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Conférence le 15 février à Vannes sur « La famille en jeu en France et en Europe au XXIème siècle »

Les civils algériens ayant subi des dommages physiques liés au conflit peuvent prétendre à une pension

Nous ne sommes toujours pas sortis de la guerre d'Algérie... Le Conseil constitutionnel a censuré, le 8 février, un texte de loi de 1963 qui réservait le droit à une pension pour les victimes d’attentats, durant la guerre d’Algérie entre 1954 et 1962, aux seules personnes possédant la nationalité française à la date de la promulgation de cette loi. Jean Sévillia réagit au micro de Boulevard Voltaire.

Commentaires

a.picadestats

Il n'y a qu'un mot: écœurement!
Tous ces pays qui n'étaient pas foutus d'éduquer leurs enfants, de construire des hôpitaux, de s'exprimer en dehors de dialectes locaux, de construire durablement, d'utiliser leurs ressources...ont finalement une grande expertise en fourberie.
C'est seulement au stade supérieur de civilisation que la fourberie devient méprisée. Pierre Saint-Arnaud, William Graham Sumner et les débuts de la sociologie américaine.

Tonton Jean

J'ai cru comprendre qu'il y avait beaucoup de centenaires en Algèrie. Il y aura peu-être bientot des bi-centenaires.

Encore un nouvel impot en perspective?

B.C.

Tous les Algériens nés avant l'indépendance vont réclamer une pension !
Imaginons que nous demandions une pension aux Allemands à cause de la guerre.

Antoine de Lisbonne

Et il faut payer taxes, impôts, etc...Pour financer ces trucs et autres perversions.

Cheri Bibi

Bien alors que les harkis revendiquent massivement. Car c'est eux qui ont subi le plus grand préjudice.

Irishman

Merde alors, pourquoi ne suis-je pas né dans un gourbi, dans un oued paumé au fin fond de l'Algérie ?

Comme dirait Pierre Péchin : "Avec les françaouis, ti pleurniches s'il vô plaît, i ti donnent l'argent !"

Y a des jours, je voudrais bien m'casser en Hongrie ou en Russie...

Stephe

Pendant ce temps là nos anciens au minimum vieillesse regardent passer les trains. Nous sommes passés d'une solidarité nationale à une solidarité internationale
Jusqu'à quand?

San Juan

Encore une ignominie de cette république désormais démente. Folle dingue plutôt. Folle dingue puisque honteusement prostituée dans tous les caniveaux du quart-monde. Mais attention, seulement s'ils empestent bien fort la bonne merde bien fermentée lesdits caniveaux, naturellement, autrement ce s'rait pas d'jeu mon bon monsieur. Ben tiens, tant qu'à faire dans l'infâme et l'inique allons-y carrément quoi. C'est quoi cette histoire de conseil constitutionnel ? un ramassis de maquereaux ? une bande de coprophages ?

Marc Pradayrol

je pense que , les connaissant, les jeunes étant nés après l'indépendance vont tous demander la pension car tous souffrent énormément de la colonisation à postériori!

Jean Bidel

Ils sont très peu à pouvoir revendiquer la nationalité française avant 1962 . La majorité des musulmans la refusaient car c'était haram et mal vu par leurs congénères .
Source Wikipédia : « Naturalisation » des indigènes .
Pendant toute la durée de la présence française en Algérie, il y aura au total - en 97 ans de possibilité ! -moins de 7 000 « musulmans » naturalisés , ce qui représente, à l'indépendance du pays en 1962 , à peine 10 000 « musulmans » ( 7000 naturalisés plus descendants ayant opté pour la France ) jouissant de la pleine nationalité française acquise par naturalisation ou héritée d'un ascendant lui-même naturalisé.
Dès le début, avec la mise en place du sénatus-consulte de 1865, la naturalisation des indigènes est un échec incontestable et inattendu. Les demandes tournent en moyenne autour de quarante par an. Seuls 371 « musulmans » sont naturalisés en dix ans, de 1865 à 1875. Ils ne sont que 2 396 naturalisés de 1865 à 1915, 2 488 naturalisés de 1865 à 1937.
Issues dans leur grande majorité de militaires, de fonctionnaires ou de convertis à la religion catholique, les demandes de naturalisation connaissent un taux de refus assez faible jusqu'en 1899, mais augmentent à partir de cette date jusqu’à atteindre à certaines périodes les trois cinquième des demandes. Entre 1865 et 1920, il est en moyenne de 30 %. Entre 1919 et 1930, avec 760 indigènes naturalisés pour 1 547 demandes introduites selon la procédure du sénatus-consulte de 1865, le taux de refus est de pratiquement 50 %.

François

Et bien, abrogeons la loi sans effet rétroactif et tout le monde sera content...

lève-toi

Quelle bassesse, salir la France et proposer des avantages aux tueurs du FLN, les égouts débordent

Exupéry

Le masochisme érigé en vertu, dans le cadre d'une dhimmitude voulue comme prétendument expiatoire !
Déjà, le fameux "Plan de Constantine" voulu par de Gaulle pour sceller l'"amitié franco-algérienne" en dépit d'un abandon programmé, nous coûta (en équivalent francs-or) plus que le tribut versé à l'Allemagne après la défaite de 1870 !

patphil

les harkis et les piednoirs... vae victis!
le suicide français dans toute sa splendeur!

Fox

Dans les hautes sphères on ne manque jamais d'idées pour démolir la France, la piller, lui faire perdre son identité.
Bandes de traitres.

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