si Joshua Sutcliffe est condamné, il faudrait de même sanctionner le médecin de la clinique, ceux qui gèrent l'état civil etc....
D'autre part, cette fille qui se dit garçon et qui tient à cacher qu'elle a un sexe féminin, trompera donc consciemment les filles qui seraient susceptibles de tomber amoureuses d'elle. Ne devrait-on pas la réprimander elle aussi ? Et ses parents qui laissent faire ?
Rédigé par : Luc | 16 novembre 2017 à 11:03
En fait, ce n'était certainement qu'un prétexte. Car il était aussi pasteur dans une église évangélique à Oxford. Il y a quelques années, il avait organisé pour ceux qui le désiraient, un club biblique pendant les heures de déjeuner à l'école qui fut bien fréquenté. Mais il dut être fermé dernièrement pour avoir répondu à la question d'un étudiant sur le mariage, en lui expliquant que dans la Bible, il ne peut se faire qu'entre un homme et une femme, ce qui a provoqué une plainte contre lui pour homophobie.
Le paradoxe il est là, dans ce milieu d'enseignants, il est interdit d'enseigner la vérité ! Car c'est bien indiqué noir sur blanc dans la Bible que le mariage se fait entre un homme et une femme. Ce n'est pas de l'homophobie mais un constat. C'est un peu comme ce que dit Luc, une fille est une personne humaine ayant un sexe féminin. Après, qu'elle rêve d'être un garçon, c'est un autre problème. Il faut savoir appeler un chat, un chat. Et un chien, un chien. Même si le chien rêve d'être un chat.
Rédigé par : Monique | 16 novembre 2017 à 11:45
C'est à en faire kafka dans sa culotte cette affaire-là !
Rédigé par : C'est dingue ! | 16 novembre 2017 à 12:15
Le Frankistan fonce vers l'abîme mais je crains que l'Anglistan ne le dépasse.
Ces machins ne méritent pas d'exister.
Rédigé par : droidoteur | 16 novembre 2017 à 12:30
Quand je vois ça, je me dis que la charia, finalement...
Rédigé par : Eloi | 16 novembre 2017 à 13:03
Il paraît que, pendant que Constantinople tombait, les "zélites" de l'époque discutaient du sexe des anges... nous les avons dépassés depuis longtemps dans la bêtise...
Rédigé par : François | 16 novembre 2017 à 14:29
On peut comprendre pourquoi même des escargots "hermaphrodites" ont commencé à en avoir assez de cette planète régie par des hommes complètement déviants. Ils étaient un million à envahir (ou manifester ?) une plage à Saint-Pétersbourg en Floride :
https://www.youtube.com/watch?v=ZcrCHu5Lze0
Quelque chose ne tourne pas rond ! Et pour la terre c'est grave. La nature ne décidera-t-elle pas d'éradiquer l'espèce humaine comme elle a déjà essayé de le faire lors du déluge ?
Rédigé par : Willy | 16 novembre 2017 à 14:30
Que peut-on faire pour soutenir cet enseignant?
Rédigé par : Nolger | 16 novembre 2017 à 14:36
"c"est dingue", eloi,
vous n'élevez pas le niveau, car la dite charia est aussi déstructurante pour la psyché humaine que l'idéologie en question.
quant à vos allusions scatologiques "c'est dingue", gardez les pour vous, vous avez l'air d'un boulet, pas d'un bout en train.
il y a assez de perversité dans cette histoire sans devoir venir en rajouter.
Rédigé par : Oh! | 16 novembre 2017 à 15:58
Le politiquement correct est un nouveau totalitarisme, George Orwell l'a bien montré dans son roman "1984".
Entre ce totalitarisme et celui de l'islam, on est mal barrés avec les bras cassés qui nous gouvernent.
Rédigé par : Florian78 | 16 novembre 2017 à 16:46
La bêtise n'a pas de limite.
Attention, cela approche en France !
Rédigé par : JEJ | 16 novembre 2017 à 21:52
@JEJ: cela approche non seulement en France.
Rédigé par : Ego | 17 novembre 2017 à 21:54
La bêtise n'a pas de limite.
Attention, cela arrive en France !
Entre ce totalitarisme et celui de l'islam, on est mal barrés avec les bras cassés qui nous gouvernent.
Rédigé par : René FRITSCH | 19 novembre 2017 à 11:16