Du suicide assisté, on passe facilement à la pression euthanasique, puis à l'euthanasie utilitaire
03 mars 2018
Du Dr François Volff :
"Les Chrétiens Protestants et Évangéliques relèvent la précipitation de 156 députés pour réclamer une loi sur l’euthanasie avant même d’avoir la décence d’attendre la fin des « débats citoyens » sur la bioéthique. Du suicide assisté (car c'est de cela qu'il s'agit), on passe facilement à la pression euthanasique, puis à l'euthanasie utilitaire (pour les dons d'organes). C'est déjà le cas en Belgique.
Il est vrai, comme l’affirment certains, que la loi Claeys est déjà une loi d’euthanasie, puisque les médecins peuvent décider, à la place du patient, de l’arrêt des soins vitaux, comme le cas d’Inès l’a récemment montré. Il convient donc de l'abroger pour en revenir à la loi Léonetti de 2005."
L’Europe deviendra t-elle l’Europe
De l’extermination? Pour enrichir
Toujours les mêmes...les financiers.
Cela deviendra r-il un détail de l’histoire???
Il faudra sans doute réécrire l’histoire?
Maximilien Kolbe a été euthanasié avec des millions de martyrs.
Après l’extermination de certains enfants qui auraient pu
naître, les élus et représentants du peuple
se donneraient le droit de tuer ? pour quel
Lobby?
L’euthanasie sera pour tout individu
considéré á charge petit ou vieux.
Ce sont les mêmes qui prêchent le grand remplacement sans doute?
Rédigé par : Myriam | 03 mars 2018 à 12:48
Il est vrai que les hommes d'Eglise peuvent avoir une grande influence quand ILS VEULENT VRAIMENT se faire entendre MEDIATIQUEMENT ...
Ainsi:
"Dans l'Allemagne Nazie, bien que les opérations d'euthanasie se déroulent dans la plus grande discrétion, en faisant appel à un langage codé, des rumeurs circulent. Des familles s'inquiètent. Les Églises protestante et catholique s'alarment. Le 3 avril 1941, Monseigneur von Galen, évêque de Munster, dénonce EN CHAIRE ces ASSASSINATS. Il sera imité par les évêques de Fulda et de Limbourg.
Si bien qu'A. Hitler ordonne l'arrêt officiel du programme T4 le 24 août 1941. À cette date, le nombre des victimes est de 70 273 réparties comme suit: 9 839 à Grafeneck, 9772 à Brandenburg, 8 601 à Bemburg, 18 269 à Hartheim, 13 720 à Sonnenstein, 10 072 à Hadamar."
On le voit ici :
- les évêques parlent d'assassinats au lieu "d'euthanasie"
- les évêques secouent leurs ouailles et s'expriment avec violence pour NOMMER ce qu'est l'euthanasie
Résultat ? Même Hitler recule....
Rédigé par : jejomau | 03 mars 2018 à 14:16
Finirons nous par éliminer par euthanasie tous ces partisans de la culture de mort ?
Rédigé par : galderol | 03 mars 2018 à 14:52
Si une pétition était mise en place à l'adresse de la Conférence des Evêques de France pour leur demander de condamner l'Euthanasie (et toutes les dérives actuelles) et, dans un autre ordre d'idée, de renouveler la Consécration de la France à Marie
(par exemple au mois de Mai prochain ou en la fête de l'Assomption 2018 - pas dans 10 ans -), je la signerais aussitôt.
Le silence de l'Episcopat français devient par trop assourdissant !
Rédigé par : Libera | 03 mars 2018 à 15:47
Les protestants hérétiques, et toutes les sectes pseudo-chrétiennes qui en sont sorties, sont très mal placés pour donner des leçons de morale. Cette culture de la mort, ils l'ont bien aidée à la concrétiser. En refusant de se soumettre à et en se rebellant conte l'autorité de l'Eglise catholique et du pape, ils ont participé à la mise en place de cet hyper-individualisme et ce relativisme moral et religieux qui tuent, littéralement, figurativement et spirituellement notre société. Voilà une des conséquences létales de l'hérésie protestante.
Rédigé par : Apollos | 03 mars 2018 à 16:18
Quand la France cesse d'honorer DIEU, elle devient un vrai cloaque, elle est souillée, le secours viendra du Ciel comme toujours pour elle, mais les Français savent-ils encore que DIEU existe ?
Rédigé par : lève-toi | 03 mars 2018 à 20:25
Attention!
Je souhaite attirer l'attention des lecteurs du SB sur la lecture très personnelle du débat en cours par leurs organisateurs.
Ainsi le député Touraine, le jeudi 1er mars à Lyon, a-t-il véhémentement défendu son droit à décider seul de la fin de vie qui, selon ses termes, "ne fait pas partie de la bioéthique", car la fin de vie "n'est pas une nouveauté scientifique" et ne relève donc pas de son périmètre.
Il s'est fait huer par une partie de la salle sans qu'il réagisse pour autant. C'est une bonne indication de la direction que certains veulent voir prendre.
Rédigé par : AFumey | 06 mars 2018 à 17:28