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La justice met en cause le vaccin contre l’hépatite B

Ce n'est pas une fausse nouvelle colportée par les complotantes anti-vaccin :

Unknown-18"Alors que le vaccin contre l’hépatite B vient d’être rendu obligatoire par la ministre de la Santé Agnès Buzyn, la 1re chambre civile de la cour d’appel de Bordeaux a jugé le 23 janvier dernier que le leader mondial des vaccins Sanofi Pasteur était responsable de la sclérose en plaque d’un ancien peintre-chaudronnier.

Après un long périple judiciaire, le tribunal de Bordeaux a finalement retenu que l’apparition de la sclérose en plaque chez le plaignant était survenue après trois injections du vaccin contre l’hépatite B, ainsi que l’absence d’un terrain génétique favorable. Vacciné en 1996, le patient a développé une sclérose en plaque quelques mois après, alors qu’aucun de ses parents proches ne souffraient de cette maladie.

[...] Si la plupart des études scientifiques démontrent qu’il n’y a pas de lien entre la sclérose en plaque et le vaccin contre l’hépatite B, certaines d’entre elles, recensées par l’OMS, sèment le doute. Une incertitude médicale qui impacte directement la population : seuls 69 % des Français font actuellement confiance aux vaccins, selon une étude de l’Ipsos. La sclérose en plaque est une maladie auto-immune, entraînant notamment une fatigue extrême et inhabituelle, des troubles de la mémoire, de la concentration ou encore des épisodes dépressifs. 90% des enfants de moins de 9 mois étaient vaccinés contre l’hépatite B en France en 2015."


Le courage de Mgr Aillet face au lobby LGBT

Suite à l'organisation de conférences sur « l’accompagnement des personnes à tendance homosexuelle » les 7 mars à Bayonne et le 8 mars à Pau, animées par l’abbé Louis-Marie Guitton, délégué épiscopal pour la famille du diocèse de Fréjus-Toulon et aumônier national, le lobby LGBT s'en prend à l’association Courage, qui propose un suivi spirituel aux personnes qui veulent être accompagnées. Le lobby totalitaire ne veut pas que des personnes homosexuelles demandent un accompagnement à l'Eglise.

C'est l'occasion de mieux connaître l'association Courage, qui regroupe des « catholiques attirés par les gens de même sexe » choisissant la chasteté, et dont les membres « sont guidés par des chapelains attentionnés qui leur proposent réconciliation et direction dans leur vie spirituelle ». Sur sa page d’accueil, on lit :

Imag0091"Vous éprouvez des tendances homosexuelles ou vous avez un proche dans cette situation et vous cherchez des réponses?

Courage est un apostolat de l’Eglise catholique: il se propose d’aider ceux qui sont attirés par les personnes du même sexe ainsi que leurs proches. Nous sommes la seule organisation de ce type dans l’Eglise catholique qui soit approuvée par le Vatican.

Sur notre site, vous découvrirez comment, à travers la vie de chasteté proposée à tout chrétien, vous pouvez passer de l’ “identité” homosexuelle à une personnalité plus complète dans la personne du Christ.

Chez Courage, vous trouverez des hommes et des femmes qui partagent vos interrogations. Vous les rencontrerez en-ligne ou face à face, au cours des Réunions de Chapitre, des conférences et des journées de rencontre.

Découvrez qui nous sommes. Naviguez sur notre site. Rencontrez-nous. Vous ne le regretterez sûrement pas.

“Quand vous avez été mis à l’épreuve, ce ne fut jamais au-delà des forces humaines. Et Dieu est fidèle: il ne permettra pas que vous soyez éprouvés au-delà de ce qui est possible pour vous. Mais avec l’épreuve il vous donnera le moyen d’en sortir et la possibilité de la supporter.”

1 Co 10,13 

Mgr Marc Aillet a réagi calmement hier sur Radio Lapurdi Irratia et Radio Présence Lourdes Pyrénées. Voilà qui tranche avec l'hystérie du lobby LGBT, mais c'est vrai que nous y sommes habitués.


Démographie et récession

16446457Selon trois chercheurs américains, les trois dernières récessions aux Etats-Unis ont été précédées d'une chute de la fécondité des femmes. Dans un article publié lundi par le National bureau of economic research [PDF, payant]  ils établissent une corrélation entre la fertilité des femmes et les cycles économiques. Daniel Hungerman, Kasey Buckles (tous deux à Université de Notre-Dame, dans l’Indania) et Steven Lugauer (de l’Université du Kentucky) ont étudié les trois dernières récessions et constatent que dans les six mois qui les ont précédées, le nombre de conceptions a commencé à se contracter.

Jusque-là, un lien entre fertilité et crise avait été établi, la confiance en l’avenir favorisant à la fois les naissances et la croissance. La nouveauté de leur étude, c’est de montrer pour la première fois que le déclin de la fertilité précède celui du PIB.

En janvier dernier, Les Echos constataient :

"La baisse de la natalité s'accentue dangereusement en France"


Jack Marchal : les étudiants de droite en Mai 68

Musicien et dessinateur, Jack Marchal fut, dans les années 70, le créateur d’un style et d’une graphie qui sera la marque de la droite radicale à travers un symbole : le rat. En mai 68, Marchal est étudiant à Nanterre et membre d’Occident avec Madelin et Longuet.


« La Belgique en marche pour la Vie »  

Capture d’écran 2018-02-28 à 18.56.30Chaque année, des milliers de personnes marchent dans le monde entier pour défendre les valeurs de la Vie, et sa protection depuis la conception de l’être humain jusqu’à sa mort naturelle.

La 9ème édition de la Marche pour la Vie aura lieu à Bruxelles le 22 avril 2018, à 15H, du Mont des Arts au Palais de Justice. Nous vous espérons nombreux !

Cette année, nous marcherons spécialement pour que toutes les personnes fragiles à qui on préfère enlever la vie plutôt que de leur offrir l’amour et les soins dont elles ont besoin, soient protégées et accueillies dans une société solidaire et bienveillante.  Nous serons là pour défendre la dignité de toute vie humaine et pour montrer que différence rime avec richesse et non avec problème ! 

Nous marcherons aussi en soutien aux personnes et associations qui œuvrent pour la protection de la Vie, qui proposent des alternatives à l’avortement, qui assistent les mères en détresse et leurs familles, et qui accompagnent les personnes en fin de vie jusqu’à leur mort naturelle.

Contact : [email protected]  

Site internet : www.marchforlife.be 


Terres de Mission : En route pour Chartres…

Voici le programme de l'émission de dimanche dernier :

Eglise universelle : 16 mars. La Nuit des Témoins à Notre-Dame de Paris.

Directeur de l’Aide à l’Eglise en Détresse (AED) Marc Fromager présente l’origine et les buts de cette association, créée à l’issue de la seconde guerre mondiale par un chanoine prémontré néerlandais le père Werenfried Van Straaten. Il s’agissait alors de venir en aide aux Allemands chassés d’Europe de l’Est. A l’occasion de la prochaine Nuit des Témoins qui aura lieu le 16 mars en la cathédrale Notre-Dame de Paris trois invités témoigneront des persécutions que les chrétiens subissent dans leurs pays respectifs : Mgr. Kyrillos William Samaan évêque copte catholique d’Assiout en Egypte, Mgr. Ramon Castro Castro évêque de Cuernavaca au Mexique et le père Paul-Elie Cheknoun, un musulman converti, prêtre en Algérie.

Eglise en France : 19-20-21 mai, 36ème pèlerinage de Pentecôte Notre-dame de Paris/ Notre-Dame de Chartres.

Présentation par monsieur l’abbé Garnier, aumônier du pèlerinage de Chrétienté, du thème de cette année : Saint Joseph, Père et Serviteur Une nouvelle progression numérique du nombre de pèlerins est anticipée ce qui a conduit l’organisation à étendre les lieux de bivouac et à dédoubler la colonne de marcheurs. Le pèlerinage aura la joie et l’honneur d’accueillir pour la célébration de la messe du lundi le cardinal Robert Sarah, préfet de la congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements.

Eglise en Marche : Jésus. L’enquête film de Jon Gunn

Au cinéma à partir du 28 février, ce film est l’adaptation cinématographique du récit autobiographique de Lee Strobel. Dans ce récit l’auteur, journaliste renommé au Chicago Tribune et spécialiste des questions policières et judiciaires applique au cas “Jésus” les méthodes d’investigation journalistiques qu’il pratique quotidiennement. Il rencontre ainsi un archéologue, un médecin, un psychologue, etc. Hubert de Kérangat, responsable de Saje Distribution et donc de la diffusion de ce film en France présente la démarche apologétique de l’auteur qui ne rend pas inutile l’acte de foi mais, au contraire, le conforte et le purifie.


Le MRJC rappellera-t-il les propos de Mère Teresa ?

Le MRJC organise un évènement pour la paix dans le diocèse d'Angers :

Qu'il n'oublie pas de citer durant ces 24 heures de la Paix, les propos de Mère Térésa:

"Le plus grand destructeur de la Paix aujourd'hui est le crime contre l'enfant à naître"


Ontario : pas de liberté d'expression pour les pro-vie

Lu dans Présent :

9060-p5-cyril-winter"Le 1er février dernier, la loi liberticide (loi 163) prévoyant des « bulles » de protection autour des cliniques d’avortement est entrée en vigueur en Ontario (voir Présent du 8 novembre 2017). Selon cette nouvelle législation, aucune manifestation pro-vie n’est permise dans un périmètre donné autour des cliniques pratiquant l’avortement.

Il fallut une semaine avant que la première arrestation en vertu de cette loi soit effectuée. Le 7 février, l’activiste pro-vie Cyril Winter, âgé de 70 ans, s’est fait arrêter par huit policiers près de la clinique Morgentaler d’Ottawa.

Son crime n’est pas d’avoir manifesté expressément contre l’avortement, mais de s’être promené dans la « bulle » avec une affiche indiquant « Liberté d’expression et de religion. Pas de censure. » Bref, il ne remettait pas en question l’avortement, mais la loi même en vertu de laquelle il fut intercepté par les policiers. Des accusations furent déposées contre lui, et ce malgré le fait qu’il était allé faire approuver son message par la police d’Ottawa avant même de se rendre dans la « bulle ».

Deux jours plus tard, il récidiva cette fois-ci en arborant une pancarte où l’on pouvait lire « Que Dieu sauve notre Charte des droits ». Bien qu’il n’ait pas fait face à la clinique et qu’il était silencieux, il fut une fois de plus intercepté, arrêté et accusé."


Les bailleurs sociaux ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions aux immigrés

Minute dénonce cette préférence étrangère instaurée sous Macron:

Capture d’écran 2018-02-28 à 08.49.27"[...] Le 12 décembre dernier, tous les préfets de France et de Navarre, ceux de région comme ceux de département, ont en effet reçu une circulaire comminatoire et sans appel cosignée par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, et par le ministre de la Cohésion des Territoires, Jacques Mézard. Il s’agit d’une « instruction relative au relogement des personnes bénéficiaires d’une protection internationale », c’est-à-dire les réfugiés.

Sur les 55 000 migrants qui occupent déjà les structures d’accueil officielles, 18 000 ont reçu l’autorisation de rester en France. Il faut donc leur offrir un « logement durable ». Dans son courrier, Gérard Collomb annonce que l’heure est grave : « Au regard du nombre de personnes ayant accédé au statut de protection depuis 2016 ainsi que du nombre prévisible de protégés à venir dans les prochains mois, y compris dans le cadre des programmes européens de réinstallation, ce sont plusieurs dizaines de milliers de personnes, bénéficiaires d’une protection internationale, qui seront en besoin de relogement en France d’ici fin 2018. ». Des dizaines de milliers ? « Il est estimé qu’environ 60 000 réfugiés chercheront un logement d’ici fin 2018 », précise la circulaire dans une note en bas de page !

Dans ce contexte, le ministre a lancé « un objectif national de mobilisation de logements destinés aux bénéficiaires d’une protection internationale [qui] est fixé à 20 000 logements d’ici la fin 2018 », et cela sur la totalité du territoire. Et ce sont bien les logements sociaux qui vont être réquisitionnés, puisque, les désignant nommément, Gérard Collomb écrit aux préfets : « Vous impulserez la contractualisation d’objectifs avec les bailleurs, s’ils n’existent pas déjà, en vous appuyant sur les instances compétentes en matière de logement des personnes défavorisées. » Car, et c’est là qu’est la ruse, le gouvernement estime que les réfugiés relèvent de l’article L441-1 du code de la construction et de l’habitat, lequel définit les conditions d’attribution des logements sociaux ! En conséquence, les bailleurs sociaux « ont l’obligation de réserver au moins un quart des attributions qu’ils maîtrisent à ce public » !

Quand on connaît les difficultés que les Français les plus démunis rencontrent pour obtenir un logement social (certains glissant une pièce à l’employé de l’administration pour que leur dossier soit mis sur le dessus de la pile), on en reste comme deux ronds de flan. Surtout que pour s’installer dans leurs nouveaux pénates, ces étrangers ont droit à une prime pour pendre la crémaillère ! Le réfugié de base, dit « de droit commun », bénéficie d’une prime de 1 500 euros (majorée d’une aide à l’installation de 330 euros), quand le réfugié de luxe – celui qui a signé une convention avec le Haut Commissariat aux réfugiés – perçoit, lui, 4 000 euros ! [...]"


Carl Lang devant Florian Philippot

Minute raconte l'humiliation subie par l'ancien bras gauche de Marine Le Pen :

2861_page_01"Il est des gifles que l’on préfère taire. Celle reçue par Florian Philippot fin janvier dans le Val-d’Oise est de celles-là. Au premier tour de la législative partielle, la candidate de ses Patriotes, Denise Cornet, n’a recueilli que 192 voix soit 1,2 % des suffrages exprimés. Ce n’est pas le pire. Parmi tous les candidats qui l’ont devancée – et ils ont été nombreux – figurait Huguette François, qui, avec 429 voix, a obtenu 2,6 % des voix. Plus du double des suffrages, donc, pour une obscure candidate dont nul n’avait parlé et qui était présentée par le presque aussi obscur Parti de la France (PDF) présidé par Carl Lang ! La candidate de l’ancien bras droit de Marine Le Pen humiliée par la candidate de l’ancien bras droit... de Jean-Marie Le Pen !

Il est des offenses qu’on ne pardonne pas et, deux semaines plus tard, Philippot s’est vengé. Alors que Carl Lang était invité sur le plateau de « Ça vous regarde », une émission de La Chaîne parlementaire, et que Florian Philippot l’était aussi, ce dernier, se comportant avec la morgue dont il est coutumier, a mis son veto à la venue du patron du PDF ! Exit donc Carl Lang, prié de rester chez lui. « L’enfant chéri des médias ferait-il des caprices de star ou craint-il un débat de fond avec un représentant de la vraie droite nationale ? », s’est interrogé Carl Lang, sans exclure que les deux hypothèses se soient cumulées."


Cela fait moins de bruit que l'assassinat du père Hamel

Capture d’écran 2018-02-28 à 07.38.24A Berlin, l'aumônier de la paroisse française, a été assassiné jeudi dernier par un immigré qu’il avait accueilli dans son presbytère. Selon Monseigneur Robert Poinard, aumônier général des Communautés catholiques francophones dans le monde (CCFM) :

« L’aumônier de la paroisse française de Berlin a été assassiné jeudi soir par une personne qu’il avait recueillie dans son presbytère. Ce prêtre était âgé de 54 ans et il était unanimement apprécié par toute sa communauté. Notre aumônerie des Français de l’Etranger est en deuil ».

L’assassin serait un ressortissant camerounais de 26 ans que l’aumônier congolais (République du Congo, Brazzaville) de la paroisse francophone de Berlin, hébergeait dans son presbytère. Le jeune homme a été placé dans un hôpital psychiatrique...


La France championne d'Europe !

... des prélèvements obligatoires :

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En 2016, l'ensemble des prélèvements obligatoires au profit des administrations publiques et des institutions européennes représente 44,4% du produit intérieur brut (PIB), comme en 2015. Malgré cette stagnation du pourcentage, les montants prélevés ont augmenté en valeur d'une année à l'autre, passant de 975 milliards à 990,7 milliards d'euros. Un chiffre qui fait de la France le premier pays en termes de prélèvements obligatoires en 2015 au sein de l'Union européenne.


Non-famille : au moins 1,2 million de couples vivent «ensemble séparément»

Qpop_na._2_1_plat_siteL'Ined (Institut national d'études démographiques) publie une étude intitulée La famille à distance.

Cette étude souligne que le nombre de ces couples «non cohabitants» varie fortement en fonction de la manière dont on les compte. 8,7 % des 18-79 ans se disent «en relation amoureuse stable non cohabitante». Les Anglo-Saxons ont surnommé «living apart together» (LAT) ces couples qui vivent «ensemble séparément». Il y a les célibataires géographiques qui, pour des raisons professionnelles, doivent vivre à l'extérieur du foyer une partie de la semaine. Mais il y a aussi un nouveau mode de vie, dans lequel l'individualisme prime sur la vie de couple : des célibataires endurcis dans leurs habitudes, des jeunes jaloux de leur indépendance et d'une fausse liberté, des quadras qui ont souffert d'une séparation... Quant aux enfants, soit ils vivent les douleurs de la famille explosée, soit... ils n'existent pas.

Enfin, ajoutez à ce sujet le problème de l'immigration massive, et vous comprenez le problème du mal-logement en France.


Euthanasie : Jean-Louis Touraine publie sa tribune déjà dénoncée par Le Salon beige

Le 10 janvier, Le Salon beige évoquait la publication prochaine d'une tribune pro-euthanasie, qui serait signée par un certain nombre de députés. J'écrivais que cette tribune serait publiée "la semaine prochaine". Mea culpa, elle n'est publiée qu'aujourd'hui dans Le Monde. Est-ce parce que son initiateur Jean-Louis Touraine a du convaincre un à un les 156 députés qui ont signé ce texte ou parce que Le Salon beige ayant lâché le morceau, il fallait attendre un peu ? Je ne sais. Mais en attendant, revoici le décryptage de ce texte, qui n'a pas perdu une ride :

334768Jean-Louis Touraine, député LREM du Rhône et Vice-président de la commission des affaires sociales, fait actuellement tourner une tribune en faveur de l'euthanasie, intitulée "Pour une liberté républicaine : le choix de sa fin de vie", afin de la faire signer par un certain nombre de parlementaires, pour la publier la semaine prochaine, en vue d'influencer le débat sur la loi bioéthique. Nous nous la sommes procurée. Il y écrit :

"« On ne meurt pas bien en France ». Aujourd’hui, l’offre de soins palliatifs ne satisfait pas à la multiplicité des situations individuelles et des souffrances des personnes en fin de vie. Des souffrances accentuées par l’impossibilité pour chacun de « choisir sa fin de vie »."

Ce que ne précise pas la tribune : seulement 50des personnes nécessitant des soins palliatifs à l’hôpital en bénéficient intégralement. Les soins palliatifs mériteraient donc d'être développés. Or, depuis 2012, le budget dédié au plan national de développement des soins palliatifs s'est élevé à zéro (contre 230M€ le quinquennat précédent).

"Si quelques progrès ont été enregistrés, force est de constater que la loi Claeys-Leonetti n’a pas permis d’introduire d’innovations significatives. Il s’est essentiellement agi de transcrire dans la loi ce qui était déjà acquis par voie réglementaire. Le problème actuel est qu’il manque – et c’est crucial ! – une liberté, un droit au choix."

Ce que ne précise pas la tribune : Si certains veulent avoir le droit d'être tués, alors la loi doit obliger des médecins à tuer...Capture d’écran 2018-01-09 à 21.52.55

"Attendre une évaluation des textes législatifs antérieurs avant de créer un nouveau droit aux malades en fin de vie aurait-il dès lors un sens ? Non ! Quand une lacune est identifiée, elle doit être comblée sans délai. D’ailleurs, les Français apportent trois preuves de leur désir impatient de l’introduction de ce progrès humaniste.

Dans un très récent sondage, réalisé par IFOP pour La Croix et le Forum européen de bioéthique, 89% des Français considèrent important de légaliser l’euthanasie et/ou le suicide assisté. Seules 11% des personnes interrogées se satisfont de la législation actuelle. En ce domaine, comme généralement dans les diverses questions de bioéthique, nos concitoyens sont plus avancés et plus en phase avec le progrès que certains responsables, qui apparaissent plus conservateurs ou frileux."

Ce que ne précise pas la tribune : s'appuyer sur ce sondage IFOP, dont on a déjà vu qu'il était biaisé, est un peu léger. En quoi les personnes interrogées seraient favorables à l'euthanasie ? Parce qu'on leur a proposé cette solution (finale) ou la mort dans d'horribles souffrances (comme dans ce sondage orienté de l'ADMD) ? Mais qui veut souffrir ? A-t-on demandé et expliqué aux Français ce que sont les soins palliatifs ? Les soins palliatifs sont des soins actifs délivrés dans une approche globale de la personne atteinte d’une maladie grave, évolutive ou terminale, visant à soulager les douleurs physiques et les autres symptômes, mais aussi à prendre en compte la souffrance psychologique, sociale ou spirituelle du patient et de ses proches.

"De nombreux Français en phase avancée d’une maladie incurable vont également chercher – et obtenir – la délivrance dans l’un ou l’autre des pays ayant déjà légiféré sur cette possibilité (Belgique, Suisse, Pays-Bas, Luxembourg, Canada, plusieurs Etats américains, etc.)"

Ce que ne précise pas la tribune : au sein des Etats ayant légalisé l'euthanasie, on constate une dérive systématique :

  • En Belgique, on a désormais l'"interruption volontaire de vie sans demande du patient". La Commission de contrôle n’a, après délibération, rien trouvé à redire.
  • Des euthanasies sont pratiquées de plus en plus en cas de souffrances psychiques difficiles à mesurer, liées à la dépression, à Alzheimer... et non pas à la fin de vie.
  • L'euthanasie des enfants se répand : aux Pays-Bas à partir de 12 ans (loi 2001), en Belgique sans limite d’âge (loi mars 2014)
  • Le parlement hollandais subit maintenant des pressions pour élargir l’accès à l’euthanasie aux personnes invoquant la « fatigue de vivre ».

"Un malade en fin de vie, dans une « impasse thérapeutique », peut obtenir une aide active à mourir dans les hôpitaux français. Il faut pour cela connaître un médecin compatissant et courageux, ce qui crée des inégalités entre nos concitoyens. D’après l’INED, entre 2000 et 4000 personnes en phase terminale reçoivent cette aide chaque année dans notre pays. Reconnaissons que ces fins de vie organisées en catimini, du fait de l’absence d’encadrement légal, exposent à toutes les dérives, telles que des décisions par une équipe soignante sans sollicitation de l’avis du malade. A l’opposé, des malades implorent ce soulagement mais ne sont pas entendus. Il est des personnes qui, en raison de convictions personnelles, refusent pour elles-mêmes tout recours à l’aide à mourir. Cela est très respectable. Comme aussi doit être respectée la « clause de conscience » de certains médecins désirant se soustraire à cette activité, laissant ainsi un de leurs confrères opérer à leur place. Pour d’autres personnes et d’autres professionnels soignants, le choix souverain du malade, son désir de maîtriser son destin s’imposent. Ce choix est tout autant respectable et l’exercice de ce droit n’enlève rien à personne. C’est le type même de la liberté personnelle qui ne déborde pas sur la liberté d’autrui. Il n’est plus raisonnable d’attendre davantage, d’observer sans réagir les souffrances physiques et psychiques de nombre de ces Français, de compter les affaires judiciaires qui se multiplient mais n’aboutissent à rien, car on ne peut pas condamner la compassion et la solidarité. Anne Bert clame : « Il me reste une ultime liberté : celle de choisir la façon dont je vais mourir ». Elle a raison ! Elle a également raison d’affirmer que sa « liberté ne s’arrête pas à la porte de l’hôpital ». Elle, comme les autres malades qui lui ressemblent, réclame la correction urgente de la loi française, perçue comme incomplète et non satisfaisante, voire liberticide et inégalitaire. Le choix de la personne doit pouvoir être respecté, quand il est libre, éclairé, soumis à nulle contrainte ou dépression, exprimé de façon réitérée, et que des médecins ont confirmé l’impasse thérapeutique."

6a00d83451619c69e201bb091617bd970d-500wiCe que ne précise pas la tribune : Le respect de la personne, de son choix libre, éclairé, soumis à nulle contrainte ou dépression, exprimé de façon réitérée, est un pieux mensonge, comme nous l'avons vu plus haut. Jean-Luc Roméro, président de l'ADMD, l'avait avoué à propos du Pacs, qui ne devait pas aboutir à la dénaturation du mariage, qui ne devait pas aboutir à la fabrication d'enfants pour les LGBT, par PMA ni par GPA... Ces gens passent leur temps à mentir pour arriver à leurs fins. Outre les dérives que nous avons cité plus haut, on constate également dans les Etats qui ont légalisé l'euthanasie, que la liberté des patients et des médecins s'amenuise :

  • Au Canada, une infirmière a été contrainte à la démission dans l’Ontario pour la simple raison qu’elle refuse toute participation à l’euthanasie, devenue légale dans le pays l’an dernier.
  • Des assurances santé dans l’Etat du Nevada, où le suicide assisté est légal, ont récemment refusé des traitements onéreux et nécessaires à la survie de leurs clients, proposant de les aider plutôt à mettre fin à leurs jours.

"Il en va aujourd’hui de cette question comme il en allait de l’IVG au début des années 1970 : des femmes y recouraient en sollicitant les services de la Suisse ou de la Grande-Bretagne, tandis que d’autres trouvaient des médecins complaisants en France. Malheureusement, celles qui n’avaient pas accès à ces solutions étaient contraintes de faire appel à des « faiseuses d’anges » et s’exposaient alors à des risques considérables. Les décès de jeunes femmes se comptaient par centaines. Il était temps, en 1975, de sortir de l’hypocrisie des avortements clandestins et d’offrir aux femmes la possibilité de disposer librement de leur corps. De même, il est temps maintenant de sortir de l’hypocrisie qui prive certains d’une aide souhaitée et qui impose à tous une agonie pénible. Il convient de donner aux malades en fin de vie la libre disposition de leur corps et, c’est essentiel, de leur destin."

Ce que ne précise pas la tribune : le rapprochement avec l'avortement est intéressant, au regard de ce que la tribune dit plus haut sur la liberté des médecins et le choix éclairé des patients. L'avortement est aujourd'hui un tabou qui ne peut plus être discuté dans notre société. Les infirmières ne peuvent pas s'y opposer, elles n'ont pas de clause de conscience et les femmes en détresse sont bien souvent poussées à avorter. Comment croire qu'une personne en détresse, par définition en situation de fragilité, pourra poser un acte libre et éclairé, soumis à nulle contrainte ? Elle sera bien au contraire soumise aux désirs de son entourage et/ou du corps médical...

Par ailleurs ce rapprochement avec l'avortement permet de considérer que les gardes-fous évoqués sur l'euthanasie sont des foutaises. L'avortement, légalisé pour des cas extrêmes, des femmes violées, etc., représente aujourd'hui un enfant sur 5. Plus de 200 000 bébés sont avortés chaque année, tous les gardes-fous sont tombés les uns après les autres et ce sont les opposants à l'avortement qui sont poursuivis devant les tribunaux. En effectuant ce rapprochement, le député Touraine indique donc que, comme l'avortement, l'euthanasie deviendra massive.

"C’est pourquoi, nous, députés issus d’horizons différents, proposons de légiférer en ce sens au cours de l’année 2018."

Ce que ne précise pas la tribune : le 29 novembre, la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale a chargé Jean-Louis Touraine d’une mission sur le prélèvement d’organes. Il devra « comprendre pourquoi le taux de refus varie selon les régions » et identifier les « circonstances dans lesquelles se produisent ces refus ». Les refus sont de 43 % en Ile-de-France contre 22 % dans les Pays de la Loire. Depuis le 1er janvier 2017 la possibilité pour la famille d’un défunt de s’opposer à un prélèvement d’organes a été considérablement réduite. Or 60% des refus venaient de la famille. Jean-Louis Touraine (franc-maçon militant de la culture de mort, qui vient de déposer une nouvelle proposition de loi d’euthanasie), est professeur de médecine au département de transplantation de l'université Claude-Bernard de Lyon, et président de l’association France Transplant… De là à voir un lien entre euthanasie forcée et prélèvement d'organes...


40 Days for Life : 122 bébés sauvés de l'avortement

122 bebes122 bébés ont été sauvés de l'avortement au mardi 27 février.

Nous vous invitons à rejoindre cette chaîne de prière “de l’arrière” à tout moment : signalez que vous voulez y participer en confirmant votre adhésion à [email protected] qui coordonne depuis des années cette chaîne de prière.


C’est arrivé un 28 février…

"A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines." Léon XIII, Rerum Novarum

Alors rappelons-nous :

  • le 28 février: saints du jour français ou en France.
    • St Romain, prêtre et abbé de Condat († 461)

À 35 ans, Romain quitta son Ain natal, et alla fonder deux monastères qu'il nomma Condat et Leucone. Ils donnèrent, plus tard, naissance à deux villages : Saint-Claude et Saint-Lupicin. Il mourut dans le Jura en 463.

  • St Auguste Chapdelaine, prêtre et martyr (1814-1856)

Dans la ville de Xilinxian, dans la province de Kouang-Si en Chine, l'Église commémore le souvenir de saint Auguste Chapdelaine, prêtre des Missions Étrangères de Paris.

Auguste naît à La Rochelle (La Rochelle-Normande dans le département de la Manche en France) en 1814 et il fut un des premiers à semer la graine de la foi chrétienne dans la terre de Chine.

Arrêté par les soldats avec un groupe de chrétiens convertis, il fut frappé de trois cents coups de nerf de bœuf, enfermé dans une cage minuscule et finalement décapité.

Béatifié par Léon XIII le 27 mai 1900, il est canonisé par Saint Jean-Paul II  le 1er octobre 2000.

  • Bx Daniel Brottier, missionnaire spiritain (1876-1936)

Extrait de l'Homélie de Saint Jean-Paul II, lors de la cérémonie de Béatification de José Manyanet Y Vives, de Daniel Brottier et d'Elisabeth de La Trinité à la Basilique Saint-Pierre le dimanche 25 novembre 1984 :

«Parmi « ceux qui sont au Christ », nous distinguons Daniel Brottier. Il a rejoint la Congrégation des Pères du Saint-Esprit pour répondre à l'appel missionnaire de la manière la plus ardente. Parti en Afrique, il se dévoue sans compter au service de la communauté chrétienne de Saint- Louis du Sénégal et notamment des jeunes. Son zèle apostolique le conduit à prendre sans cesse de nouvelles initiatives pour que l'Église soit vivante et la Bonne Nouvelle entendue. Même éloigné de ce champ d'action, il ne cesse pas d'aider à bâtir l'Église au Sénégal.

Disciple du Christ, il l'est aussi par l'épreuve de la souffrance : la douleur physique ne le quitte pas. Et, volontaire sur le front, il soigne et réconforte les blessés par sa présence courageuse. Aux soldats mourants, il porte le secours de Dieu. La guerre passée, il travaille à prolonger la fraternité née entre ces hommes dans le dépouillement et le don de soi héroïque.

Quand il reçoit la charge des orphelins d'Auteuil c'est à leur service qu'il déploie avec force l'activité la plus débordante qui le fera connaître bien au-delà de Paris. Rien n'arrête sa charité quand il s'agit d'accueillir, de nourrir, de vêtir des enfants délaissés et meurtris par la vie. Innombrables sont ceux qu'il associe à cette œuvre profondément évangélique. Parce qu'il faut loger ces jeunes et les mettre dans un climat chaleureux, les aider à acquérir un métier et à bâtir leur avenir, le P. Brottier multiplie les appels et constitue une chaîne toujours vivante d'active solidarité.

Prêtre, religieux, sa grande activité « découlait de son amour de Dieu » comme l'a dit un témoin. À la fois humble et vrai, actif jusqu'aux limites du possible, serviteur désintéressé, Daniel Brottier avançait avec audace et simplicité car il travaillait "comme si tout dépendait de lui, mais aussi sachant que tout dépend de Dieu". Il avait confié les enfants d'Auteuil à sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus qu'il appelait familièrement à l'aide, assuré de son soutien efficace à tous ceux pour qui elle avait offert sa propre vie.

Le bienheureux Daniel Brottier a achevé son œuvre sur la terre par un « fiat » courageux. Aujourd'hui nous le savons secourable aux pauvres qui l'invoquent car il communie à l'amour du Sauveur qui animait tout son service sacerdotal. »

  • 28 février : fête du Bienheureux Père Brottier.

Né le 7 septembre 1876 à La Ferté-Saint-Cyr dans le Loir-et-Cher, il est ordonné prêtre en 1899 malgré de fortes migraines chroniques, il est d'abord professeur au collège de Pontlevoy avant que sa vocation de missionnaire ne le fasse entrer dans la Congrégation du Saint-Esprit (Spiritain), ordre séculier qui agit en Afrique de l'Ouest.

En 1903, il est vicaire à la Paroisse Saint-Louis du Sénégal, où il fonde un patronage pour s'occuper des enfants, tient une revue, L'Écho de Saint-Louis et dirige une chorale. Après un passage chez les Trappistes de Lérins, il revient à Dakar en tant que Vicaire Général et lève des fonds pour la construction de la Cathédrale du Souvenir Africain.

En 1914, il se porte volontaire pour servir comme aumônier militaire au sein du 26e Régiment d'Infanterie. Il sera décoré de la Légion d'Honneur pour faits de bravoure. En 1918, chose étonnante pour l'époque, il fonde avec Georges Clemenceau, franc maçon anticlérical, l'Union des Combattants. Mais la grande œuvre de sa vie est la Fondation des Orphelins Apprentis d'Auteuil, œuvre sociale destinée à l'accueil et à l'insertion de jeunes en difficulté. Le Père Brottier meurt le 28 février 1936 et est béatifié par le Bienheureux Pape Jean-Paul II, le 25 novembre 1984.

  • le 28 février 380 : baptême de l'empereur Théodose Ier.

Ce dernier bannit par un édit tous les cultes païens et la doctrine d'Arius. Le catholicisme devient la seule religion officielle de l'empire romain. Il publie l'édit de Thessalonique : « Tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l'apôtre Pierre, celle que reconnaissent le pontife Damase et Pierre, l'évêque d'Alexandrie, c'est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »

  • le 28 février 1574 : début de la cinquième guerre de religion en France.

La conjuration des Malcontents commence ; elle s'attaque au pouvoir de Catherine de Médicis.

  • le 28 février 1712 : naissance du Marquis de Montcalm, général français.

La victoire de Montcalm avec ses troupes à Carillon par Henry Alexander Ogden.

Commandant des troupes françaises en Nouvelle-France (1756-59)

C'est en 1732, à l'âge de 20 ans, que Montcalm débute sa carrière militaire. Il sert tout d'abord en Rhénanie, et ensuite pendant la guerre de succession d'Autriche, où il récolte sa première blessure au siège de Prague. Il devient colonel du régiment d'Auxerrois et Chevalier de Saint-Louis, distinction accordée pour ses actes de bravoure. On lui propose de prendre le commandement des troupes qui combattent en Nouvelle-France. Il est envoyé à Québec en 1756 comme commandant des troupes françaises en Amérique du Nord pendant la guerre de Sept Ans. Ses premières campagnes contre les Britanniques sont des succès majeurs. Il est mortellement blessé dans la bataille de Québec, perdue faces aux britanniques commandées par James Wolfe.

  • le 28 février 1760 : le corsaire François Thurot est tué dans un combat au large de l'île de Man.
  • le 28 février 1791 : découverte de la fuite des sœurs du Roi.

Après les femmes, c'est le tour des ouvriers et artisans du faubourg Saint-Antoine d'être manipulés et de manifester leur indignation. Ils s'attaquent au donjon de Vincennes. Pendant ce temps, quatre cent nobles tentent de prendre les Tuileries. C'est le complot des « Chevaliers du poignard ».

  • le 28 février 1794: massacre des Lucs sur Boulogne.

Le massacre des Lucs-sur-Boulogne est le plus célèbre et le plus important massacre perpétré par les troupes républicaines des colonnes infernales pendant la guerre de Vendée,

Vitrail commémorant le massacre du Luc-sur-Boulogne le 28 février 1794

Le 17 janvier 1794, la Convention avait ordonné la destruction définitive de la Vendée "afin que pendant un an, nul homme, nul animal ne trouve sa subsistance sur ce sol" dira le député Fayau. Le général Rossignol s'écrit

« il faut faire de ce pays un désert, et le peupler de bons Républicains ».

De cette phrase naîtra pour certains l'idée de dépopulation de la Vendée. Les preuves formelles de crimes contre l'humanité existent affirme Renée Casin, ce sont les ordres de la Convention et les rapports des généraux assassins. Elle cite le rapport de Westerman à la Convention :

« Il n'y a plus de Vendée, citoyens républicains. Elle est morte sous notre sabre, libre, avec ses femmes et ses enfants. Je viens de l'enterrer dans les marais et les bois de Savenay suivant les ordres que vous m'aviez donnés. J'ai écrasé des enfants sous les pieds des chevaux, massacré des femmes, qui au moins pour celles là, n'enfanteront plus de brigands. Je n'ai pas de prisonniers à me reprocher, j'ai tout exterminé…Les routes sont semées de cadavres. Il y en a tant que par endroits ils font pyramide. On fusille sans cesse à Savenay, car à chaque instant il arrive des brigands qui prétendent se rendre prisonniers…Nous ne faisons pas de prisonnier. : Il faudrait leur donner le pain de la liberté, or la liberté n'est pas révolutionnaire. »

Tiré de Les catholiques et la révolution française de Renée Casin page 100.

Et Turreau de Garambouville, ancien officier des troupes royales, ayant caché sa particule et une partie de son nom à la révolution, qui réside à Cholet, divise ses 2 armées de 6 divisions en 2 colonnes (24 colonnes) qui vont balayer le pays. Les ordres qu'ils donnent sont :

« Tous les brigands qui seront trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises seront passés au fil de la baïonnette. On agira de même avec les femmes, filles et enfants qui seront dans ce cas. Les personnes seulement suspectes ne seront pas plus épargnées. Tous les villages, métairies, bois, genêts et généralement tout ce qui peut être brûlé sera livré aux flammes. Sous 15 jours, il n'existera plus en Vendée ni maisons, ni armes, ni vivres, ni habitants… Je sais qu'il peut y avoir quelques patriotes dans ce pays. C'est égal, nous devons tout sacrifier »

Ainsi 24 colonnes marchant en même temps et dans chaque sens, devront lorsqu'elles de rencontreront, avoir fait de la Vendée :

« un désert de terres brûlées, de chaumières détruites, de châteaux en ruines, de corps mutilés que survoleront des corbeaux et que dévoreront les loups » indiquera encore Fayau.

Turreau prend le commandement de l'armée basée à Bressuire et devant aller d'est en ouest alors que le général Haxo est à la tête de la seconde qui viendra à sa rencontre. Les colonnes sont au départ sous les ordres des généraux Grignon, Huché, Dufour, Caffin, Amey, Charlery, Beaufranchet, Chalbos, Grammont, Cordelier, Commaire et Dalliac. Puis, au fil des maladies, des disgrâces et des remaniements, on voit ensuite se joindre à la campagne de destruction les généraux Joba, Carpentier, Duval, Cortez, Robert, Bard, Dutruy, et le chef de bataillon Prévignaud. Elles ont commencé leur œuvre le 21 janvier 1794, jour du premier anniversaire de la décapitation de Louis XVI. Elles la poursuivent jusqu'en mai 1794, quasiment quatre mois de feu et de mort…

Turreau finit baron d'empire, et son nom est gravé sous arc de triomphe … pour combien de temps encore ? Comme on est incapable d'expliquer et de justifier le crime, on préfère le nier et le banaliser. Le mémoricide vient achever le génocide.

"Outre les viols systématiques des femmes, ce qui n'est sans doute qu'un misérable détail parmi toutes leurs forfaitures, « ces soldats de la liberté » dépeçaient les femmes enceintes, pour en extraire les bébés avec des baïonnettes, et les planter sur des lances, qu'ils exhibaient ainsi, à cheval, comme des trophées... Les femmes ainsi avortées, servaient alors de mangeoires pour les chevaux : on substituait le bébé par du foin tout simplement... Les avorteurs d'aujourd'hui ont d'illustres ancêtres... La liste des « exactions » est longue comme un jour sans pain... On parle de dépecer encore des cadavres afin d'en extraire la peau pour en faire des pantalons sans couture... ou bien d'en extraire la graisse humaine pour la réutiliser. Aujourd'hui, les eugénistes utilisant les fœtus avortés pour en faire des substituts de goût ont d'illustres prédécesseurs. Quant aux méthodes d'extermination globale, bienvenue dans le monde moderne... Tout ce qui a été utilisé au XXIème siècle a été tenté... au XVIIIe par les révolutionnaires : la poudre est chère, donc, fusiller coûte cher et comme on tue tout le monde, il est impossible de demander de la faire rembourser par la famille comme le feront les communistes chinois. Comme en France, on n'a pas de poudre, mais on a des idées on essaie tout. D'abord, la méthode manuelle, le sabre et la baïonnette ; mais malgré l'ardeur et le zèle des suppôts de la Révolution, le rendement est minable, comme pour la guillotine... Alors, on fait intervenir les cerveaux du pays pour imaginer un avenir radieux et rentable aux fils de la Veuve... On essaie la poudre explosive, mais la maîtrise technologique n'est pas encore là : on est loin des charniers à canon de la Grande Guerre. On essaie alors le gaz, résultat identique, malgré le zèle des physiciens de la Révolution, le savoir-faire technique manque pour rentabiliser ces armes. D'autres profiteront de l'expérience… On tente aussi le poison, sans succès encore. Puisque la physique est incapable de servir, on se applique le bon sens: ce sont les « noyades » de Nantes, où l'on coule des navires entiers pour noyer un maximum de personnes en même temps. Mais on perd le côté festif de la Révolution. Car on est là pour extraire le Christ de la Vendée et rayer la Vendée. Alors, on ajoute l'ignominie à la barbarie : ce sont alors les « mariés » de la Loire, où l'on associe par couple des vendéens, on les dénude, tête-bêche, et on les attache. On associe tout ce qui peut être le plus choquant : une sœur et un prêtre que l'on noie ensemble pour faire la fête ! Voilà le VRAI visage de la Révolution... le VRAI visage de la République... C'est ce visage qui surgit quand il s'agit de sauver la République...

Oui notre pays est malheureusement divisé. Et cette division passe au plus profond de son âme ; elle date de cette époque ! La France ne trouvera pas la paix tant qu'elle ne reconnaitra pas cette faute capitale commise contre Dieu et ses propres enfants. Voir la chronique du 25 septembre.

  • le 28 février 1858 : onzième apparition de Notre Dame à sainte Bernadette.

Plus de mille personnes assistent à l'extase. Sainte Bernadette prie, baise la terre et rampe sur les genoux en signe de pénitence. Elle est ensuite emmenée chez le juge Ribes qui la menace de prison.

  • le 28 février 2002 : la loi, ce n'est pas pour l'ONU.

Le Haut Commissaire aux Réfugiés de l'ONU annonce que le HCR n'étendra pas l'enquête sur les cas d'abus sexuels sur des enfants pratiqués à la chaîne par ses propres membres. De la nourriture et des soins étaient ainsi, depuis longtemps, échangés contre des faveurs sexuelles sur les enfants des gens venus trouver assistance auprès du HCR en Afrique.

  • le 28 février 2012 : le 11 novembre devient journée d'hommage aux morts pour la France.

Le Parlement adopte, par un vote de l'Assemblée nationale, la loi instaurant le 11 novembre, jour de l'armistice de 1918, comme une journée en hommage à tous les morts pour la France, quelle que soit la guerre.

  • le 28 février 2013 : la renonciation du pape Benoit XVI devient effective.

Dès le lendemain le système bancaire du Vatican est réintroduit dans le système Swift de carte bleue. Pendant 39 jours le Vatican a perdu plus de 1,17 milliard d'euro.

Le pape démissionne et les banques reviennent !


“Plutôt la mort que la souillure”

Le père d’Anne-Lorraine Schmitt répond à l'infâme Catherine Millet :

« Après tout ce que nous avons vécu, nous sommes assez blindés.

Mais vis-à-vis de notre famille et de ce qu’Anne-Lorraine a souffert, l’attaque de cette dame est totalement répugnante. Qu’elle sache cependant que nous trouvons au quotidien la force de vivre grâce aux témoignages de soutien et d’affection que nous recevons.

Qu’on laisse Anne-Lorraine en paix.

Je n’ai pas absolument aucune envie de discuter avec cette dame mais je souhaiterais rappeler toutefois une chose : en plus d’être odieux, son propos est faux.

Elle aurait dû mieux se renseigner. L’enquête a révélé que l’assassin de ma fille prévoyait justement de ne pas laisser la vie à sa seconde victime pour une raison simple : sa première victime l’avait reconnu.

Il a récidivé, et je ne suis pas certain qu’Anne-Lorraine ait vraiment eu le choix…

Et si par hasard elle l’a eu, elle a choisi d’appliquer la devise de la Bretagne : “plutôt la mort que la souillure”. »


Une nouvelle étude ruine la théorie du Genre

Lu ici :

Cover"Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Development, les différences entre garçons et filles sont avant tout biologiques et non optionnelles, comme le prétendent les tenants de la théorie du genre, pour qui le genre relève de la construction sociale et non de la nature.

Infant and Child Developement est une revue scientifique indépendante et reconnue, qui étudie de façon méthodique les différents stades du développement de l’enfant. L’enquête publiée s’appuie sur pas moins de 16 études menées auprès de 787 garçons et de 813 filles, tous âgés entre 1 et 8 ans, sur la manière dont jouent les petits enfants.

Les trois grandes conclusions qui ressortent de l’étude relèvent du bon sens. Ainsi :

1) La différence de genre existe dans le choix des jouets et s’opère, entre autres, de « façon innée », et non par l'effet d’un conditionnement social.

2) Aussi, il est « hautement probable que les différences de genre aient une origine biologique ».

3) Enfin, l’étude remarque que la « différence de genres s’affirme toujours plus nettement au fur et à mesure que le garçon grandit » : il y aurait une « prédisposition biologique naturelle » qui entraîne que les « stéréotypes » sont davantage ancrés chez le garçon.

De quoi ruiner les fondements mêmes de la théorie du Genre dont les affirmations incantatoires se retrouvent dans nombre de manuels scolaires et de supports médiatiques, et touchent une jeunesse toujours plus fragilisée."


Israël : les Eglises ont gagné

Le gouvernement israélien a annoncé la suspension des actions fiscales et législatives ayant conduit les Eglises à la décision exceptionnelle de fermer le Saint-Sépulcre.

La municipalité israélienne de Jérusalem gèle la collecte de taxes annoncée récemment sur les biens immobiliers des Eglises qui ne sont pas des lieux de culte. Le travail sur une proposition de loi israélienne dans laquelle les Eglises voient une atteinte à leurs droits de propriété est également mis en suspen.

Le Premier ministre et le maire de Jérusalem se sont entendus sur la création d'un groupe de travail qui négociera avec les Eglises une solution.


Reste à savoir si Le Monde publiera un correctif

6a00d83451619c69e201b7c95361d4970b-250wiDans Le Monde, le comique François Krug écrivait à propos des Mémoires de Jean-Marie Le Pen :

"Reste à savoir s'ils trouveront des lecteurs, car les électeurs du FN ne sont pas réputés être de gros lecteurs."

Autrement dit : les électeurs du FN sont des idiots qui ne savent pas lire.

On apprend aujourd'hui que les 50 000 exemplaires du premier tirage des Mémoires de Jean-Marie Le Pen sont épuisés avant même leur mise en vente, prévue mercredi. Un second tirage a été lancé.


Fake News : Emmanuel Macron viendra-t-il aux Bobards d'Or ?

Macron-fake-news-bobards-dorLa cérémonie (parodique) des Bobards d’Or distingue, chaque printemps, les « meilleurs journalistes », ceux qui n’hésitent pas à mentir – délibérément ou non – pour servir le politiquement correct. Elle est organisée depuis 2010 par la Fondation Polemia.

2018, l’année de la chasse aux « fake news »

La 9e édition des Bobards d’Or, qui aura lieu le 12 mars, sera exceptionnelle. Elle interviendra en effet alors qu’Emmanuel Macron et Donald Trump ont décidé de s’inspirer de notre cérémonie.

Le premier, tout juste élu président de la République française, a annoncé sa volonté de chasser les « fausses nouvelles », ces fameuses « fake news » que nous préférons, nous, appeler « Bobards ». Quant au second, il a décidé, en début d’année, d’organiser ses propres « Bobards d’Or », les « Fake News Awards », décernés à plusieurs médias qui l’avaient attaqué.

Emmanuel Macron ne souhaite évidemment pas cibler les médias dominants, ceux possédés par ses amis et qui lui ont d’ailleurs permis d’être élu président. Il vise plutôt les médias qui pensent différemment de la norme comme TV Libertés, L’Incorrect, Valeurs actuelles, Boulevard Voltaire et tant d’autres… Mais, l’occasion est belle de rire des contradictions de ces puissants qui cherchent à punir les Bobards alors que la presse dominante en fournit des dizaines chaque année !

Quelles « fake news » débusquées cette année par les Bobards d’Or ?

Quatorze bobards de taille, soigneusement choisis et sourcés, sont en lice cette année, parmi lesquels :

  • Bobard protéine – Les hommes préhistoriques ont-ils privé de steaks les femmes ? (L’Obs / France Info) L’Obs et France Info ont publié deux vidéos sur la différence de tailles entre hommes et femmes que les spécialistes jugent complètement absurdes.
  • Bobard point de vue – Toulouse : Le bain de foule de Macron était bidon (AFP/Fabrice Valery) Tous les médias avaient titré sur un bain de foule de « rockstar » pour Macron à Toulouse. En fait, il était entouré de quelques dizaines de personnes…
  • Bobard Double Dépêches – L’AFP et ses problèmes de calcul à la Marche pour la Vie La Marche pour la Vie a réuni entre 9 500 personnes (police) et 40 000 (organisateurs). Pas pour certains médias, dont La Croix (!), bien aidés par l’AFP.
  • Bobards Frangipane – La galette des reines de l’AFP « Brigitte et Emmanuel Macron goûte (sic) à la traditionnelle galette des roi et des reines (sic) à l’Elysée. » Quand l’AFP invente la visite de reines mages à l’enfant Jésus.
  • Bobard Matraquage – Théo, bobard d’État (Global) La fameuse « Affaire Théo » a été largement couverte par des médias très complaisants. Mais la diffusion des infos remettant en cause la version de Théo a été beaucoup plus discrète !

LISTE COMPLÈTE SUR LE SITE DES BOBARDS D’OR

L’AFP est très en vue pour une nomination, nommée pour 4 bobards et impliquée dans 2 autres. Le grand favori des internautes reste toutefois l’Affaire Théo, magistrale fake news reprise par l’ensemble des grands médias.

La réinformation alternative en vedette

Pas de chasse réussie sans chasseurs avertis ! Cette année, outre le fameux Bobard d’Or, les membres du public pourront soutenir ceux qui, au quotidien, chassent les Bobards des médias dominants. Trois médias alternatifs seront représentés sur scène et chacun présentera son travail ainsi que ses meilleures désintox.

Depuis quelques jours, les votes en ligne pour départager les 5 meilleurs bobards sont ouverts. Lequel de vos confrères gagnera le Bobard d’Or si convoité ? Pour le savoir, rendez-vous le 12 mars prochain au Théâtre du Gymnase Marie-Bell, 38 boulevard de Bonne Nouvelle 75010 Paris ! Et d’ici là, sur internet, à l’adresse bobards-dor.fr


Naissances : Les méthodes naturelles modernes sont efficaces à 99%

Contrairement à ce que pensent certains médecins au service du lobby pharmaceutique :

"Les méthodes naturelles permettent une véritable « justice reproductive », affirme le Dr Brian J. Burke, médecin de famille à l’Hôpital de Guam aux Etats-Unis, et qui enseigne les méthodes naturelles depuis huit ans, avec sa femme Johanna.

Les méthodes naturelles modernes (pas la méthode du calendrier) se basent sur l’observation de quatre signes : la glaire cervicale, la température basale, le col et la présence de LH dans l’urine. Bien utilisées, elles sont efficaces à 99% et sont sans effets secondaires. Elles permettent aux femmes de mieux connaître leur corps, de détecter des anomalies éventuelles de leur cycle, et sont une aide pour des couples hypofertiles. La majorité des femmes qui utilisent une contraception hormonale connaissent mal le fonctionnement de leurs cycles de fertilité, et en supprimant les cycles naturels, la contraception risque aussi de masquer des problèmes.

Le terme de « justice reproductive » est généralement employé pour parler de l’accès à la contraception, l’avortement et la procréation médicalement assistée, mais le médecin a une vision toute autre d’une la vraie justice : rappelant que la conception naturelle d’un enfant passe toujours par un acte intime entre un homme et une femme, acte « à la fois unitif et procréatif », il explique qu’il est injuste de « séparer le biologique de l'émotionnel ». « Le terme ‘justice reproductive’ a été utilisé abusivement pour justifier des actes intrinsèquement injustes, en ce sens qu'ils détruisent un être humain et /ou perturbent l'acte intime entre un homme et une femme ». Il s’agit finalement de détourner l’acte sexuel et de transformer un don de soi en une utilisation du corps de l’autre.

Il n’y a que les méthodes naturelles qui promeuvent une véritable « justice reproductive », car elles nécessitent une véritable communication, une prise de décisions à deux, chaque jour. Elles évitent l’utilisation du corps de l’autre. L’homme est plus impliqué, il partage la responsabilité et les risques, une situation beaucoup plus respectueuse de la dignité de la femme. Les méthodes naturelles permettent d’éviter les effets secondaires des contraceptions hormonales (tension artérielle, risque de maladie cardiaque, d’AVC…) et de traiter efficacement l’infertilité par des moyens beaucoup moins onéreux que la procréation médicalement assistée actuelle.

Les deux principales difficultés pour répandre l’usage des méthodes naturelles, sont, toujours selon Dr Brian J. Burke, un manque cruel de formation des médecins, qui, pour la majorité, ne veulent pas admettre leur efficacité et le non remboursement par les mutuelles des coûts inhérents à ces méthodes. Cependant, alors que leur fiabilité commence à être reconnue, un nombre croissant de personnes s’engagent à les utiliser."


Propos immondes de Catherine Millet à propos d’Anne-Lorraine Schmitt

Dans la série "balance ta truie", Catherine Millet tient le pompon. En gros, elle écrit dans Le Point que c’est de la faute de cette pauvre catholique si elle a été assassinée : elle aurait dû se laisser violer !

Marlène Schiappa doit défendre les femmes contre cette apologiste du viol.

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L'Enquête : soit Jésus n’est jamais mort sur la Croix soit Il n’est pas ressuscité

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Analyse du film par Bruno de Seguins Pazzis pour les lecteurs du Salon beige :

1980 à Chicago. Lee Strobel est un journaliste réputé au Chicago Tribune. Foncièrement athée, alors que sa femme vient de se convertir au Christianisme, il entreprend une enquête pour tenter de prouver soit que Jésus n’est jamais mort sur la Croix soit qu’Il n’est pas ressuscité. Avec : Mike Vogel (Lee Strobel), Erika Christensen (Leslie Strobel), Faye Dunaway (Dr. Roberta Waters), Frankie Faison (Joe Dubois), Robert Forster (Walt Strobel), Brette Rice (Ray Nelson), L. Scott Caldwell (Alfie Davis), Meredith Andrews (le Pasteur), Rus Blackwell (Dr. William Craig), Tracey Bonner (L’infirmière), Matthew Brenher (Dr. Phillip Singer), Mark Campbell (le Juge), Reneld Gibbs (James Hick), jimmy Gonzales (l’inspecteur Acosta), Grant Goodeve (M. Cook), Cindy Hogan (Lorena Strobel), Judd Lormand (Joseph Koblinsky), Tom Nowicki (Dr. Alexander Metherell), Paul Reese (Larry Davis), Haley Rosenwasser (Alison Strobel). Scénario: Brian Bird d’après le livre autobiographique de Lee Strobel « The Case For Christ ». Directeur de la photographie : Brian Shanley. Musique : Will Musser.   

Dernière production du mouvement d’Outre-Atlantique « Faith Based Movies » (Films basés sur la foi), Jésus L’enquête a pour lui d’être basé sur le récit autobiographique relatant une histoire authentique ce qui n’était pas le cas de Dieu n’est pas mort (God Is Not Dead ) d’Harold Cronk réalisé en 2014, basé lui, en partie sur des faits réels, mais qui ceux-ci étaient survenus dans des endroits et à des dates différentes et qui étaient entremêlés dans un récit unique comme s’ils survenaient tous en même temps. Une fois ceci dit et qui constitue la force et l’impact que peut avoir Jésus L’enquête sur le public, il convient d’indiquer que le film présente des personnages et leurs évolutions d’une manière beaucoup plus réaliste au point que par moment, plus que l’enquête que mène Lee Strobel, enquête visant à prouver que Jésus n’est jamais ressuscité et dont le spectateur se doute qu’elle n’aboutira pas, c’est le désaccord du couple sur la foi qui suscite l’intérêt du spectateur en même temps qu’il est une illustration plutôt réussie des versets 13 et 14 de la 1ère épitre de Saint Paul aux Corinthiens :

« Si une femme a un mari qui est un incroyant, et qu'il consent à vivre avec elle, elle ne devrait pas divorcer. Car le mari incrédule est sanctifié à cause de sa femme, et la femme incrédule est sanctifiée à cause de son mari. »

Ainsi, le mari athée envisage sérieusement la séparation et le divorce, mais bien qu’il soit parfois en colère, agressif et violent avec son épouse, il continue à vivre avec sa femme et doit se résoudre à constater des changements positifs chez elle en raison de sa foi chrétienne. Cette situation de crise dans le couple, et même dans la famille puisqu’il y a deux jeunes enfants, sonne vraie car beaucoup de couples peuvent éprouver des tensions similaires concernant la foi et l’athéisme. Aussi, au fur et à mesure que le film se déroule, une question se pose: le mariage peut-il résister à ce conflit, ou bien la séparation se profile-t-elle à l'horizon ? Cette question soutient l’intérêt du spectateur, à vrai dire beaucoup plus que l’issue de la quête de Lee Srobel, télécommandée depuis le début du film.

EDe la même manière, les récits parallèles à l’intrigue centrale, comme le mariage de Lee Strobel, sa vie professionnelle, l’enquête sur un crime qu’il a bâclé, la mésentente avec son père, sont autant de points qui permettent au film de respirer et à des non-croyants de s’accrocher. Car, lorsqu’on aborde le cœur de l’enquête de Lee Strobel, c’est sensiblement moins captivant. Jon Gunn et son scénariste Brian Bird font bien de leur mieux pour organiser les entretiens avec des spécialistes de différentes matières d'une manière qui soit intéressante, mais le résultat est plutôt froid et parfois même un peu risible. Ainsi en est-il par exemple de cette conversation de Lee Strobel avec un grand ponte de la médecine et de la recherche médicale qui se déroule dans un laboratoire avec beaucoup de médecins en train de vaquer à des occupations scientifiques tout en ignorant le journaliste qui distrait leur patron avec des questions sur la Crucifixion.  Ou encore cette rencontre avec la psychanalyste Roberta Waters qui expose que les problèmes rencontrés par Lee Strobel avec son père sont vraisemblablement la cause profonde de cette animosité sceptique envers la religion. Pour accréditer cette analyse, elle explique à Lee Strobel que les athées David Hume, Freidrich Nietzsche, Sigmund Freud et Jean-Paul Sartre, soit avaient perdu leur père à un jeune âge, soit avaient des opinions négatives de leur père et nourrissaient à leur encontre des reproches. S’il n’est pas du ressort de la critique ou de l’analyse d’un film d’évaluer les arguments scientifiques et les hypothèses spécifiques exposés par les personnes que Lee Strobel interroge, force est de constater, qu’indépendamment  de leurs mérites rhétoriques et historiques, ces séquences apologétiques sont indigestes sur le plan cinématographique.

Il reste heureusement quelques bons moments parmi lesquels celui de la conversion toute simple et évidente de Leslie, la femme de Lee Strobel qui est vite convaincue que sa fille a été épargné des suites d’un accident par l’intervention de Dieu et qui laisse parler son cœur. Plus tard aussi, Leslie découvre dans la bible ce verset « Et je vous donnerai un cœur nouveau et un nouvel esprit que je mettrai en vous. Et j'ôterai le coeur de pierre de ta chair et je te donnerai un coeur de chair. » (Ezechiel 36 :26) et se met à prier pour la conversion de son mari. Ces moments de prière et d’abandon prennent un relief particulier, s’opposant à la lutte de Lee Strobel contre Dieu au moyen de la raison avec toute sa force et sa volonté d’investigation et qui se résume dans cette formule lapidaire qu’il prononce dès la première séquence du film : « Le seul moyen de parvenir à la vérité passe par les faits. » Dans ces quelques moments, le film montre bien, et c’est heureux, que c’est Dieu qui change l’homme et le cœur de l’homme et que tout le savoir du monde n’y peut rien. Et c’est sur ce point que le film peut interroger des spectateurs athées ou indifférents. Car il faut admettre que si des spectateurs chrétiens évangélistes ou luthériens, disons généralement de religion protestante, peuvent être sensibles à l’emphase donnée sur la « théologie de la décision » qui veut qu’une personne est sauvée au moment où elle prend la décision d’accepter et de suivre le Christ, les catholiques resteront plus réservés devant une représentation du christianisme qu’ils jugeront édulcorée. Cette insatisfaction peut s’ajouter à une déception sur le plan de l’écriture scénaristique qui se contente d’un discours très linéaire et démonstratif ainsi que sur celui de l’écriture cinématographique et de la mise en scène qui ne réservent aucune bonne surprise (exceptée une reconstitution réussie de l’époque des années 70-80), et fait montre de peu de recherche artistique, d’aucun sens esthétique dans les cadrages comme dans les angles de prises de vue, l’ensemble ne laissant pratiquement aucune place à l’indicible.  Mais au milieu de ces points négatifs et positifs, il faut reconnaître et souligner que le film montre bien que c’est Dieu qui appelle, rassemble et éclaire Lee Strobel, lequel se laisse finalement toucher avec un cœur repentant faisant de Jésus L’enquête un film empreint de quelques qualités évangéliques.


Le Ramadanthon a déjà rapporté 90 000 euros

Tariq Ramadan, mis en examen pour viols, reste en prison. La cour d'appel de Paris a décidé de maintenir en détention provisoire l'intellectuel musulman, qui demandait sa remise en liberté en invoquant notamment son état de santé. Dans leur décision, les juges évoquent noir sur blanc le risque d'un nouveau viol. Les magistrats ont conclu qu'il était

"à craindre que l'islamologue renouvelle les faits de viol s'il était remis en liberté, même placé sous contrôle judiciaire ou muni d'un bracelet électronique".

Pendant ce temps, le Ramadanthon a déjà rapporté 90 000 euros.


Donald Trump veut un Planning familial sans avortement

De Jeanne Smits sur RITV :

Unknown-16"Le département de la santé de l’administration Trump vient d’annoncer la mise en place d’une nouvelle ligne budgétaire de 260 millions de dollars pour financer les organismes de planning familial qui ne fournissent pas d’avortement – mais qui proposent entre autres des moyens de contraception « artificielle ». Les modalités de cette subvention excluent de facto la fédération américaine du Planned Parenthood, principal pourvoyeur d’avortements aux Etats-Unis.

En cela c’est une bonne nouvelle, signe de la volonté effective de Donald Trump de ne plus participer au financement public de l’avortement. Le plan prévoit notamment de faciliter l’accès à ces subventions de la part d’organismes éligibles en limitant le nombre de dossiers à déposer même en cas de fourniture de services dans plusieurs zones géographiques des Etats-Unis.

Les organismes concernés sont ceux qui fournissent un « éventail large » d’informations, de formations et de conseils relatifs à la planification familiale, l’aide aux couples infertiles et la formation à la régulation naturelle des naissances. [...]

Reste la question fondamentale, cependant : la contribution de l’Etat à la fourniture de la contraception en tant que telle, qui empêche activement la conception d’un nouvel être humain, n’est en réalité pas plus « éthique » que le remboursement de l’avortement – qui détruit une vie humaine au lieu de l’empêcher délibérément d’exister, deux grands maux. [...]"


Le paysage audiovisuel ou médiatique français est dans le prêt-à-penser, dominé par l’idéologie gauchisante

Lundi, Gilles-William Goldnadel était l’invité de Jean-Marc Morandini. Florilège :

« Je suis malheureux du paysage audiovisuel ou médiatique français parce qu’il est dans le prêt-à-penser. (…) Il a été dominé pendant des années par l’idéologie gauchisante».

« Les chiffres sont incontestables, la majorité des gens dans nos prisons sont des musulmans. (…) Il n’y a aucun doute sur le fait que l’immigration (…) est vecteur d’insécurité».

« Qui a pratiqué le terrorisme en France ? Ce sont bien pour la plupart des gens d’origine immigrée, dont les parents sont des immigrés! Une partie du mal français, c’est effectivement l’immigration massive».


Préférence nationale pour la soupe populaire en raison du comportement des immigrés

Capture d’écran 2018-02-27 à 08.01.37En Allemagne, les organisateurs de la soupe populaire à Essen ont déclaré :

«En raison de l'augmentation du nombre de réfugiés au cours des dernières années, la proportion de citoyens étrangers parmi les personnes servies est montée à 75%. Pour permettre une intégration sérieuse, nous sommes obligés, pour l'instant, de n'accueillir que des personnes avec un passeport allemand».

Cette décision a fait scandale.

Les responsables locaux de la soupe populaire d'Essen ont dénoncé le comportement de certains réfugiés: «manque de respect envers les femmes» ou encore «bousculades» dans les files d'attente. Certains demandeurs d'asile se comporteraient en «profiteurs».